La méthode de la dissertation comporte quatre étapes : - Analyser le sujet ; - Rechercher les idées et les exemples et formuler la problématique ; - Établir le plan détaillé et préparer l'introduction et la conclusion ; - Rédiger.
On peut annoncer son plan par des interrogations directes ou indirectes ou les formules suivantes : Dans un premier temps nous montrerons …, puis dans un deuxième temps nous verrons … Tout d'abord, nous montrerons …, ensuite, nous verrons que … En premier lieu, nous étudierons …, en second lieu, nous verrons que …
Une phrase d'accroche est une phrase ou un paragraphe qui introduit votre sujet dans l'introduction et doit attirer l'attention de votre lecteur. Cette phrase est le fruit d'un choix personnel et vous être libre de choisir son style. C'est également le tout premier moment de votre dissertation.
Une dissertation contient obligatoirement trois parties bien distinctes qui sont : · l'introduction ; · le développement ; · la conclusion. Pour mieux cerner ces différentes parties nous réfléchirons sur le sujet : \"apologie du sport\".
ainsi, c'est pourquoi, en conséquence, par suite, de là, dès lors, par conséquent, aussi, de manière à, de façon à, si bien que, de sorte que, tellement que, au point … que, de manière que, de façon que, tant … que, si … que, à tel point que, trop pour que, que, assez pour que…
La réflexion argumentée comporte 120 à 150 mots et se présente en un seul paragraphe. Elle doit répondre de façon synthétique et claire à la question posée. Elle doit comporter une phrase ou deux d'entrée en matière puis d'explicitation et de contextualisation des enjeux de la question, de la problématique soulevée.
La conclusion doit faire l'objet d'un seul paragraphe situé en toute fin de la dissertation. Il s'agit donc d'un texte concis, synthétique et court, où chacune des trois parties peut consister en seulement une phrase. Ce paragraphe de conclusion doit se distinguer du reste du texte par un saut de deux lignes.
Pour élaborer le plan définitif, la meilleure méthode est encore de lister les idées et documents, à l'aide de simples tirets (une feuille par grand thème). Il ne faut pas s'occuper encore d'organiser les éléments avec précision. Dans un premier temps, on se contente de recenser les matériaux.
Une bonne conclusion se doit de récapituler ce qui a été dit et surtout dégagé durant tout le développement. Il faut y donner des réponses claires et synthétiques au problème posé : elle doit ainsi absolument répondre à la problématique posée dans l'introduction.
L'amorce ou entrée en matière se doit d'être originale et de susciter l'intérêt du lecteur. Vous pouvez utiliser un fait marquant, des statistiques, une citation ou un ouvrage. Évitez absolument les amorces du type : « De tous le temps, les hommes se sont intéressés à… ».
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
Construire une problématique, c'est en fait interroger le sujet. Mais il faut poser des questions pertinentes, qui font débat. La problématique guide la réflexion sur le sujet, ouvre des axes de recherche qui permettent de préciser les différents arguments qui alimenteront votre démonstration.
Dans une dissertation, on ne doit pas laisser transparaître ses sentiments ou ses impressions, ni avoir de jugement subjectif. On doit expliquer des faits et les analyser, mais on ne doit pas donner d'opinion.
1 – Introduire l'idée principale de la sous-partie
L'idée principale de la sous-partie doit être introduite car avant d'amener un exemple comme preuve de ce que l'on avance, il faut : Reprendre l'idée de la sous-partie. Contextualiser. Définir des concepts.
Mais quel bonheur de t'avoir au bout de ma ligne ! » : rien de tel qu'un joli compliment pour une première conversation ; « Tu es l'une de ces filles qu'on ne peut pas laisser passer. Mais je perdrai ma vie avant de penser à te bloquer. » : une accroche de maître ; « Je n'ai pas pu faire attention à ta photo.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...