Avec une phrase interrogative, le sujet est placé après le verbe, il est inversé. Qu'il soit placé avant ou après le verbe, c'est toujours le groupe sujet qui détermine l'accord du verbe.
Le sujet inversé
En règle générale, le sujet est placé avant le verbe. Il peut néanmoins arriver qu'il soit placé après le verbe. Dans ce cas, il s'agit d'un sujet inversé, ou éloigné. Par exemple, le sujet est toujours après le verbe à la forme interrogative.
L'inversion simple consiste à placer le sujet après le verbe : Comment allez-vous ? Comment vont tes parents ? L'inversion est dite simple parce que les sujets vous et tes parents sont simplement placés après leur verbe allez et vont. L'inversion complexe consiste à redoubler le sujet : Tes parents vont-ils bien ?
Dans le style juridique et administratif, de même que dans la langue littéraire, il arrive souvent que l'on place le sujet après le verbe, soit pour créer un effet d'insistance, soit parce que le sujet est d'une certaine longueur. On appelle ce procédé l'inversion du sujet.
Quand le sujet est un pronom, l'inversion est simple : il part / part-il ? Quand le sujet est un nom, on garde le nom mais on ajoute le pronom correspondant dans l'inversion : Papa part => Papa part-il ? Maman part => Maman part-elle ?
Pour poser une question à l'écrit ou en français soutenu, on fait l'inversion du sujet. On place le sujet après le verbe.
Personnes ayant répondu : joelle le 9 janvier 2021. L'inversion du sujet après quand bien même n'est nullement obligatoire. (Désolé, pas plus que le conditionnel.)
Le sujet fait ou subit l'action exprimée par le verbe. Il répond à la question qui est-ce qui ? ou qu'est-ce qui ? posée avant le verbe.
Une anacoluthe (ou anacoluthon) est une rupture dans la construction syntaxique d'une phrase.
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
L'inversion simple avec un nom ne pose pas de problème orthographique particulier, si ce n'est l'accord du verbe avec son sujet. L'inversion simple avec un pronom demande de la vigilance : le pronom sujet, placé après le verbe, est lié graphiquement par le tiret : Ne devines-tu point de quoi je veux parler ? (Molière)
Attention à ne pas confondre le COD : avec un sujet inversé ; Exemple : Dans les bois hurlait un loup. avec un attribut du sujet ; Exemple : Le loup est un chasseur diurne. Il n'y a jamais de COD après le verbe être ou équivalent.
La négation s'exprime généralement avec les mots non ou ne suivis d'un mot comme pas, jamais, rien ou personne. La particule ne s'élide en n' devant une voyelle ou un h muet. Amélie ne sera jamais une élève modèle. Elle n'aime pas ses voisins.
Le complément d'objet direct, ou COD, fait partie du groupe verbal. Le COD désigne l'objet de l'action et répond à la question « sujet +verbe + qui ? » ou « sujet + verbe + quoi ? ». Il n'est jamais introduit pas une préposition, mais suis directement le verbe. C'est pour cela qu'on l'appelle complément d'objet direct.
Le COD complète directement le verbe (transitif direct). Exemple : Zoé aime beaucoup les animaux. Le COI est relié au verbe (transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Exemple : Elle parle souvent de son chien.
Un aphorisme est une pensée qui autorise et provoque d'autres pensées, qui fraye un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions. Même si sa formulation semble prendre une apparence définitive, il ne prétend pas tout dire ni dire le tout d'une chose.
oxymore n.m. Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires.
la phrase déclarative qui énonce un fait ; la phrase exclamative qui exprime un sentiment fort ; la phrase impérative qui exprime un ordre ; la phrase interrogative qui pose une question.
Le sujet du verbe se trouve en posant les questions Qui est-ce qui? et Qu'est-ce qui?
Généralement, le sujet est placé avant le verbe, même s'il peut en être séparé par d'autres mots. Mais parfois, le sujet peut être placé après le verbe : on dit alors qu'il est inversé. C'est le cas par exemple dans les phrases interrogatives, à l'écrit notamment.
On appelle « sujet », le mot qui représente la personne, ou l'animal, ou la chose, et qui fait l'action, qui existe, ou qui est dans l'état exprimé par le verbe. Exemples de sujets : Pascal étudie l'anglais. La Terre est ronde.
Exemple : ''Quel est ton nom ? Lui demandé-je.'' L'inversion du verbe et du sujet des verbes du 1er groupe au présent de l'indicatif impose un accent aigu sur le « e » de la désinence.
Demandai-je/demandé-je.