En haut du podium, la restauration. Dans les hôtels, les cafés et les restaurants, 5,8% des salariés étaient concernés. Sur la deuxième marche du palmarès des fraudeurs, le commerce de détail alimentaire qui emploie 5,5% de travailleurs au noir.
Le travail au noir peut être pratiqué par une entreprise, mais également par un particulier dans le cadre de service à domicile (garde d'enfants, petits travaux…). Le recours au travail dissimulé permet à l'employeur et à l'employé de ne pas payer des cotisations sociales et salariales.
Vous pouvez, par exemple, promener des chiens, garder des enfants, être serveur dans un café ou un restaurant, être standardiste ou assistant administratif. Vous pouvez également trouver des boulots à temps partiel dans votre secteur.
Qu'est-ce le travail au noir (ou au black) ? Le travail dissimulé est comme son nom l'indique, l'exécution d'un travail commandé par un particulier à un entrepreneur sans que celui-ci soit déclaré au fisc. Le paiement se fait de la main à la main, généralement en espèce, mais aussi par chèque.
Prix du travail au noir
Le tarif horaire au black débute autour de 10 €, mais peut atteindre plus selon les corps de métier. Imaginons qu'un artisan déclaré facture 40 € de l'heure TTC, on peut imaginer que son taux horaire au black sera situé entre 20 et 30 €.
En termes de loi, le travail au noir (encore appelé travail dissimulé) désigne une activité non déclarée. L'employeur vous rémunère « au black » sans vous déclarer en échange d'un service. La loi stipule que toute activité légale doit faire l'objet d'une déclaration à l'embauche auprès de l'Urssaf ou de la MSA.
On parle de situation de travail non déclaré lorsque l'employeur n'a pas effectué de déclaration préalable à l'embauche ou lorsque le bulletin de paye normalement dû au salarié n'est pas remis, ou ne mentionne pas toutes les heures travaillées.
Par exemple, on parle de travail au gris lorsqu'une personne travaille huit heures et on ne la déclare que quatre heures par exemple. Le travail au gris est un phénomène courant et très répandu, notamment dans les domaines du bâtiment, du ménage ou encore la garde d'enfants.
Si le travail au noir attire toujours certains clients, ce n'est pas forcément un hasard. En effet, un artisan au black est généralement moins cher. On considère qu'un artisan au black proposera souvent des tarifs entre 15 et 30 % moins cher que dans le cadre de travaux déclarés.
DE LÀ VIENT L'EXPRESSION «TRAVAILLER AU NOIR» POUR DÉSIGNER LE TRAVAIL ILLÉGAL, NON TOLÉRÉ PARCE QUE PRATIQUÉ DE NUIT. L'expression «marché noir» en découle directement pour dési- gner un commerce qui ne passe pas par les voies officielles, qui ne se fait pas au grand jour.
Un métier sans contact avec les gens
Être rédacteur web freelance, c'est travailler de chez soi, dans son cocon, à l'abri du regard des autres et de toutes les situations angoissantes qui pourrissent la vie des personnes réservées.
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Le travail au noir désigne le travail non déclaré. Autrement dit le fait pour un employeur de faire travailler un salarié sans l'avoir au préalable déclaré aux organismes sociaux, et sans avoir signé de contrat de travail avec ce salarié. Bien évidemment, le travail au noir est formellement interdit en entreprise.
Les contrôles sont assurés par des agents de l'Etat : inspection du travail, officiers et agents de police judicaires, agents des impôts, des douanes ou de l'Urssaf. Ces agents sont en capacité d'auditionner les personnes qui peuvent fournir des informations afin d'établir l'existence de travail au noir.
Un de vos clients a été contrôlé : l'URSSAF peut décider de contrôler également votre activité ; Vous avez fait l'objet d'un redressement fiscal : l'URSSAF souhaitera sans doute procéder à des vérifications ; Vous faites l'objet d'une dénonciation, par un salarié ou un concurrent.