Le diagnostic de la spasticité est essentiellement clinique. Lors de l'examen, le médecin essaye d'étendre le membre atteint et évalue la résistance du muscle à l'étirement.
La spasticité se manifeste sur le plan clinique par l'intensification du tonus musculaire (rigidité musculaire), l'exagération des réflexes tendineux, les spasmes musculaires, le clonus, la démarche anormale et l'incapacité de plier les membres.
Finalement, le stress, le manque de sommeil, des températures froides, un taux élevé d'humidité peuvent aussi accroître la spasticité. Ce n'est qu'une liste brève d'exemples.
La spasticité prend d'abord la forme d'une raideur puis elle peut provoquer des contractures musculaires (contraction involontaire d'un certain nombre de fibres musculaires), invalidantes pour ceux qui en souffrent et qui peuvent être douloureuses.
► Pour tester le tonus musculaire sur les jambes.
Se placer en chaise contre un mur : Si vous tenez + de 60 secondes : Excellent tonus musculaire. Entre 45 et 60 secondes : bon tonus musculaire. Entre 30 et 45 secondes : moyen.
Mesure de la force (Dynamométrie isométrique)
Le test musculaire s'effectue par une légère pression sur un muscle en contraction afin de constater sa tonicité musculaire. Si le muscle quitte sa position c'est qu'il manifeste un stress qu'il soit d'ordre émotionnel, physique, mental, nutritionnel. Le test musculaire s'applique sur n'importe quel muscle.
Tout d'abord, les étirements permettent de diminuer la spasticité et de prévenir les contractures et la douleurs. Les étirements prolongés à l'aide d'attelles et d'orthèses sont plus efficaces que les étirements de courtes durées. Ils sont donc à privilégier lorsque possible.
Pour les membres supérieurs, les muscles spastiques sont en général ceux de la chaîne de flexion (grand pectoral, biceps brachial, brachial, fléchisseurs du carpe, pronateurs, fléchisseurs des doigts et adducteur du pouce).
Les crampes : des contractions désagréables
Connu pour ses propriétés thérapeutiques, le miel de romarin est un excellent myorelaxant.
Un dérèglement du système immunitaire
Dans une myopathie inflammatoire, il se dérègle et produit des auto-anticorps c'est-à-dire des anticorps qui attaquent certains constituants de l'organisme, comme les muscles. Une myosite est une maladie auto-immune.
La myoclonie peut apparaître normalement (par exemple, tressautement d'une jambe lorsqu'une personne s'endort), mais elle peut être due à un trouble, tel qu'une insuffisance hépatique, un traumatisme crânien, un faible taux de glycémie ou la maladie de Parkinson, ou bien à certains médicaments ou drogues.
En cas de stress, tous les muscles renforcent leur tonus afin que le corps prépare sa réaction. Ce réflexe de verrouillage et de défense est une phase d'adaptation du corps face à un danger, un événement indésirable ou qui nécessite une réponse appropriée.
Un examen physique du patient permet de mettre en évidence des signes liés à la maladie : diminution de la masse musculaire, raideur articulaire, difficultés respiratoires, difficultés pour réaliser certains gestes…
Il s'agit d'une tension excessive des muscles, pouvant entraîner des douleurs musculaires (crampes) ou tendineuses et une sensation de raideur. Elle contribue à la difficulté des mouvements.
Comment détecter cette baisse du tonus musculaire chez le bébé, chez l'enfant ou chez l'adulte ? Le diagnostic de l'hypotonie repose sur l'examen clinique et sur différents tests que peut réaliser le médecin. Des examens complémentaires sont parfois prescrits : IRM du cerveau, électromyographie.
Les types de muscles. Il existe 3 catégories de muscles : les muscles striés, les muscles lisses et le muscle cardiaque. Les muscles striés, aussi appelés muscles squelettiques, sont attachés aux os du squelette et sont régis par la volonté de l'individu.
Alterner le chaud et le froid pour relâcher les tensions
Commencez par appliquer une poche de froid sur les muscles douloureux pendant 15 minutes, puis passez à la poche de chaud pendant 15 minutes également. Vous pouvez répéter l'opération plusieurs fois par jour pour soulager les contractures musculaires.
Pour y remédier, on préconise bien souvent du repos, une alimentation équilibrée et variée (riche en protéines animales et végétales, fruits et légumes), une bonne hydratation (mini. 1,5-2 L d'eau par jour) ou des traitements spécifiques à la nature de cette fatigue.
Ces régimes d'entrainement sont, dans l'ordre d'apparition lors d'une planification, la familiarisation, l'hypertrophie, la force maximale, la force explosive-puissance et la vitesse maximale.
Le test musculaire utilisé en kinésiologie consiste à établir un dialogue direct avec le corps. Il permet d'accéder à la mémoire du corps, d'identifier les facteurs contribuant aux blocages et la nature des corrections nécessaires pour les lever. Il utilise la relation entre les émotions, le cerveau et les muscles.
On peut utiliser l'IRM pour visualiser l'inflammation musculaire, comme dans les myopathies inflammatoires. La biopsie musculaire peut être nécessaire pour diagnostiquer une myopathie ou une myosite.