Ces séismes se trouvent au contact des deux plaques tectoniques qui subissent donc un mouvement de rapprochement : la plaque de Nazca d'origine océanique passe sous la plaque sud-américaine d'origine continentale et plonge dans l'asthénosphère. De la lithosphère océanique disparaît donc au niveau de cette fosse (doc.
La majeure partie de la lithosphère océanique actuelle est âgée de moins de 200 millions d'années, car elle disparaît dans le manteau asthénosphérique lors de la subduction pendant qu'une lithosphère océanique nouvelle se forme au niveau des dorsales par accrétion.
Quand l'eau de pluie ou les rivières s'écoulent, elles vont de haut en bas. Alors l'eau s'accumule sur les parties fines des plaques tectoniques et finit par y former de grandes étendues : les océans.
Cela se produit en 3 étapes : 1. La croûte continentale s'étire et s'amincit => apparition de failles normales et de blocs basculés => C'est le stade fossé d'effondrement (ou stade rift). Le fossé ainsi crée peut se remplir d'eau => formation d'une mer peu profonde.
Ces plaques tectoniques s'écartent continuellement ; ainsi, l'océan Atlantique s'agrandit au niveau de la dorsale d'environ 2 à 3 centimètres par an selon la latitude dans la direction est-ouest.
Sa superficie de 106 640 000 km2 en fait le deuxième par la taille, derrière l'océan Pacifique. Il s'est formé par l'éloignement de plaques tectoniques il y a environ 180 millions d'années.
Les océans naissent dans les zones de convergence des plaques. Les chaînes de montagnes naissent de l'affrontement de deux plaques. Un océan disparaît lorsque deux croûtes continentales se rencontrent. Au cours d'une collision, la chaîne de montagne grandit.
Les fonds océaniques s'élargissent lorsque les plaques océaniques s'éloignent les unes des autres (la divergence). Lorsque cela se produit, des fissures apparaissent dans la lithosphère, ce qui permet au magma (roche liquide et chaude) de remonter et de se refroidir, formant ainsi un nouveau plancher océanique.
Élargissement des océans résultant de l'accrétion de la croûte océanique par mise en place de matériaux mantelliques (en provenance du manteau) dans l'axe des dorsales. L'expansion annuelle des fonds océaniques, ou accrétion, est de l'ordre du centimètre (dorsale lente) ou du décimètre (dorsale rapide).
En bref : les gaz volcaniques auraient formé les nuages. Ces derniers, remplis de condensation, auraient provoqué un « déluge primitif ». On parle de centaines voire de millions d'années d'intempéries qui auraient permis de former les océans tels que nous les connaissons aujourd'hui.
Le sel de mer provient de l'action des eaux de ruissellement et des eaux souterraines sur la croûte continentale. Les ions (Na+, Cl-...) apportés par les rivières se concentrent dans l'eau de mer car ces éléments sont peu réactifs avec les particules et les minéraux marins.
Pendant des millions d'années, un déluge de pluies torrentielles s'est abattu sur la Terre : l'eau, restée liquide grâce à la baisse de température, se répand alors sur la planète, formant les océans. Le climat variant peu, ces océans se maintiennent et dissolvent une grande partie du CO2 atmosphérique.
La subduction est à l'origine du recyclage de la lithosphère océanique : lorsqu'elle devient plus âgée, sa densité augmente, ce qui provoque son enfoncement dans l'asthénosphère. L'enfouissement de cette lithosphère provoque une convection mantellique qui participe à cette dynamique.
Ces fissures favorisent un volcanisme effusif. Le magma qui remonte comble ainsi ces fissures et crée une nouvelle lithosphère. Ainsi, au niveau des dorsales océaniques, on observe un mouvement de divergence : les plaques se forment et s'écartent de quelques centimètres par an.
Les zones de divergence s'observent là où deux plaques tectoniques d'éloignent l'une de l'autre. Elles font l'objet d'un volcanisme intense. Sous la surface des océans, elles correspondent donc aux dorsales ou rides médioatlantiques, et peuvent dans certains cas abriter des îles, comme les Açores ou l'Islande.
La réponse de Wegener est simple: autrefois, tous ces continents n'en formaient qu'un seul, la Pangée, présentant ainsi des aires de répartition cohérentes.
Ces plaques lithosphériques, flottant sur le magma, mesurent environ 100 kilomètres d'épaisseur. Elles bougent de quelques centimètres par année sous l'effet des mouvements de convection du magma à l'intérieur du manteau. C'est la plaque du Pacifique qui est la plus grande.
C'est depuis les profondeurs de l'océan que les fonds marins viennent mettre leur petit grain de sable. Le long de son voyage, la houle va frotter sur les fonds marins. Ce frottement va ralentir sa vitesse d'ondulation tout en amplifiant verticalement la houle pour former des vagues en se rapprochant de la côte.
A partir de l'âge des zircons (environ 4 milliards d'années), S. Mojzsis a estimé que les océans avaient mis environ 150 millions d'années à se former.
La première, la plus ancienne, avance que l'eau proviendrait du dégazage du manteau de la Terre pendant l'Hadéen, il y a plus de 4 milliards d'années. Les gaz volcaniques, riches en vapeur d'eau, se seraient alors refroidis et auraient formé les premiers nuages.
A ce jour, la fosse des Mariannes qui se trouve dans le Pacifique Nord-ouest est la fosse océanique la plus profonde et l'endroit le plus profond de la croûte terrestre : en 2014, la profondeur maximale retenue est de 10 984 m ± 25 m.
Les conditions de vie dans les profondeurs de l'océan sont extrêmes : pas de lumière, peu de nourriture, une température glaciale et une pression écrasante ! Elles n'empêchent pas la vie de s'y développer : on y trouve des poissons, des bactéries, des méduses, des invertébrés, des requins.
Océan Pacifique : il est considéré comme le plus grand des océans avec une superficie de 165 250 000 km², soit 43,5% de la surface totale des océans. Il s'étend de l'Amérique jusqu'en Asie et se délimite au nord par l'océan Arctique et au sud par l'océan Antarctique.