Mode d'emploi : l'injection doit se faire par voie sous-cutanée dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras. En cas d'oubli : rattrapage possible dans les cinq jours suivant l'oubli, puis continuer le traitement normalement, sans décalage. Si plus de cinq jours se sont écoulés, sauter la dose et attendre la prochaine.
Voie sous-cutanée. Ozempic doit être injecté par voie sous-cutanée dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras.
Les injections sont réalisées sous la peau de la cuisse, de l'abdomen ou de la partie supérieure du bras, et ce, une fois par semaine.
Ne modifiez pas votre dose à moins que votre médecin ne vous l'ait recommandé. Les meilleurs endroits où injecter Ozempic® sont l'avant des cuisses, le devant de la taille (abdomen) ou le haut des bras.
Tenez le stylo injecteur dans le poing ; tenez le pouce à distance du bouton de dose. En tenant le stylo selon un angle de 90 degrés par rapport à la surface de la peau, enfoncez délicatement l'aiguille dans la peau. Soulevez un pli cutané si nécessaire.
Premièrement, il faut tenir correctement le stylo avec votre main dominante de préférence après avoir retiré son capuchon. Les autres doigts servent à stabiliser la feuille. Cela vous permettra d'éviter de fatiguer rapidement votre main. Si celles-ci sont petites, le mieux c'est d'enlever carrément le capuchon.
Sur votre abdomen, choisissez une zone au moins à 5 centimètres de votre nombril et vers les côtés. Alternez la zone d'injection entre le côté droit et le côté gauche de votre abdomen. 3. Nettoyez (sans frotter) la zone avec un désinfectant vendu en pharmacie.
« Je n'ai jamais pensé que ça allait devenir viral », lâche Pascal Chrétien. Cet entrepreneur de 46 ans a publié en mai dernier une vidéo sur TikTok dans laquelle il explique avoir perdu une trentaine de kilos en neuf mois grâce à l'Ozempic, lui qui avait un indice de masse corporelle de 37 (obésité sévère).
Déshydratation Durant le traitement par OZEMPIC®, vous pourriez ressentir une sensation de malaise (nausées) ou présenter des vomissements et de la diarrhée. Ces effets secondaires peuvent entraîner une déshydratation (perte de liquides).
« Tout médicament qui a de grands bénéfices risque de causer des effets secondaires », dit-il. Surtout qu'Ozempic est prescrit pour les personnes souffrant d'obésité sévère. Enfin, il recommande de consulter un médecin avant toute perte de poids.
On peut l'injecter à tout moment du jour, sans égard aux repas. Après quatre semaines, votre dose sera augmentée à 0,5 mg une fois par semaine. Au besoin, votre médecin pourrait à nouveau augmenter votre dose 4 semaines plus tard jusqu'à un maximum de 2 mg une fois par semaine.
Les seuls produits pour maigrir encore commercialisés sont l'Alli (sans ordonnance) et le Xenical (sur prescription), dosages différents du même principe actif, l'orlistat.
Ce médicament est un antidiabétique injectable. Il agit en se fixant sur les récepteurs de l'hormone appelée glucagon-like peptide-1 (GLP-1), qui a un rôle dans le contrôle de la glycémie. Il stimule la libération d'insuline lorsque le taux de glucose dans le sang est élevé.
Le traitement symptomatique de la diarrhée par un ralentisseur du transit (lopéramide ou codéine) suffit habituellement. Les mucilages peuvent être utiles pour augmenter la consistance des selles et réduire l'incontinence fécale.
Le sémaglutide réduit la glycémie de façon glucose-dépendante en stimulant la sécrétion d'insuline et en réduisant la sécrétion de glucagon lorsque la glycémie est élevée. Le mécanisme de réduction de la glycémie entraîne également un léger retard de la vidange gastrique en début de phase postprandiale.
Ozempic® est un nouveau peptide analogue au glucagon-1 humain (GLP-1), administré une fois par semaine, qui stimule l'insuline et empêche la sécrétion de glucagon d'une façon glucodépendante1.
Le pontage gastrique fonctionnerait en effet très bien grâce à la libération de trois hormones des intestins à des niveaux élevés. cette combinaison hormonale, appelée “GOP” (pour glucagon-like peptide-1 (GLP-1), oxyntomodulin et peptide YY), réduit l'appétit, engendre une perte de poids et améliore le métabolisme.
A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C ou au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C). Ne pas congeler Ozempic et ne pas l'utiliser s'il a été congelé. Conserver le capuchon sur le stylo lorsqu'il n'est pas utilisé, afin de le protéger de la lumière.
L'association phentermine-topiramate est aussi particulièrement efficace contre l'obésité. Vendue aux États-Unis, elle diminue le poids de 8 %. Elle permet également une perte pondérale d'au moins 10 % chez un plus grand nombre de patients que presque tous les autres médicaments, ont montré les chercheurs chinois.
Insérez l'aiguille dans la peau sans pli cutané sous un angle de 45o par rapport à la couche de graisse. Donnez l'injection rapidement et ne retirez pas le piston (n'aspirez pas) avant l'injection.
Il semblerait que le fait de presser la zone d'injection avec le pouce ou la main pendant dix secondes avant l'injection soit de nature à «légèrement réduire la douleur».
Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.
Mécanisme du stylo à bille rétractable
Tous les stylos rétractables sont dotés d'un ressort situé au niveau de la douille (ou pointe), qui maintient la cartouche en position rétractée. Mais c'est la came, ou mécanisme poussoir, qui fait toute la magie de ce type de stylo.
Comme son nom l'indique, il roule sur le papier grâce à une bille située à la pointe du stylo, appliquant ainsi l'encre. Contrairement à la mine d'un stylo à bille, l'encre située à l'intérieur de la mine du roller est liquide, ce qui permet à la bille de glisser plus facilement sur le papier.