Il s'agit de vous libérer des choses ou des personnes avec quivous vous engagez, ne pas vous rendre responsables des choses qui ne vous reviennent pas, ni des gens, ce qui vous libérera émotionnellement en obtenant et renforçant vos sentiments de sécurité. La confiance ne craint pas la critique, l'abandon et le rejet.
Oui, on veut qu'il grandisse, et peut-être grandira-t-il si on le laisse se débrouiller seul, mais sortir de son syndrome de Wendy est avant tout utile à soi. Il s'agit de se recentrer sur sa personne, de ne plus s'oublier, de remettre de l'ordre dans sa vie avant de s'attaquer à la vie des autres.
Pour s'en sortir l'accompagnement par une personne compétente (psychologue, psychothérapeute, psychiatre) est indispensable. Une thérapie permet d'en guérir. Le soutien des proches est essentiel. "L'entourage doit être bienveillant.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette incapacité à grandir, qui caractérise le syndrome de Peter Pan. Il est possible que des événements traumatisants survenus dans l'enfance - un deuil, une séparation, des maltraitances physiques ou psychologiques - nourrissent la crainte d'avancer et de progresser dans la vie.
Le syndrome de Peter Pan, kézako ? Concrètement, les personnes qui souffrent du syndrome de Peter Pan (aussi appelé complexe de Peter Pan) « refusent » de passer à l'âge adulte, comme le héros de leur enfance : l'engagement (qu'il soit sentimental, économique ou professionnel) les paralyse.
Un trouble factice se définit comme la falsification de symptômes physiques ou psychologiques sans motivation externe évidente. Le syndrome de Münchhausen ou Münchausen se caractérise par le besoin de simuler une maladie ou un traumatisme pour attirer l'attention ou la compassion.
L'hypertrichose est une maladie rare qui provoque un développement exessif de la pilosité, notamment sur le visage. L'hypertrichose est une pathologie dans laquelle on observe un développement excessif de la pilosité sur le visage, l'abdomen, la poitrine… D'où son autre appellation : syndrome du loup-garou.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
La personne qui souffre du syndrome de l'imposteur dépense trop d'énergie par rapport à la tâche qu'on lui demande de réaliser, elle montre un surinvestissement, ce qui lui permet d'attribuer son succès "éventuel" à une grande quantité de travail et non à ses compétences réelles.
Avoir peur de grandir, refuser toute responsabilité d'adulte et se réfugier dans un monde imaginaire porte un nom : le syndrome de Peter Pan. De quoi s'agit-il et comment le traiter ?
Les causes d'un tel comportement remontent le plus souvent à l'enfance. La plupart des sauveurs ont été les « parents » de leurs parents ou d'un membre de leur famille touché par une dépression, une addiction, ou un décès par exemple. Ils ne savent se sentir aimé qu'en prenant soin des autres.
La peur de grandir
Cette peur s'explique notamment par la découverte de la réalité de l'âge adulte, souvent fantasmé quand on est enfant. Cette vie, "on l'imagine un peu sur les schémas de l'enfant, on se dit qu'on va faire ce qu'on veut. L'enfant est sans limite", explique Eudes Séméria.
En 1985, Dan Kiley écrit l'ouvrage Le dilemme de Wendy, quand les femmes cessent de materner leurs hommes, dans lequel il décrit ce syndrome, qui se caractérise par le besoin constant d'aider et de satisfaire les autres. Le psychanalyste américain a développé en 1983 le concept de "syndrome de Peter Pan".
"Le syndrome de Lima se définit comme un processus psychologique durant lequel les ravisseurs éprouvent de l'empathie envers leurs otages, devenant même sensibles et réceptifs à leur besoins et revendications, explique Rodolphe Oppenheimer, psychothérapeute et Psychanalyste.
Le syndrome de l'infirmière se traduit par un besoin excessif de soigner l'autre. "L'infirmière ira donc exclusivement ou presque vers des partenaires "malades" au sens large : phobie sociale, addictions, timidité extrême, dépression, santé mentale instable..." explique le Dr Béatrice Millêtre, docteur en psychologie.
Lors d'une situation d'extrême danger, marquée par une forte promiscuité, "peut apparaître chez la victime un mécanisme d'adaptation au profil de l'agresseur qui lui permet de survivre face à ce danger et mieux préserver son intégrité physique et psychologique.
L'hirsutisme est l'apparition d'une pilosité dans des zones dites masculines, normalement glabres (dépourvues de poils) chez la femme (visage, poitrine, dos, fesses, face antérieure des cuisses, etc.) Cette pilosité est composée de poils épais et drus.
Il souffre d'insomnie, d'agitation nocturne, d'agressivité accompagnée d'hallucinations auditives. Il présente un délire de lycanthropie. Entendant des voix qui lui disent qu'il se transforme en loup, il se réveille au milieu de la nuit et hurle.
L'hypertrichose est une pathologie différente. C'est une simple augmentation de la quantité de poils n'importe où sur le corps. L'hypertrichose peut être généralisée ou localisée. La pilosité des hommes peut fortement varier et n'est que rarement l'objet d'une évaluation médicale.
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.