Au moment où vous voulez bloquer la pensée, essayez de mettre une limite et de déplacer cette préoccupation à une certaine heure. Il peut être plus facile dans ces cas-là de déplacer son attention sur une autre activité : comme faire du sport, voir un ami, regarder un film ou une série, faire des courses ou cuisiner.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation. Après consultation d'un médecin, certains médicaments comme les neuroleptiques et les antidépresseurs peuvent réduire l'apparition d'obsessions. Des thérapies de groupe ou des produits de santé naturelle peuvent apaiser et réduire les obsessions.
La méditation guidée peut vous aider à trouver le calme intérieur en se concentrant sur la respiration qui est le support de base et permet à l'esprit de se détacher de ses ruminations. Un entrainement quotidien de 5/10 mn est excellent.
Anxiété : lorsqu'une personne souffre d'anxiété, cela peut entraîner des pensées intrusives. En fait, ces pensées sont souvent liées à des situations sociales inconfortables ou à la possibilité d'une mort ou d'un malheur. Stress : le stress peut également être l'une des principales causes des pensées intrusives.
Le yoga et la méditation peuvent aider à restaurer une certaine tranquillité également. Le L-Tryptophane, acide aminé naturel présent dans l'alimentation (riz, produits laitiers, etc), est le précurseur de la sérotonine, neuro transmetteur du calme.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
Tout d'abord, essayez de pratiquer des techniques de pleine conscience telles que la méditation ou des exercices de respiration profonde ; elles peuvent vous aider à rester présent au moment présent au lieu de ressasser le passé ou de vous inquiéter de l'avenir.
Une pathologie psychiatrique méconnue. La phobie d'impulsion est une maladie psychique issue de la famille des troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Elle est caractérisée par des obsessions, c'est-à-dire des pensées envahissantes, gênantes et très désagréables, générant une forte anxiété.
Bien qu'il soit normal d'avoir parfois des pensées, des images ou des envies intrusives, non désirées ou "étranges", voire même des exemples répugnants comme ci-dessus, lorsqu'une personne constate que cela se produit de manière répétée et dure une heure ou plus par jour, plus souvent qu'à son tour, il se peut qu'elle ...
Les principaux médicaments utilisés sont l'alprazolam (Xanax®), le bromazépam (Lexomil®), l'oxazépam (Seresta®) ou encore le prazépam (Lysanxia®). Une autre famille de médicament est utilisée : il s'agit de certains antidépresseurs qui ont une action sur l'angoisse, en dehors de leur action antidépressive.
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu. État d'hésitation permanent, l'overthinking impacte le quotidien et le bien-être de celui ou celle qui en est victime.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
Le TOC est une pathologie chronique qui ne guérit généralement pas toute seule et doit être prise en charge par des professionnels si on veut la traiter. Les traitements disponibles ont pour objectifs d'en réduire les symptômes, pour que le patient retrouve une vie la plus normale possible.
Il est utile de consulter son médecin traitant (ou son pédiatre) en cas de symptômes suivants, évoquant des troubles obsessionnels et compulsifs : envahissement par des pensées, des idées ou des images récurrentes, douloureuses, inappropriées et dérangeantes, provoquant de la détresse et de l'anxiété.
Ce surdoué – les troubles obsessionnels sont souvent associés à un haut niveau d'intelligence -, met aussi en place des rituels de répétition à côté des compulsions de nettoyage. Le film permet d'observer l'évolution de ses troubles, qui deviennent rapidement envahissants.
Quand les pensées semblent tourner en boucle, qu'elles ne mènent nulle part, il s'agit alors de ruminations. Ce phénomène de cerveau qui ne s'arrête jamais, est souvent décrit chez les personnes HPI ou Hypersensible (ou encore hautement sensible comme le dit si bien Saverio Tomasella).
Les conséquences de ruminer ou de trop réfléchir. Ces pensées vicieuses rendent les personnes incapables de se concentrer sur les nouvelles perceptions et se retrouvent piégés dans une détresse émotionnelle et psychologique.
L'apparition des TOC peut être liée à un dysfonctionnement des neuromédiateurs (en d'autres termes, un dysfonctionnement du cerveau) au niveau de la dopamine, la sérotonine ou la vasopressine. En effet, chez certaines personnes atteintes de TOC, certaines zones du cerveau sont en hyperactivité anormale.
Maladie psychique chronique, les TOC (troubles obsessionnels compulsifs) sont caractérisés par deux types de symptômes plus ou moins prononcés, les obsessions et les compulsions, qui peuvent apparaître isolément ou simultanément.
Les causes des troubles obsessionnels compulsifs
Les causes des dysfonctionnements cérébraux conduisant aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont encore inconnues. Il existe une prédisposition génétique, c'est à dire un risque augmenté de développer la maladie pour les apparenté au 1er degré d'un patient.