Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Il faut écrire : « la journée s'est passée /la rentrée s'est passée/la route s'est passée etc. »
- 'comment ça s'est passé?'
La réponse qui en découle est le plus souvent sommaire. « Bien. » « J'ai travaillé. » « Rien de spécial. » Mais encore …
ça est l'abréviation du pronom démonstratif cela, qui désigne la chose dont on parle ou qui a été évoquée précédemment. ça ne s'élide pas, contrairement à ce. « ç'a été » correspondrait donc à la forme abrégée de ce a été (ce étant mis pour cela). A l'écrit, on préférera la forme cela a été.
Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
On écrit elles se sont bien passées , avec le mot passées au féminin pluriel.
J'ai passé une bonne journée. I had a good day.
Montrez-lui plutôt de l'intérêt en lui demandant comment s'est déroulée sa journée. Manifester de l'attention et de l'intérêt pour quelqu'un, surtout dans une société remplie de distractions comme la nôtre, peut être le meilleur signe de bienveillance qui soit.
Je te souhaite une journée aussi brillante que le soleil ! Une journée ne commence jamais vraiment sans un bon café. Chaque jour de ta vie, un renouveau est possible. Je te souhaite de passer une belle journée, aussi claire et rafraichissante qu'une mer d'eau transparente.
Avec l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas au sujet PARTICIPE PASSE. Elle a mangé. Ils ont fait. Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel).
Pour former le passé simple d'un verbe du 1er groupe, on ajoute au radical les terminaisons -ai, -as, -a, âmes, -âtes, -èrent. Ex. : Il parla. Pour former le passé simple d'un verbe du 2e groupe, on ajoute au radical les terminaisons -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent. Ex. : Il grandit.
On écrit « s'est » devant un verbe. Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
- « s'est » correspond à l'union de « se »avec le verbe « être » et sera toujours suivi d'un « participe passé ». Il peut être remplacé par « Je me suis ». Exemple :Cet enfant s'est blessé à l'école. (Je me suis blessé.)
On écrit c'est quand le groupe peut être remplacé par cela est. Exemple : C'est de ta faute ! (→ Cela est de ta faute !) On écrit s'est quand on a affaire à un verbe pronominal conjugué à un temps composé.
À l'impératif présent à la 2e personne du singulier (tu), les verbes en -er ne prennent pas de -s à la fin. Tu manges→ Mange ! Tu écoutes → Écoute ! Tu vas chez le docteur → Va chez le docteur !
Une forme plus élégante serait : « comment s'est passée ta journée ? »
Bonjour Virginie, si votre question porte sur l'orthographe de c'eût été , celle-ci est correcte, il s'agit du conditionnel passé « deuxième forme » (plus soutenu et moins courant que le conditionnel passé première forme ç'aurait été) qui est identique au plus-que-parfait du subjonctif, donc l'accent circonflexe est de ...
«Profites bien de ta journée», «Écoutes ce qu'il dit!»… L'usage a injecté des «s» à la fin des verbes à l'impératif. Partout. Tout le temps.
La réponse simple. On écrit « profite bien ». Exemple : Profite bien de tes vacances, tu les as bien méritées.