Respecter l'intimité, c'est donc d'abord séparer l'ordre, extérieur, des choses et des objets, de l'ordre spécifique de la personne, de son intimité, de la relation, de la présence. On ne fait pas une toilette (ordre des choses), on aide une personne à se laver.
L'intimité est selon le Robert le caractère intime, intérieur et profond ;ce qui est intérieur et secret ; caractère étroit et profond (d'un lien) ; l'intimité d'une personne, sa vie intime, privée ; agrément, confort d'un endroit où l'on se sent tout à fait chez soi, isolé du monde extérieur.
Lorsqu'il aborde la personne, le soignant doit veiller à la toucher par le regard, le geste ou la parole de manière à respecter ses conceptions personnelles et culturelles d'une façon qui ne soit pas vécue comme une intrusion forcée dans une intimité jugée sacrée.
Cette intimité permet à chacun, enfant ou parent, de vivre des moments agréables et chaleureux, de se sentir soutenu et protégé face au stress et aux difficultés de la vie. Elle permet à chacun de s'épanouir, d'avoir confiance en lui-même et d'être capable d'établir des relations satisfaisantes avec son entourage.
L'intimité renvoie de façon quasi obligée à une première intimité, celle de son corps. Et cette intimité corporelle est elle-même liée à des modes culturelles, à des traditions sociales, à des systèmes éducatifs en évolution selon les sociétés et leurs rituels, à des temps historiques.
Respecter l'intimité, c'est donc d'abord séparer l'ordre, extérieur, des choses et des objets, de l'ordre spécifique de la personne, de son intimité, de la relation, de la présence. On ne fait pas une toilette (ordre des choses), on aide une personne à se laver.
Respecter la dignité d'un malade revient donc à reconnaître sa singularité, le soigner avec considération et dévouement, lui apporter le soutien psychologique qui lui est nécessaire, c'est aussi savoir l'accompagner au terme de sa vie ou de son accueil à sa sortie. Ce devoir se doit d'être transmis !
Le temps de la toilette doit être vécu le plus possible comme un plaisir. Le soignant entre dans l'intimité de la personne et le contact ne va pas de soi, surtout lors de la première rencontre. Ainsi, il est possible que, durant le temps de l'adaptation, la personne refuse toute aide.
Disposition à éprouver de la gêne devant ce qui peut blesser la décence, devant l'évocation de choses très personnelles et, en particulier, l'évocation de choses sexuelles : Manquer de pudeur.
L'intimité est une connexion et un lien affectif étroit et unique entre plusieurs personnes, en lien avec le partage de certaines expériences communes. Elle peut aussi représenter l'espace personnel, et le jardin secret de chacun.
Caractère de ce qui est intime, profond, intérieur : Dans l'intimité de sa conscience. 2. Familiarité qui unit des personnes liées par l'amitié, l'amour : Ne troublez pas leur intimité conjugale.
Pour Meder-Klein (8), « Partager une intimité sociale, c'est partager un territoire dans des distances et des espaces définis par les personnes, c'est consentir à l'intrusion de l'autre et c'est se mouvoir sous la protection du secret professionnel ».
Skinship (« Relation de peau »)
Le terme « skinship » (スキンシップ 'sukinshippu') prend ses origines d'un pseudo-anglicisme d'un mot Japonais (wasei-eigo), qui a été inventé pour décrire l'intimité, ou la proximité, entre une mère et un enfant.
Face à un refus de soin, le soignant ne doit pas abandonner, ni se déresponsabiliser. Le refus peut susciter un moment d'échange et de mise au point. Pour autant, il ne s'agit pas de harceler le patient, ni de devenir maltraitant.
Définition "intégrité"
Vertu morale qui témoigne d'une rigoureuse honnêteté. État de ce qui est complet et entier. Caractère de ce qui est intact, entier.
L'intégrité morale
le respect de la dignité humaine (principe à valeur constitutionnelle en droit français) le droit à l'honneur. le respect de la vie privée (principe à valeur constitutionnelle en droit français)
humain, le principe selon lequel la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l'être humain dès le commencement de la vie.
L'information et le consentement aux soins : information du patient sur son état de santé et consentement aux soins, droit de refuser un traitement, droit d'être accompagné d'une personne de confiance, droit d'exprimer sa volonté dans des directives anticipées, accès au dossier médical.
Dans la relation entre l'infirmière et le patient, le respect se manifeste notamment par l'approche de l'infirmière, par son écoute, ainsi que par la façon dont elle répond aux besoins et attentes exprimés par la personne prise en charge.
Pour y parvenir, il faut, dans sa prière, laisser la priorité à l'Esprit saint . C'est-à-dire privilégier l'esprit de prière plutôt que les recettes et les formules. Le progrès, dans la vie spirituelle, c'est de passer de « l'action avec l'Esprit saint » à « la vie du Christ en soi ».