Pour devenir une femme leader, prenez conscience de votre force, de comment vous avez résisté aux difficultés et surmonté les échecs. Il faut également vous obliger à faire connaître vos réussites.
C'est-à-dire de la capacité à faciliter l'accès des femmes à des fonctions de leader afin de piloter des projets, manager des équipes et diriger des services. La notion de leadership féminin est un sujet sensible, comme toutes les questions qui touchent au genre.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Le leadership féminin influence la performance des entreprises. En effet, la performance des entreprises dépend de la performance organisationnelle. Laquelle performance se nourrit de la diversité des comportements.
Une vision claire, la capacité d'influencer et de motiver, et de bonnes compétences en matière d'écoute et de communication sont les trois qualités essentielles des grands leaders, selon notre dernière étude Executive Horizons.
Que l'on ait de grosses responsabilités dans le monde de l'entreprise ou que l'on s'attèle à faire bouger les choses via une association ou un parti politique, ce que l'on peut retenir, c'est que toutes ces femmes qui donnent l'exemple ont des projets et s'assument telles qu'elles sont.
Il est fondamental que le leader communique avec ses employés afin d'établir un lien avec l'équipe, ce qui est indispensable. C'est le est le moyen idéal d'apaiser les esprits et de motiver le groupe en cas de besoin (ou pour le contraire, c'est pourquoi il est important de savoir communiquer correctement).
Les mauvais leaders évitent ou ignorent les conflits
Que ce soit lors d'un conflit direct avec un autre employé ou lorsqu'il est nécessaire de jouer les médiateurs entre deux partis dans une dispute, un leader ne devrait pas prétendre que tout va bien et assumer que les choses vont se régler d'elles-mêmes!
Qu'il soit féminin ou masculin, le vrai leader est avant tout une personne qui rassemble, fédère, entraîne, influence et impulse tout en individualisant son accompagnement.
Le leader se doit donc de faire en sorte que son équipe lui fasse confiance ; il doit pour cela donner l'exemple, respecter ses engagements, faire ce qu'il dit et dire ce qu'il fait, soutenir ses collaborateurs y compris lorsqu'ils se trompent, leur porter de l'attention et leur montrer de la reconnaissance en cas de ...
Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Pour la majorité d'entre nous, le leader jongle avec les mots, entraîne, motive, inspire, prend des postures courageuses et se veut en rupture avec le statu quo. Il ne se contente pas de gérer l'existant, il crée de nouvelles brèches, des ouvertures, de véritables opportunités de développement.
En tant que communicant, il est essentiel de savoir faire preuve d'innovation et d'imagination pour pouvoir surprendre et se démarquer des concurrents. Pour marquer l'esprit du public, il faut aussi savoir se renouveler constamment et accepter de se remettre en question.
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Le leadership autoritaire (ou autocratique)
Le leadership autoritaire implique une réelle supériorité hiérarchique avec des dirigeants qui exercent un certain contrôle sur leurs subordonnés. La prise de décision est centralisée, ce qui signifie qu'une seule personne prend toutes les décisions importantes.
La féminité traditionnellement valorisée s'oppose aux attributs masculins : douceur, beauté, soumission, dépendance, repliement sur soi, finesse, souplesse en sont des attributs historiquement construits et constitutifs.
Au fond, l'idée est que les femmes, non seulement peuvent faire tout ce que font les hommes, mais que, dans les conditions du capitalisme, elles peuvent le faire mieux que les hommes. Elles seront plus réalistes que les hommes, plus acharnées, plus tenaces.