Osez sortir toute seule
Premièrement, dites-vous que vous êtes loin d'être la seule (vous avez déjà vu des personnes manger seules au restaurant, non ?). Gardez en tête que la solitude est un signe de maturité et de sérénité. Donc pas de quoi avoir honte, loin de là !
Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi. La clinophilie peut aussi être causée par les psychoses, notamment la schizophrénie ou les psychoses paranoïaques.
Prenez l'habitude de sortir, de marcher, de regarder la nature autour de vous. Prenez plaisir à ces moments, profitez en pour vous détendre. Si vous allez travailler en voiture, essayez au moins le midi de sortir prendre l'air, faites une petite balade après votre repas par exemple.
L'agoraphobie, y compris la peur de sortir de chez soi, peut être un symptôme découlant d'un trouble panique. Si vous faites des crises d'angoisse ou des attaques de panique, un psychiatre peut vous prescrire certains médicaments, comme des anxiolytiques, pour vous aider à calmer votre anxiété.
Rester toute la journée à la maison fait que l'on passe plus de temps assis voire couché. "C'est un mode de vie sédentaire, qui augmente la sédentarité et donc le risque de maladies chroniques, notamment cardiovasculaires, le diabète ou l'hypertension artérielle" note le médecin.
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
Pour prendre soin de sa santé mentale
Selon des études, être souvent à l'extérieur permet de combattre l'anxiété, le stress, la dépression, l'irritabilité, l'insomnie et les céphalées. La nature a le pouvoir de stimuler les niveaux d'endorphine et de dopamine tout en réduisant le cortisol, l'hormone du stress.
Symptômes. Si l'origine de ce trouble diffère selon les sujets, il survient le plus souvent à la suite d'un traumatisme psychique (accident, deuil, chômage…). Il peut s'accompagner d'autres syndromes, phobies ou troubles compulsifs (dépression, claustrophobie…).
Faites tous les jours au moins une chose différente de votre routine quotidienne, vous accorder une courte pause, faire une promenade, lire un chapitre d'un livre ou tout autre distraction ou passe-temps que vous aimez particulièrement. Trouvez une nouvelle activité.
Se réfugier chez soi, cela permet de se ressourcer, d'apprendre à être bien avec soi-même et de profiter des petits plaisirs de la vie. « Nos cellules et nos organes ont besoin de repos pour se régénérer. Un certain degré de plaisir est nécessaire.
Un environnement désordonné ou bruyant peut engendrer du stress et de l'inconfort. Enfin, le sentiment de malaise chez soi peut aussi être lié à des problèmes de santé mentale tels que la dépression ou l'anxiété. Il est crucial de déterminer la cause de ce malaise pour pouvoir y faire face efficacement.
La clinomanie expliquée
La clinomanie est un trouble psychiatrique caractérisé par le refus de se lever que manifeste un sujet. La personne préfère rester constamment couchée. Généralement ce sont les personnes souffrant de neurasthénie ou d'une importante dépression qui présentent une clinomanie.
Je me sens mal : dépression et stress un poids invisible. Le sentiment de malaise, même lorsque tout va bien, est un problème complexe qui peut avoir de multiples causes, allant du stress à la dépression. Reconnaître et écouter ces émotions peut être le premier pas vers un bien-être réel et durable.
Si vous vous sentez mal, n'hésitez pas, dans un premier temps, à en parler à un proche. Ce peut être un parent, un ami, un professeur. Celui-ci vous suggérera certainement de consulter un professionnel de santé. Et il aura bien raison ; il n'y a aucune honte à cela.
Sortir de sa réserve (Timidité) - Un texte
Parler en détail de l'amour de soi , de la confiance en soi, de l'estime de soi. Exprimer que la timidité ne peut pas disparaitre toute seule et que la passivité ne peut que faire empirer la situation.
En effet, psychologiquement, le lit est lié au sommeil. Or, si on reste trop longtemps couché, le cerveau ne comprend plus quand il doit se reposer : une fois l'heure du coucher arrivée, il décide de ne pas dormir et peut donc vite s'épuiser.
Une mauvaise hygiène de vie
Coucher tardif, repas déséquilibrés, excès de sucre, lumière bleue des écrans… Une mauvaise hygiène de vie est la raison la plus classique d'une grosse fatigue ressentie au moment du réveil.
On dit que de nos intérieurs reflètent notre état d'esprit. Un chez-soi désordonné n'est donc pas de bon augure du tout. Faire son lit est un rituel qui permet de faire place nette dans sa chambre et donc dans sa tête. L'ordre, un mot qu'on aime pas trop mais qui peut avoir du bon.
Sur le long terme, cette désynchronisation favorise la fatigue voire la somnolence, des troubles du sommeil, des troubles métaboliques et cardiovasculaires, des troubles de l'humeur et de l'anxiété, ainsi qu'une moindre efficacité du système immunitaire”, met en garde le Dr Colas des Francs, spécialiste du sommeil.