Le fait de réfléchir sur soi avant de tout imputer à l'autre a toujours des effets positifs. Tout comme essayer de comprendre ce que la situation comporte pour l'autre de difficile: ne pas prendre les choses personnellement évite de se sentir blessée, humiliée, donc de sur-réagir et d'alimenter le cercle du conflit.
Dans tous les cas, en cas de conflit avec votre belle-fille ou votre gendre, il est vivement conseillé de ne jamais inciter votre fille ou votre fils à prendre parti. Afin de réussir à supporter votre belle-fille ou votre gendre, pensez à vous faire aider par exemple dans un premier temps par des proches.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte. Lorsque vous êtes en leur présence, détendez-vous.
Montrez-lui qu'elle est le chef chez elle et complimentez-la. En revanche, n'acceptez pas qu'elle critique votre façon de faire devant les enfants. Il faut que ça soit bien clair : si elle a quelque chose à dire, ce ne doit être en aucun cas en leur présence.
Le sujet est toujours un peu tabou. Le modèle éducatif peut varier : un autre facteur à ce rejet de l'enfant de l'autre peut être plus personnel, propre au style de vie du couple, à son modèle d'éducation (permissif, démocratique, autoritaire et distant…), qui peut être différent selon les gens.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
- Sachez respecter vos limites : si sa présence vous est à ce point insupportable, mieux vaut peut-être trouver une solution pour continuer à voir votre fils et vos petits-enfants seuls. - Évitez de trop en parler avec vos amies. Par empathie, celles-ci vont vous plaindre à l'excès et faire monter votre émotion.
Pour leur quiétude émotionnelle, Christophe Fauré recommande aux belles-mères de faire preuve de respect envers l'ex de leur conjoint, de rester neutre, de ne jamais la critiquer devant les beaux-enfants, de ne pas placer l'enfant dans une situation où il devrait choisir entre sa belle-mère et son parent (il prendra ...
L'enfant passera toujours en premier et vous devrez respecter et soutenir cela. En fixant des limites claires et en faisant preuve d'empathie envers votre partenaire, vous n'aurez pourtant aucun problème à vivre une relation avec une personne qui a déjà un enfant.
Pensez à organiser, de manière régulière, des activités qui réuniront votre famille recomposée le temps de quelques heures ou d'une journée: un après-midi de balade, une visite au musée, un cinéma, un atelier culinaire… L'important est de passer du bon temps ensemble, mais aussi se créer des souvenirs en famille.
1. Comprendre et accepter vos propres limites. Vous aussi vous débarquez avec votre passé, votre vécu et vos anciennes blessures et vous avez le droit de dire STOP quand vous sentez que les limites de ce que vous pouvez accepter sont sur le point d'être franchies.
Passer du temps seul avec votre enfant l'aide à s'adapter à la famille recomposée. Faire des activités amusantes avec les enfants, créer des rituels propres à la nouvelle famille et établir des règles familiales avec son nouveau partenaire favorisent la bonne entente.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
Ne pas critiquer les beaux-enfants
Mieux vaut donc avoir une conversation avec le conjoint quand la belle-mère se sent mise de côté, non soutenue ou entendue, plutôt que critiquer les enfants. De plus, il est possible de faire le point entre ce qui est agaçant et ce qui est problématique chez les beaux-enfants.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.
Pour réussir à trouver sa place au sein d'une famille recomposée, le beau-parent ne doit pas hésiter, en fonction de l'histoire familiale et de l'âge de l'enfant, à passer du temps avec lui, seul ou avec son partenaire. Et là, ce dernier joue un rôle primordial.
L'enfant de l'autre a peut-être encore plus besoin d'être aimé pleinement et de façon généreuse, parce que la séparation de ses parents est une souffrance pour lui. Aimer un enfant dans le désintéressement, c'est comme donner de l'engrais à une plante : il s'épanouira et vous le rendra au centuple.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Apportez-leur un petit cadeau si vous leur rendez visite. Si votre belle-famille vous a invité chez elle, il est généralement considéré comme poli de venir avec de la nourriture, une boisson ou un petit présent.
Montrez votre bienveillance en offrant des cadeaux par exemple ou en proposant votre aide. Dans toutes les situations, restez naturel, jouer les plastiques ne fera qu'empirer votre situation. Il vaut mieux que votre belle-famille vous voie sous votre vrai jour et s'y adapte dès la première rencontre.