Sortir prendre l'air est un moyen prouvé de se débarrasser rapidement de ce brouillard. Selon de nombreuses études 2, faire une marche de 10-15 min à l'extérieur permet de retrouver notre clarté d'esprit. Cela favorise aussi notre bien être mental et émotionnel.
La psychologue ajoute qu'il existe des causes physiques à ce phénomène. C'est le cas des commotions cérébrales, d'un dérèglement de la glande thyroïde et des carences nutritionnelles, comme une déficience en vitamine B12, vitamine D ou en fer.
Le brouillard mental désigne une sorte de passage à vide, qui empêche de se concentrer au quotidien et de penser clairement. Le site Brain effect décrit les symptômes suivants : trouble de la concentration, oubli, manque d'attention, fatigue, sautes d'humeur, perte de motivation...
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
La qualité du sommeil
Davantage que la durée du sommeil, c'est surtout sa qualité qui permet le repos. "D'un point de vue physiologique, le sommeil lent profond est le plus récupérateur, physiquement et émotionnellement", explique Laure Verret, maître de conférences en neurosciences.
Une étude révèle qu'un cerveau fatigué réclame des pauses, à moins qu'une incitation financière n'en repousse les limites.
La tachypsychie correspond à un déroulement anormalement rapide de la pensée et des associations d'idées. Elle peut être à l'origine de troubles de l'attention et de difficultés pour s'organiser.
Les symptômes peuvent être déclenchés par un stress sévère (par exemple lié aux relations personnelles, finances, ou au travail), une dépression.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Les causes de la fatigue nerveuse ou psychique sont extrêmement nombreuses et souvent difficiles à mettre en évidence. Elle est souvent la conséquence de circonstances socio-environnementales éprouvantes (vie familiale, travail, surmenage intellectuel et physique, stress...).
Selon une étude de l'Inserm, le cerveau améliore ses performances en se mettant partiellement en veille. Quand un événement extérieur sollicite notre attention, on pourrait s'attendre à une mobilisation générale de tous les neurones de notre cerveau.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
1) La fatigue: la concentration nécessite de la vigilance. Laquelle fait forcément défaut après une mauvaise nuit, une journée harassante, la prise d'alcool ou de certains médicaments sédatifs ou anxiolytiques. Mais aussi quand on évolue dans un environnement bruyant.
C'est un mécanisme que le cerveau utilise pour se protéger, car vous savez, on peut mourir de stress. Lors du viol — ou d'un autre événement extrêmement violent comme une attaque terroriste, un crime de guerre — le cerveau déconnecte tous les circuits émotionnels.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Crise d'angoisse : les causes
L'angoisse est associée le plus souvent à la crainte de mourir ou encore la peur de perdre le contrôle, de devenir fou, sans possibilité de se raisonner tant que dure l'attaque de panique, de quelques minutes à plusieurs heures.
Causes de la clinophilie
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.
Les neurones ont besoin d'oxygène et de glucose pour fonctionner. Il est recommandé de les nourrir en acides gras et en glucides complexes, de boire beaucoup, mais aussi de pratiquer trois fois par semaine un exercice physique d'intensité moyenne (vélo, jogging, marche...), à raison de trente minutes par séance.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
La vitamine C des fruits et légumes joue un rôle similaire avec le fer. Or en participant au transport de l'oxygène jusqu'à l'encéphale, via l'hémoglobine, ce dernier agit naturellement sur la santé du cerveau.