-> sens et sent sont les formes conjuguées du verbe "sentir" aux trois personnes du singulier du présent de l'indicatif. Je sens le parfum des roses / tu sens le parfum des roses / il ou elle sent le parfum des roses. -> sans est une préposition qui marque l'absence, le manque, la privation.
* 'sans' est une préposition qui précède un verbe à l'infinitif,un pronom, un nom ou un GN et qui exprime l'absence. * ' sans ' est suivi par un verbe à l'infinitif. * 'sans' est le contraire de 'avec'. EX : Il part sans son cartable.
Sans, c'en, cent, s'en, sang, sens, sent.
Il faut écrire : Elle travaille dur mais personne ne s'en rend compte. Le verbe qui suit « sans » n'est pas à l'infinitif : il ne s'agit donc pas de « sans ». En revanche, on peut dire « il s'en rend compte » : on écrit donc « s'en ».
Mettre un s au pluriel ou non, telle est la question. Après la préposition sans, la grammaire n'impose ni le singulier ni le pluriel. C'est le sens et l'usage qui décident.
Père ; pair ; paire.
aberration, absurdité, contresens.
Dont est un pronom relatif qui suit un nom ou un groupe nominal. Ex. : Le petit animal dont je vous avais parlé est un hamster. Donc est une conjonction de coordination qui relie deux parties de phrases et indique une conséquence. Ex. : Je suis en retard donc je me dépêche.
Il faut écrire : Le médecin passe dans chaque chambre mais n'y reste pas longtemps. « Ni » est ici suivi d'un verbe, « reste », et l'on trouve après le verbe un terme renforçant la négation, « pas » : ce n'est donc pas « ni » qu'il faut écrire, mais « n'y ».
Verre, vert, vair, ver, vers…
Les homonymes sont des mots qui se prononcent ou s'écrivent de la même façon, mais ont des sens différents.
homonyme n. Personne, ville, etc., qui porte le même nom qu'une autre.
Les homophones sans, s'en, cent, sang, sens, sent et c'en se distinguent grâce à des manipulations syntaxiques.
Continuons dans la série des homophones avec celle-ci : air, aire, ère, erre et hère. Évidemment, tous ont la même prononciation, mais pas le même sens.
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles. (Une histoire comporte d'habitude plus d'une parole.)
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
"Et/ou autres" peut facultativement s'employer au singulier quand il est suivi d'un terme générique lui-même au singulier (genre, espèce, forme… mais aussi animal, individu, représentant…). En règle générale, les termes précédents sont aussi au singulier.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
On appelle adverbe (abréviation adv) une catégorie de mot, ou un segment (locution adverbiale) qui s'adjoint à un verbe, à un adjectif ou à un autre adverbe, pour en modifier ou en préciser le sens. Par exemple : rapidement, lentement, courageusement. Par exemple : Ils sont rentrés rapidement.
Il faut écrire : Les tests étant plutôt encourageants, il poursuit ses expériences. « Les tests étant plus tard encourageants, il poursuit ses expériences » ne veut rien dire. On écrit donc « plutôt », qui marque l'intensité et qu'on peut ici remplacer par « assez » : « Les tests étant assez encourageants… »
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
La conjonction or, qui unit le plus souvent des phrases, est généralement précédée d'une ponctuation forte (point ou point-virgule). Il était absent ; or, il avait dit qu'il viendrait. La virgule après or est fréquente, mais elle n'est pas obligatoire.
1. Indique le temps ; à ce moment-là (dans le passé ou dans l'avenir) : J'avais alors une quinzaine d'années. 2. Introduit l'expression d'une conséquence ; en ce cas, dans ces conditions : Si vous êtes d'accord, alors vous pouvez signer.
Locution verbale
Être logique, rationnel, conforme à la raison. (Par extension) Être conforme à ses valeurs.
Aptitude à connaître, à apprécier quelque chose de façon immédiate et intuitive : Avoir le sens des nuances. 3. Ce que quelque chose signifie, ensemble d'idées que représente un signe, un symbole : Le sens d'une allégorie.