Un simple soutien en gel placé au niveau de l'os naviculaire, ou une orthèse, peut aider à soulager les symptômes. Pour les cas plus récalcitrants, il peut être nécessaire de porter un plâtre ou une botte de marche pendant 4 à 8 semaines et suivre des traitements en physiothérapie.
Les os cunéiformes sont présents dans la partie médiale du tarse distal du pied.
Pendant 6 à 12 semaines, la partie fracturée ne doit pas être soumise au poids. Limitez la pression et les mouvements qui sollicitent la zone affectée. En cas de fracture de fatigue au niveau des métatarsiens, les béquilles ou la fameuse chaussure/botte pourront vous aider à vous déplacer.
Les fractures de fatigue sont de petites fractures incomplètes (fissures) de l'os qui sont le résultat de stress répété plutôt que d'une lésion distincte. La douleur se manifeste avec la mise en appui et elle s'amplifie progressivement. Il faut faire une radiographie ou une scintigraphie osseuse.
Après une semaine ou deux, la douleur la plus intense est généralement passée. Ensuite, l'os fracturé et les tissus mous environnants commencent à guérir. Cela prend quelques semaines et la douleur que vous pouvez ressentir à ce stade est appelée douleur subaiguë. Le dernier stade est la douleur chronique.
Une chaussure dite orthopédique, ou du moins avec certaines caractéristiques, peut être une alternative suffisante à la décharge complète. De cette façon, le pied est suffisamment stabilisé et protéger pour permettre la guérison sans avoir à porter une botte de type Cam Walker ou Air Cast.
Les fractures sont généralement dues à des blessures ou à une sollicitation trop importante. La partie lésée fait mal (tout spécialement lorsqu'elle est sollicitée), est généralement enflée et peut présenter une ecchymose ou paraître déformée, tordue ou déplacée.
La fracture de fatigue n'est pas décelable à la radio. Le scanner offre également une image décalée. L'IRM et la scintigraphie permettent en revanche un diagnostic précoce et, en conséquence, une durée de convalescence limitée.
La douleur au-dessus du pied peut être causée par des raisons différentes. Une entorse ou une blessure musculaire ne sont pas toujours responsables. Votre douleur accompagnée d'un gonflement des orteils peut être l'un des symptômes de la goutte par exemple. Ceci est juste l'identification initiale d'une maladie cachée.
La fascite ou aponévrosite plantaire et l'épine calcanéenne, principales causes de douleur au talon. Très fréquemment, la talalgie est due à des lésions du fascia plantaire ou aponévrose plantaire. C'est un ligament épais qui relie les orteils au calcanéus. On parle alors de "fascite ou aponévrosite plantaire".
La glace peut également aider à réduire l'enflure et soulager la douleur. Votre médecin peut vous recommander d'appliquer des blocs de glace sur la zone blessée régulièrement. Vous pouvez également utiliser du gel anti-inflammatoire et drainer l'œdème chez un kinésithérapeute.
L'os naviculaire accessoire ou os tibial ou os tibial externe est un os surnuméraire situé à la partie postéromédiale du naviculum. Il est présent depuis la naissance. Cette particularité anatomique toucherait jusqu'à 12% de la population et est fréquemment bilatérale.
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
Le syndrome naviculaire est une maladie bien connue et redoutée des cavaliers. Elle est classiquement responsable d'une boiterie chronique antérieure à l'origine d'une retraite prématurée des chevaux. Les causes de cette maladie sont multiples et ne sont pas totalement élucidées.
Comme par exemple : l'orange, riche en vitamine C, en potassium, et en calcium. Parmi les fruits les plus riches en calcium on trouve aussi la figue, la prune, la rhubarbe, et les abricots secs. Ces fruits, riches en minéraux, permettent de lutter contre la déminéralisation des os !
Les fractures ouvertes sont les plus graves sur le plan clinique, puisqu'elles sont associées à des plaies ouvertes souvent contaminées par des saletés et des débris et, de ce fait, sensibles à l'infection.
Les fractures étant la conjonction d'une fragilité osseuse et d'une chute, de bons muscles autour des os sont précieux pour assurer une bonne stabilité. D'où l'intérêt de l'énergie apportée par les protéines d'origine animale (viande, poisson, oeufs, laitages) ou végétale (légumes secs, céréales, soja…).
La fracture de fatigue ou fracture de stress, survient au niveau d'un os lorsque celui-ci fait face à un stress trop important. Ce sont généralement des mouvements répétés et intenses qui sont la source de ce type de fracture. L'os se fragilise et de petites fissures commencent à apparaître.
Reprendre après une fracture de fatigue
Une fracture de fatigue, ce sont au moins six semaines d'arrêt sportif avec béquilles pour soulager la pression. Lorsqu'elle concerne le fémur ou le tibia, on peut reprendre une activité portée au bout de trois semaines à un mois.
En l'absence d'amélioration, une immobilisation du membre peut être nécessaire par chaussure de décharge, botte amovible, semelles orthopédiques voire une botte résine. Il peut également être nécessaire d'éviter tout appui jusqu'à consolidation osseuse.
Mais, déformation ou non, après une fracture, l'os est aussi solide qu'avant!
Présente dans les rayons de soleil ainsi que dans certains aliments comme les produits laitiers ou les huiles de poisson, la vitamine D permet d'accélérer le processus de guérison des fractures osseuses, car son absorption favorise la concentration de calcium dans notre organisme.