Ils sont appelés « gaz à effet de serre » (GES) et formés essentiellement de vapeur d'eau, de dioxyde de carbone (CO2 ou gaz carbonique), de méthane (CH4), de protoxyde d'azote (N2O) et d'ozone (O3).
Pour la vapeur d'eau le « puits » s'appelle… la pluie, et pour le CO2 une partie du puits est tout simplement la photosynthèse. Outre la vapeur d'eau et le gaz carbonique, les principaux gaz « naturels » à effet de serre sont : le méthane (CH4), qui n'est rien d'autre que…
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %). On comprend donc pourquoi le débat se concentre en grande partie sur ce sujet.
Depuis 2006, la Chine a dépassé les États-Unis pour les émissions de gaz à effet de serre. Les émissions de dioxyde de carbone de la Chine sont de 1,8 milliard de tonnes par année, contre 1,59 milliard de tonnes pour les États-Unis, 432 millions de tonnes pour la Russie et 430 millions de tonnes pour l'Inde.
Contrairement aux polluants atmosphériques, les gaz à effet de serre (GES) n'ont pas d'effet local sur la santé mais sur le climat à l'échelle de toute la planète. En effet, ils « captent » une partie du rayonnement renvoyé par la Terre vers l'espace. La chaleur s'accumule alors dans les basses couches de l'atmosphère.
Gaz naturel, gaz propane, gaz butane, biogaz, biométhane… Tous ces types de gaz sont des gaz dits combustibles, utiles pour des usages domestiques. Leur combustion libère en effet de l'énergie thermique, récupérée pour faire fonctionner vos appareils (cuisson, chauffage, etc.) ou même vos véhicules (GNV).
Les énergies renouvelables sont plus propres que les énergies fossiles. Les énergies renouvelables émettent généralement moins de CO2 que les combustibles fossiles. Hormis pour la construction et l'entretien, les énergies renouvelables telles que l'énergie solaire et l'énergie éolienne n'émettent pas du tout de CO2.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
Origine des émissions de CO2 dues à la combustion d'énergie en 2018. En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Le dioxyde de carbone est l'un des principaux gaz à effet de serre. Ainsi, il aide à contrôler la température de la planète en retenant les rayons infrarouges dégagés par le soleil dans l'atmosphère. Sans les gaz à effet de serre, la température de la Terre ne dépasserait pas les - 18° !
Les classes gaz à effet de serre (GES), ou classes GES sont présentes sur le diagnostic de performance énergétique (DPE). Anciennement présente sur l'étiquette climat, elles sont prises en compte dans le calcul de la nouvelle étiquette unique mise en place après la réforme du DPE au 1er juillet.
Le principe est assez simple, votre appareil GPS calcule la distance qu'il y a entre lui et un premier satellite. Avec cette seule information, la position possible de l'appareil est une sphère centrée autour du satellite.
En première approximation, la neutralité carbone a une définition relativement simple. L'idée, c'est de ne pas émettre plus de gaz à effet de serre que l'on ne peut en absorber. En théorie, une fois la neutralité carbone atteinte, la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère n'augmente plus.
Une durée de vie entre 15 et 30 ans
« Il faut compter 15 à 25 ans pour un aérogénérateur terrestre, et 20 à 30 ans pour une éolienne maritime.
l'énergie nucléaire, produite le plus souvent à partir d'uranium ; les énergies renouvelables, produites à partir de ressources naturelles illimitées : eau, vent, soleil, chaleur des sols, force des marées, biomasse, etc.
Les énergies, bien que nécessaires dans notre quotidien moderne, sont toutes émettrices de CO2 (directes ou indirectes). Les énergies fossiles étant largement en tête.
Le gaz naturel, ou gaz fossile, est un mélange gazeux d'hydrocarbures constitué principalement de méthane, mais comprenant généralement une certaine quantité d'autres alcanes supérieurs, et parfois un faible pourcentage de dioxyde de carbone, d'azote, de sulfure d'hydrogène ou d'hélium.
Il s'agit de GPL. Ces gaz de pétrole liquéfiés sont, comme leur nom l'indique, stockés sous forme liquide. Il s'agit du propane et du butane, tous deux sont inodores. On leur adjoint, comme au gaz naturel, un composé chimique odorant pour la sécurité de leurs usagers.
L'effet de serre est principalement lié à l'absorption des rayonnements IR de grande longueur d'onde renvoyés par la surface terrestre, par les nuages et des composés présents dans l'atmosphère de façon naturelle tels que : vapeur d'eau (H2O), CO2, CH4, O3, N2O, gaz fluorés.
L'utilisation massive d'énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole) pour les transports, les bâtiments, l'agriculture, l'industrie produisent de grandes quantités de GES qui se concentrent dans l'atmosphère.
En effet, les gaz à effet de serre permettent de capter les rayonnements infrarouges et de réchauffer le climat. Sans l'effet de serre, la température sur Terre avoisinerait alors les -18°C !