Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
❯ La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif. ❯ Elle complète un nom ou un pronom sur lequel elle apporte des précisions. Elle a la même fonction qu'un adjectif : elle est épithète du nom qu'elle complète.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale.
La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète. 4. La proposition indépendante et la composition de la phrase. Sophie joue à la poupée.
"dont" est un pronom relatif qui remplace de + antécédent dans la subordonnée relative. Voici mon fils, dont je t'ai parlé. "fils" est l'antécédent de "dont" : "Je t'ai parlé de mon fils".
1. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence) : Il est si grand qu'il ne peut passer par cette porte. 2. Marque une intensité affective : Cet homme est si généreux !
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
On utilise le pronom relatif dont pour remplacer un complément introduit par la préposition de. Dont s'emploie avec des verbes (se souvenir de, parler de, avoir besoin de, avoir peur de, etc.) ou des adjectifs (être content de, etc.) ou encore avec des groupes nominaux (le père de Victor, les amis de mon frère, etc.)
Définition de la subordonnée infinitive
La subordonnée infinitive correspond à des critères précis : Elle a son sujet propre. Considérons l'exemple "j'entends les enfants jouer" : la proposition principale est “j'entends”, la proposition subordonnée infinitive est “les enfants jouer”.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Une subordonnée circonstancielle indique les circonstances d'une action. On distingue des conjonctions de subordination de: -temps : quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que...
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
La fonction d'un mot ou d'un groupe de mots est le rôle qu'il occupe par rapport à un autre mot ou groupe de mots. Ainsi on dira d'un mot qu'il est le sujet du verbe x, le complément du nom y, etc.
Les pronoms (tels je, nous, certains, celles-ci, les miens, etc.) ont la capacité de désigner des êtres ou des objets par eux-mêmes, mais aussi de se substituer à d'autres mots ou groupes de mots dans la phrase.
- La proposition indépendante, ne dépend d'aucune autre proposition, et aucune autre proposition ne dépend d'elle. - Erik est sérieux. - Le soleil disparaît derrière les nuages. - La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Analyser logiquement une phrase revient à découper la phrase en propositions, à donner la nature de chacune d'entre elles et la fonction des subordonnées. Faire l'analyse logique de la phrase suivante : Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Il faut savoir reconnaître une subordonnée participiale
soit sémantiquement équivalente à une infinitive, à une conjonctive ou à une relative : "Me voici parlant tout seul." = "Me voici en train de parler tout seul." ou "Voici que je parle tout seul." ou "Me voici qui parle tout seul."