un sentiment de culpabilité, l'impression ne jamais faire assez bien par rapport aux autres, une grande fatigue physique et mentale, des troubles du sommeil : difficulté d'endormissement, insomnies ou réveils nocturnes, des troubles de l'humeur : irritabilité, emportement excessif pour des détails, par exemple.
Déléguer entièrement une tâche sans y penser et sans revenir dessus et faire confiance à l'autre dans sa réalisation. Déléguer des tâches même partielles aux enfants pour se décharger. Organiser une pause familiale (réunion) pour mettre en mots ce qui surchage votre esprit.
La surcharge cognitive correspond à un état mental où un individu est engagé dans la réalisation d'une tâche extrêmement exigeante pour lui : il ne dispose pas des ressources cognitives suffisantes à une mise en œuvre aisée de cette tâche.
A un niveau personnel, la charge mentale, lorsqu'elle est trop importante, peut donc avoir des conséquences sur la santé et présenter des risques. Troubles du sommeil et de l'attention, et dans les cas les plus graves, épuisement ou burn out.
Elle serait liée à la faculté d'anticiper les conséquences de ses propres actions à long terme et donc proportionnelle à l'intensité d'une angoisse : celle d'oublier de devoir faire quelque chose d'important.
Arrêtez de ronchonner et filez vous lover contre lui. « C'est souvent parce qu'on est moins présente qu'un homme s'enferme dans ses routines », explique la psychothérapeute Jane Turner*. Son conseil ? Touchez-le, prenez-lui la main et riez comme au premier soir devant une rediffusion de La Grande Vadrouille.
Cette charge n'est pas répartie équitablement au sein du couple et reste encore aujourd'hui majoritairement supportée par les femmes, accentuant les inégalités sur le marché du travail. Au-delà de son impact sur les inégalités professionnelles, la charge mentale affecte aussi le bien-être des femmes.
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
La parité dans les foyers, ce n'est pas gagné : si les couples choisissent à deux leur logement, mettent en commun leurs revenus, ce sont toujours les femmes (93%) qui font le ménage et s'occupent des enfants, selon une étude du Credoc .
Si le partage des tâches gagne du terrain, il semblerait que la responsabilité et l'organisation pèsent toujours sur les épaules des femmes : c'est ce qu'on appelle la “charge mentale”.
La « charge émotionnelle », ou « charge affective » est le pendant émotionnel de la charge mentale. Trop souvent oubliée, elle peut pourtant devenir trop lourde à porter et provoquer stress, anxiété, burn out, démotivation et même maladies.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
Dans certaines études, la charge mentale réfère à la quantité de ressources mentales à mobiliser pour l'effectuation d'une tâche. Une version moins restrictive renvoie à l'ensemble des exigences et des pressions psychologiques exercées sur le psychisme du travailleur.
On parle de surcharge de travail lorsque la quantité de travail à réaliser dépasse ce que l'on est capable d'accomplir dans le temps imparti. Résultats : une tendance à rester plus tard au bureau, voire à travailler de chez soi, le soir et le week-end.
Ainsi, (effort cognitif est pensé par les psychologues en termes de coût cognitif, c'est-à-dire de ressources allouées, à un instant donné, au système de traitement pour résoudre une tâche particulière en utilisant une stratégie donnée.
étude des activités psychologiques supérieures (perception, attention, mémoire, langage, processus intellectuels).
Les fonctions cognitives permettent d'interagir avec son environnement. Elles incluent aussi la capacité d'apprentissage intellectuelle et physique d'un individu. En d'autres termes, elles sont indispensables au bon fonctionnement du corps et de l'esprit. Il existe différentes catégories de fonctions cognitives.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.