Le diagnostic repose sur l'anamnèse. Le traitement repose sur la psychothérapie individuelle associée à une thérapie familiale (incluant la personne ayant la charge de l'enfant). Parfois, des médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'irritabilité.
Pour aider efficacement un enfant TOP, il est nécessaire de consulter un spécialiste, surtout si vous vous sentez dépassé par la situation. Un pédopsychiatre évaluera votre enfant, et, si nécessaire, prescrira des tests d'orthophonie, de psychomotricité et de psychologie pour établir un diagnostic.
Le méthylphénidate (p. ex., Ritalin, Biphentin et Concerta) La dextroamphétamine (dexédrine, spansule de dexédrine et Vyvanse) Les sels mixtes d'amphétamine ou SMA (Adderall XR)
Il est important de se mettre à sa hauteur et d'établir un contact oculaire. Vous pouvez aussi établir un contact physique comme lui tenir les mains si nécessaire. Une fois que vous avez son attention vous pouvez alors lui expliquer ce qu'il ne doit pas faire et lui proposer une alternative.
Le neuropsychologue pourra ainsi déterminer si le trouble d'opposition s'inscrit dans un syndrome à origine neurologique comme le TDAH ou le syndrome de Gilles-de-la-Tourette par exemple.
Le traitement repose sur la psychothérapie individuelle associée à une thérapie familiale (incluant la personne ayant la charge de l'enfant). Parfois, des médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'irritabilité.
Le méthylphénidate est en effet un stimulant du système nerveux central, augmentant l'activité des neurones dont le signal dépend principalement de la dopamine (molécule sécrétée par un neurone pour en activer un autre).
À retenir. La thérapie comportementale – sous la forme de la formation en gestion parentale ou d'une thérapie individuelle ou familiale – peut être un moyen très efficace de gérer les troubles du comportement. La pharmacothérapie peut contribuer à traiter les troubles sous-jacents ou concomitants.
Le DSM-5 regroupe les symptômes du TDAH en 3 types de présentation clinique (Inattention et Impulsivité-Hyperactivité et combinée). Les symptômes sont présents depuis l'enfance et persistent souvent à l'âge adulte.
La prise en charge de ces enfants consiste à mettre du sens afin que leur comportement perturbateur ne soit plus la seule réponse possible pour eux. Il faut les rééduquer (orthophonie, prothèse auditive, pédagogie adaptée, psychothérapie, orientation…) pour qu'ils apprennent à mieux comprendre et à mieux répondre.
LE TROUBLE DU SPECTRE DE L'AUTISME ET LE TDAH. Contrairement au DSM-IV-TR, la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) indique que le TSA et le TDAH ne sont pas des affections mutuellement exclusives, mais qu'elles coexistent souvent chez la même personne.
Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ». Pour un enfant opposant, le « non » sert souvent de déclencheur de crise.
Chaque consigne se transforme en bataille, toute règle est une incitation à désobéir, même les compliments sont mal reçus ? Qui sont ces « petits chevaux sauvages » qui, à l'instar de SPIRIT (le personnage du film de Dreamworks) s'opposent à toute autorité ?
Ne pas paniquer, ne pas tenter de raisonner la personne, ne pas la ridiculiser. Mais plutôt : dites-lui que vous la croyez mais que vous ne voyez pas ce qu'elle voit, ayez des propos rassurants, essayez de changer de conversation.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Par la suite : l'intervention d'un neuropédiatre est requise chez un enfant présentant un retard d'apparition du langage, des problèmes de concentration avec ou sans hyperactivité, des céphalées, crises épileptiques, vertiges, troubles de l'équilibre ou de la marche, ...
Effets secondaires
«Le Ritalin et la famille des psychostimulants peuvent augmenter le rythme cardiaque et la tension artérielle. Chez les gens qui sont prédisposés à des problèmes cardiaques, ça peut être dangereux.
accélération du cœur, palpitations, troubles du rythme cardiaque, augmentation de la tension artérielle ; maux de tête importants, engourdissement, faiblesse ou paralysie d'un membre, troubles de la coordination, de la vision, de la parole ou de la mémoire pouvant être le signe d'un trouble cérébral.
Enfin, bien qu'on ne constate pas de risque important de dépendance au Ritalin® chez les enfants ayant un TDA-H, le méthylphénidate est reconnu comme une drogue d'abus et il existe un marché noir qui atteint même la cour d'école exposant les enfants qui prennent du Ritalin® à toutes sortes d'agressions et de chantage ...
Les parents qui pensent que leur enfant souffre d'un TOP devraient consulter leur pédiatre, un pédopsychologue ou un spécialiste du comportement de l'enfant.
la provocation peut être utilisée comme outil de manipulation physique, psychique et/ou politique, avec par exemple l'agent provocateur dans une manifestation pacifique, ou l'usine à trolls agissant via les réseaux sociaux) ou pour le renseignement.