Si l'on s'en réfère aux règles hydrographiques, la Seine ne coule pas à Paris: c'est l'Yonne qui arrose la capitale.
La Seine ne devrait pas porter ce nom. Le célèbre fleuve qui traverse Paris, et passe à Puteaux avant d'aller se jeter dans la Manche, ne devrait pas s'appeler la Seine, mais l'Yonne, si l'on s'en tient aux règles hydrographiques.
Selon la version la plus communément admise, il s'agirait tout simplement d'une histoire d'influence datant de l'époque gauloise : ce sont les prêtres et les druides des sources de la Seine, plus puissants, qui auraient imposé l'idée d'une supériorité de leur rivière !
Un estuaire est la portion aval d'un fleuve sous l'influence de la marée. Pour la Seine, l'estuaire correspond aux 170 derniers kilomètres du fleuve, avant qu'il se jette dans la Manche.
La Seine prend sa source à Source-Seine en Côte d'Or sur le plateau de Langres, à 450 mètres d'altitude, et se jette 773 kilomètres plus loin dans la Manche entre Le Havre et Honfleur. Le bassin versant de la Seine couvre 75 000 km².
Ce poète si important du XXe siècle n'avait pourtant pas tout à fait raison, et pour cause : si l'on s'en réfère aux règles géographiques et hydrographiques, la Seine ne coule pas du tout à Paris et c'est un autre cours d'eau, l'Yonne, qui fait son lit dans la capitale.
Onde de marée
Dans cette zone, la salinité varie tout le temps selon les conditions de marée et de débit et forme un gradient. » Donc, pas de trace de sel dans la Seine à Rouen ou Poses, malgré la présence de la marée.
Si l'on s'en réfère aux règles hydrographiques, la Seine ne coule pas à Paris: c'est l'Yonne qui arrose la capitale.
Des « blocs de glace et de roches arrachés aux montagnes »
Ces éléments rabotaient les rives pour progressivement inciser les falaises et former les méandres actuels. Ces méandres sont également dus à la faible pente du fleuve sur ses 200 derniers kilomètres, qui fait serpenter l'eau le long de larges boucles ».
Le cétacé pourrait aussi être un "pionnier", poussé au voyage soit par envie de découvrir un nouveau territoire, "comme un humain", ou encore "poussé par la faim", avance la scientifique.
Longue de près de 13 km, avec une profondeur variant entre 3,40 et 5,70 m, d'une largeur de 30 à 200 m, la Seine aujourd'hui traversée par trente-sept ponts dont quatre passerelles accessibles uniquement aux piétons, est au cœur du développement de la ville de Paris.
Les fleuves prennent leur source en montagne ou sur des plateaux et ils coulent vers la mer. On dit qu'ils coulent de l'amont (du haut) vers l'aval (le bas). Ils serpentent à travers les plaines en formant des virages appelés méandres.
La réponse est à trouver à 80 km au sud de la capitale. C'est dans la commune de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) que les deux fleuves se rejoignent. Mais c'est bien l'Yonne qui apporte le plus d'eau, avec un débit de 93 m3 par seconde, contre 80 m3 pour la Seine.
La retenue normale du bief de Paris, c'est-à-dire l'altitude de la surface par rapport au niveau de la mer, est de 26,72 mètres.
La Seine aurait plus de 12 000 ans
Le fleuve parisien a été tout au long de l'histoire un terrain adapté et modifié pour les besoins humains.
La Seine-et-Marne (/sɛ. n‿e. maʁn/) est un département français de la région Île-de-France. Il tire son nom du fleuve Seine et de la rivière Marne.
Selon les règles de l'hydrographie, la science qui étudie les cours d'eau, lorsqu'il y a une confluence, c'est-à-dire deux cours d'eau qui se rejoignent, c'est le cours d'eau qui a le débit le plus important qui « impose » son nom à l'autre et qui devient son affluent.
Dans la partie estuarienne de la Seine, soit de Poses à la mer, on parle toujours d'inondation ou de débordement, car ces inondations sont la plupart du temps multifactorielles : vent, marée, débit… Une crue, elle, est due à à la conséquence de précipitations en forte quantité sur un cours d'eau.
Les mesures relevées au Pont d'Austerlitz servent de référence: en 1982, la Seine était montée à 6,18 mètres, après 7,12 mètres relevées en 1955 et 7,32 mètres en 1924. Lors de la crue centennale de 1910, elle avait atteint 8,62 mètres. Elle serait même montée à 8,95 m en 1658.
Quand l'eau est verte ou marron, c'est qu'il y a des algues et que des micro-organismes marins sans incidence sur la santé humaine cohabitent.