Les connectivites sont caractérisées par une production démesurée d'anticorps dirigés contre des éléments du corps humain (auto-anticorps). La recherche des ces auto-anticorps dans le sang est un élément important pour le diagnostic. D'un autre côté, la présence de ces auto-anticorps n'est pas synonyme de maladie.
La polyarthrite rhumatoïde est généralement classée un peu à part en raison de la prédominance des atteintes articulaires. Toutefois, les manifestations systémiques de cette maladie, de même que sa pathogénie auto-immune, la rapproche des connectivites.
Vous pourrez les trouver dans les fruits et légumes crus, les légumes cuits, les fruits séchés, les légumineuses, les graines ou encore les céréales complètes. En revanche, si vous voulez empêcher le développement de micro-organismes défavorables, évitez au maximum les sucreries, viandes et les graisses animales.
Décrite pour une première fois en 1972, la connectivite mixte (syndrome de Sharp) est une maladie auto-immune dont on considère que les symptômes recoupent ceux de diverses formes inflammatoires de maladies auto-immunes du tissu conjonctif: lupus érythémateux disséminé (lupus), sclérodermie, syndrome de Sjögren et ...
Ainsi, une alimentation de type méditerranéenne, basée sur des fruits et légumes frais de saison, des noix, légumes secs et céréales complètes, de l'huile d'olive et des poissons et viandes blanches, contribuera à apaiser la réaction inflammatoire.
Les myopathies inflammatoires ont en commun d'être des maladies auto immunes non spécifiques d'organes dont l'organe cible est le muscle. Elles ont toutes en commun une inflammation du muscle qui se manifeste par une faiblesse musculaire et parfois des douleurs musculaires.
Si La vitamine D est connue depuis près d'un siècle pour son action antirachitique, depuis quelques années de nombreux travaux mettent en évidence l'implication de la vitamine D dans le développement des maladies auto-immunes (psoriasis, asthme, diabète de type 1...), sensibilité au virus (tuberculose, grippe, ...
La polyarthrite rhumatoïde commence le plus souvent par un enraidissement douloureux de plusieurs articulations, généralement les poignets, les mains, les doigts. Les articulations se mettent à gonfler. S'agissant d'une maladie inflammatoire, les symptômes sont présents plus volontiers en fin de nuit et le matin.
Le lupus peut débuter par l'un ou l'autre des signes suivants apparaissant lors d'une poussée et souvent associés à une fièvre modérée mais prolongée, une fatigue ou un manque d'appétit. Les symptômes initiaux sont le plus souvent des douleurs articulaires et des atteintes de la peau.
La connectivite mixte et le syndrome de Sharp sont des maladies auto-immunes au cours des quelles le système immunitaire s'attaque aux tissus. Elles peuvent donc agresser de nombreux organes comme la peau, les muscles et les articulations, le cœur, les poumons, etc.
Tout comme les rhumatismes inflammatoires, les maladies systémiques sont des maladies auto-immunes, dans lesquelles le système immunitaire se retourne contre l'organisme-même du patient. Le terme 'maladie systémique' signifie littéralement que tous les organes (systèmes) du corps peuvent être atteints.
Le terme collagénose (ou connectivite) regroupe un ensemble de maladies auto-immunes caractérisées par une hyperactivité du système immunitaire, une prépondérance féminine et une association aux anticorps antinucléaires.
Le lupus érythémateux disséminé ou lupus systémique est une maladie auto-immune . Dans cette maladie, le système immunitaire , qui protège contre les microbes ou les substances étrangères à l'organisme, se dérègle et se retourne contre les propres cellules de l'organisme.
La vitamine D a peut-être un rôle à jouer dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde (PR).
Les traitements complémentaires du lupus
Le traitement d'un lupus érythémateux disséminé peut aussi prendre d'autres formes, par exemple : des infiltrations de corticoïdes au niveau des articulations, pour réduire les douleurs ; des séances de kinésithérapie ; une prise en charge psychologique, si nécessaire.
consommer un excès de gras (particulièrement de gras saturés et d'oméga-6) : l'apport en gras ne devrait pas dépasser 30 % des calories quotidiennes ; privilégier les gras contenus dans les poissons, l'huile d'olive, les noix, etc.
Les agrumes et la vitamine C
Parmi les fruits qui en contiennent le plus, nous pouvons citer les agrumes qui, mangés régulièrement, renforcent les défenses de notre système immunitaire, et notamment s'ils sont consommés frais et crus en hiver.
Pendant au moins 1 mois, vous pouvez envisager une supplémentation recommandée de 10 à 15 mg par jour, sous forme de bisglycinate de zinc. Pour éviter l'interaction entre les minéraux, évitez de consommer un complément en calcium et/ou fer.
Les premiers signes de l'atteinte inflammatoire musculaire sont généralement une faiblesse musculaire, des difficultés à effectuer des gestes simples de la vie courante : monter un escalier, attraper un objet, porter son sac de courses, se relever de la position accroupie.
Les douleurs articulaires sont le plus souvent dues à l'arthrose. Celle-ci est due à l'usure des cartilages liée à l'âge, surtout chez les personnes âgées, celles en surpoids, les sportifs qui ont intensivement sollicité leurs articulations et les femmes après la ménopause.
Il vous demandera de faire pratiquer une prise de sang où un dosage des enzymes musculaires (Créatine Kinase : CK, anciennement CPK) sera réalisé. Le laboratoire analysera le taux sanguin de ces enzymes musculaires qui, s'ils sont anormalement élevés, peuvent témoigner d'une atteinte musculaire.