Quand elle apparaît, elle est déclenchée en général par une IST (infection sexuellement transmissible) et prend la forme d'une urétrite : ce n'est pas la vessie qui s'infecte mais l'urètre (le canal urinaire qui conduit à la vessie). L'homme attrape cette infection urinaire après un rapport sexuel contaminant.
Les symptômes d'une infection urinaire chez l'homme sont très variables selon les cas. Il peut y avoir une fièvre et des frissons, des sensations de brûlure en urinant, des envies fréquentes et/ou pressantes d'uriner, des difficultés à uriner, des douleurs dans le bas-ventre, ou, parfois, dans le bas du dos.
Le plus souvent, l'inflammation est provoquée par la prolifération de bactéries intestinales de type Escherichia coli, qui sont nombreuses aux environs de l'anus. Les bactéries passent de la région anale et vulvaire à la vessie en remontant par l'urètre.
Les infections urinaires chez l'homme sont soignées avec des antibiotiques, parfois un drainage de la vessie lorsqu'il y a une rétention aiguë d'urine. "Suite au traitement antibiotique, la cause devra être recherchée et surtout traitée.
"Dans la grande majorité des cas l'infection urinaire n'est pas contagieuse lors de l'acte sexuel car c'est un germe du tube digestif. Dans le cas de germe de la sphère génitale, s'il y a à la fois une infection génitale et urinaire, elle peut être contagieuse. Mais l'infection urinaire elle-même n'est pas contagieuse.
L'infection urinaire n'est ni transmissible, ni contagieuse. Donc oui, vous pouvez faire l'amour avec une infection urinaire, même s'il est préférable d'attendre que les symptômes disparaissent avant d'avoir des rapports sexuels, pour un meilleur confort.
L'infection urinaire se produisant régulièrement après une relation sexuelle est liée à des microbes naturellement présents au niveau de la peau située entre l'urètre et l'anus. Et ces bactéries remontent parfois dans l'urètre jusqu'à la vessie, peut-être parce qu'elles vont vers la chaleur humide.
Ce qui est certain, c'est que le stress affaiblit les défenses immunitaires et rend le corps plus vulnérable aux infections. Dans tous les cas, il est important de consulter rapidement un médecin en cas d'infection urinaire, profitez en pour lui en parler.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
La présence de gaz (air) dans l'urine est un symptôme rare qui est en général le signe d'une connexion anormale (fistule) entre les voies urinaires et l'intestin, qui normalement contient des gaz.
L'aliment phare reconnu pour ses effets sur l'infection urinaire est la canneberge plus communément appelée "cranberry". Il peut y avoir une efficacité.
L'infection urinaire n'est pas transmissible d'une personne à l'autre. En revanche, le rapport sexuel peut déclencher une cystite de différentes manières. Les mouvements durant l'acte sexuel ont une action mécanique qui peut entraîner le passage des germes situés près de l'anus vers le méat urinaire.
De manière générale, en prévention des cystites récidivantes après les rapports sexuels, il est conseillé de : boire beaucoup d'eau, d'uriner tout au long de la journée et pas juste le matin et le soir, d'uriner après les rapports sexuels.
La cystite est une maladie sexuellement transmissible (MST).
Faux. Les relations sexuelles favorisent les cystites (frottement, contact avec les muqueuses anales, libération d'hormones diminuant la réponse immunitaire), mais en aucun cas le germe ne peut être transmis par un partenaire sexuel.
Buvez un grand verre d'eau avant l'acte sexuel
Le fait de boire beaucoup d'eau vous permettra en effet d'uriner fréquemment (dans l'idéal environ 1 fois toutes les 3h) et donc de nettoyer régulièrement votre vessie.
Entre 48h et une semaine après un rapport sexuel non protégé avec une personne atteinte, les symptômes apparaissent. La personne contaminée présente de la fièvre et des douleurs au bas ventre ainsi que des brûlures et/ou pertes et écoulements jaunes au niveau des organes génitaux et/ou de l'anus.
Une infection urinaire de la vessie (cystite) guérit en quelques jours grâce au traitement. En cas de cystite, les symptômes peuvent persister deux à trois jours après le début du traitement, notamment en cas de traitement monodose, puis disparaissent.
En cas de cystite et de prise d'antibiotiques, la consommation de boissons alcoolisées est fortement déconseillée. S'il faut éviter l'alcool, il est également nécessaire de proscrire les jus de fruits très acides (pamplemousse, orange, citron…), et même le café, ou en tout cas les excès de café.
Essayez de vous hydrater suffisamment le matin et l'après-midi pour ne pas avoir soif le soir, limitez le nombre de boissons, ainsi que l'alcool, le thé et la caféine avant de vous coucher, et ne mangez pas trop tard pour ne pas aller au lit en pleine digestion.
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
Uriner assis serait meilleur pour la santé des hommes, car cela leur permet de mieux vider leur vessie. Certaines conditions peuvent empêcher une personne de vider complètement sa vessie, comme des nerfs endommagés et une hypertrophie de la prostate.
A noter que dans notre société, c'est surtout la gent féminine qui s'essuie, les garçons, eux, n'ayant pas toujours ce réflexe-là, ce qui est une erreur. Avoir des gouttes restantes après la petite commission est en effet inévitable pour tout le monde et on devrait ainsi toujours s'essuyer après avoir uriné.
Un léger rétrécissement de l'urètre entraîne généralement un jet urinaire moins puissant ou un double jet. Les sténoses sévères peuvent obstruer complètement le flux d'urine.
Une sensation de picotement ou de brûlure peut survenir au moment d'uriner. Généralement, on pense à une infection urinaire basse, par exemple une cystite chez la femme, une cysto-prostatite (infection urinaire avec atteinte de la vessie et de la prostate) chez l'homme ou une urétrite (infection de l'urètre).
Sur les 3.749 personnes observées, 15 % des hommes ne se sont pas du tout lavés les mains après être allés aux toilettes, contre 7 % des femmes. Quand c'était le cas, seule la moitié des messieurs utilisaient du savon, contre 78 % de leurs homologues féminins.