Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
-> On écrit "quoique" quand on peut le remplacer par "bien que". exemple : Quoique cet exercice soit facile, il ne comprend rien. = Bien que cet exercice soit facile, il ne comprend rien. -> On écrit "quoi que" quand on peut le remplacer par "quel que soit".
Indique la concession. Synonyme : alors que, quoique, tandis que.
Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s'agit d'une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l'illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé.
"Malgré que" n'est pas, en tout cas dans la langue soignée, directement suivi d'un verbe au subjonctif. Si l'on tient vraiment à l'employer, il faut intercaler "le fait que" et, seulement à cette condition, on peut le faire suivre d'un verbe au subjonctif.
« Bien que », locution qui introduit une concession, est en général suivie du subjonctif.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas.
Locution signifiant malgré, même en prenant en compte ces événements.
L'expression « bien que » se trouve le plus souvent à l'écrit, mais elle peut aussi se trouver dans la langue parlée. Elle est toujours suivie du subjonctif (bien que + subjonctif). Cette locution conjonctive est utilisée pour introduire une proposition de concession. Elle a le sens de « quoique ».
Elle remplace les «salutations» que l'on retrouverait dans un courrier, et s'emploie pour un premier contact dans un mail. «Bien cordialement» est une variante possible qui n'apporte pas grand-chose, hormis de renforcer la cordialité par un autre adverbe à connotation positive.
Formule de politesse que l'on peut écrire à la fin d'une lettre ou d'un email. Cette expression est synonyme de : cordialement, respectueusement ou salutations distinguées.
Cette formule s'emploie en guise «d'au revoir», lorsqu'on veut signifier à son interlocuteur que l'on espère le voir bientôt. Le «plaisir» nous vient de l'ancien français plaisir, qui signifiait «plaire», du latin placere, «être agréable, agréer». Jusqu'ici, rien ne semble justifier l'opprobre lancé sur notre formule.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes.
La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
Définition "tant bien que mal"
Dans une certaine manière, mais pas très bien.
Quand dire néanmoins ? Le mot "néanmoins" est un adverbe qui a pour fonction de marquer l'opposition ou bien encore la concession. A l'image de son synonyme "cependant", un autre adverbe dont il se rapproche fortement par le sens, il sert à nuancer un propos ou une idée.
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.
Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment. Remarque : Que devant une voyelle devient qu'. Dont remplace un mot complément précédé de de.
adj. adv. avec certitude, bien, bien sûr, bravo, certainement, certes, d'accord, d'accord!, effectivement, en effet, justement, ok, oui, précisément, réellement, sûrement, tout de même, tout juste, véritablement, vraiment, d'acc, O.K.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Malgré que exprime l'idée de concession. D'autres connecteurs de concession peuvent donc dire la même chose : bien que , quoique (en un seul mot), éventuellement encore que .
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d'un temps composé de l'indicatif : ici, il s'agit d'un passé antérieur.