Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps est introduite par une conjonction de subordination exprimant le temps et est complément circonstanciel de temps de la proposition principale. Les feuilles tombent quand l'automne arrive.
La proposition subordonnée circonstancielle est introduite par une conjonction de subordination qui lui donne son sens. Elle peut presque toujours être déplacée ou supprimée. C'est un complément de phrase. Exemple : Quand tu auras fini, tu pourras venir m'aider.
Une proposition subordonnée circonstancielle est une proposition qui joue le rôle d'un complément circonstanciel. Elle constitue donc un groupe facultatif et peut être supprimée de la phrase. Je travaillerai [ pendant que tu dormiras ].
Une subordonnée circonstancielle indique les circonstances d'une action. On distingue des conjonctions de subordination de: -temps : quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que...
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause indique le fait qui est à l'origine de celui de la proposition principale. Elle est introduite par puisque, sous prétexte que, parce que, vu que, étant donné que, du moment que, comme, etc. Il n'est point mort, puisqu'il respire en vous.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc.
Le mode verbal le plus souvent utilisé dans les propositions subordonnées relatives est le mode indicatif. Cependant, dans certains cas, pour exprimer certaines nuances, on emploie aussi le mode subjonctif. Le mode le plus utilisé dans les propositions subordonnées relatives est l'indicatif.
Exemple : Dès que j'aurai fini mon travail, j'irai te retrouver. On peut utiliser des outils subordonnants suivants : quand, lorsque, après que, dès que, une fois que, aussitôt que, sitôt que.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Les propositions circonstancielles de comparaison sont introduites par des mots subordonnants annoncés dans la principale par un corrélatif. La subordonnée de comparaison est généralement à l'indicatif, parfois le verbe est sous-entendu. Ex. : Talis est filius qualis pater (est). Le fils est tel qu'est le père.
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu ! Il a agi par dépit.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Mais est une conjonction de coordination et non de subordination. De plus, seules les propositions subordonnées sont introduites par des mots subordonnants.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
Il existe trois types de complétives : la proposition subordonnée conjonctive en que, la proposition subordonnée interrogative indirecte et la proposition subordonnée infinitive.
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale. Exemple : Je te dis que c'est vrai. : la proposition subordonnée complétive que j'ai compris est COD du verbe crois.
Remarque : les propositions subordonnées complétives peuvent avoir des natures différentes : conjonctive (comme ci-dessus), mais aussi interrogative (Je ne sais pas [quand il viendra]) ou infinitive (On entend [les chiens aboyer]).