EFFONDREMENT DE LA CAPITALISATION BOURSIÈRE Après avoir culminé à 3 000 milliards de dollars en novembre 2021, la valeur du marché global des cryptomonnaies s'est effondrée tout au long de l'année 2022, atteignant son niveau le plus bas en deux ans, à savoir 796 milliards de dollars, lors de l'implosion de FTX.
L'engouement autour des crypto monnaies s'est ensuite calmé avant d'accélérer de nouveau fin 2023 comme la majorité des marchés traditionnels. Le début de l'année 2024 est plus que prometteur pour le marché des crypto monnaies qui pourrait profiter de plusieurs relais de croissance cette année.
Peen Token ($PEEN) : l'une des nouvelles crypto-monnaies à suivre de près. Peen Token ($PEEN) se démarque comme l'une des nouvelles crypto-monnaies les plus excitantes de 2024.
L'un des plus grands risques d'investir dans des plateformes de trading de crypto-monnaie est qu'elles sont souvent non réglementées. Cela signifie qu'aucun gouvernement ou institution financière ne supervise leurs activités et que les investisseurs n'ont aucun recours s'ils perdent de l'argent.
Tendances du marché des crypto-monnaies
La capitalisation boursière estimée des cryptomonnaies, par exemple, en janvier 2022, variait entre 400 milliards USD et 800 milliards USD, soit 566 milliards USD au début de l'année 2022 et s'établissait finalement à 128 milliards USD à la fin de l'année 2022.
"Les investisseurs qui sont entrés sur le marché plus tôt peuvent profiter de la hausse des prix pour vendre et réaliser des bénéfices, contribuant ainsi à une pression à la baisse sur les prix", a-t-il expliqué.
Le cours du bitcoin s'est envolé d'environ 60 %
La reine des cryptomonnaies a ainsi dépassé son précédent record enregistré plus tôt dans la semaine, et semble partie pour continuer son ascension. Rien qu'en 2024, le cours du bitcoin s'est envolé d'environ 60%.
Ce mode d'investissement est risqué, mais il peut atteindre de très forts taux de rentabilité. En effet, le cours des cryptoactifs est très volatile, et il est souvent surévalué, comme en témoignent les crashs de mai 2021 et 2022, et ce du fait de l'engouement croissant pour les monnaies numériques.
Faut-il investir dans la cryptomonnaie ? Les cryptos constituent une nouvelle classe d'actifs. Il peut être tentant d'y investir pour diversifier son épargne et ainsi augmenter son potentiel de rendement. Toutefois, il faut savoir que les cours sont très volatils et que le risque de perte financière est très élevé.
En effet, l'un des principaux risques de la généralisation de l'utilisation du bitcoin est donc qu'il favorise les transactions criminelles ainsi que le blanchiment d'argent et la fraude fiscale.
L'ethereum : capitalisation boursière 388 milliards de dollars. L'ethereum, qui existe depuis 2014, est actuellement considéré comme la blockchain la plus populaire et la deuxième plus grande cryptomonnaie en termes de capitalisation boursière avec plus de 388 milliards de dollars derrière le bitcoin.
Le milliardaire, dont l'exchange est en pleine croissance, estime que le “Bitcoin n'a pas d'avenir en tant que réseau de paiement en raison de son inefficacité et de ses coûts environnementaux élevés”. Sam Bankman-Fried pointe d'abord du doigt la Proof of work, ou Preuve de travail.
Les analystes s'attendent à ce que Binance Coin continue de bénéficier de la croissance du marché crypto. En 2025, Binance Coin passera la barrière psychologique des 1000$ pour la première fois. BNB clôturera cette année avec un prix aussi élevé que 1110$.
Lors d'un halving, la récompense en BTC décernée lors du minage de chaque bloc est divisée par 2. L'objectif principal de cette réduction de moitié est de maintenir l'inflation sous contrôle en réduisant la quantité de bitcoins qui sont créés au fil du temps.
Le Bitcoin est davantage utilisé comme un actif de diversification que comme une véritable monnaie. Le Bitcoin a été créé avec l'objectif de concurrencer les monnaies classiques en redonnant le contrôle de leur argent aux citoyens via une alternative décentralisée aux systèmes financiers et monétaires traditionnels.
Vous devriez investir dans la crypto entre 5% et 30% de votre capital d'investissement. 5 % sont très sûrs et 30 % plutôt risqués. Mais nous vous conseillons d'investir 15% et 50%. En fin de compte, la décision vous appartient.
Le bon moment, c'est lorsque vous considérez avoir assez gagné ou assez perdu avec votre portefeuille de crypto-devises. Ou lorsque vous envisagez de réaliser un projet et que vous décidez de vendre du Bitcoin pour le financer (acheter une voiture ou partir en vacances, par exemple).
Selon plusieurs observateurs, 2024 pourrait être une année de structuration et d'évolution importante pour le bitcoin. L'intérêt de grandes institutions, couplée à une régulation plus importante, pourrait bien démocratiser ce dernier, et faire augmenter sa valeur par la même occasion. Mais la prudence reste de mise.
Il est préférable d'investir dans des crypto-monnaies dont le marché est certes moins profond, mais dont les perspectives peuvent s'avérer très intéressantes en 2024, telles que l'Ethereum, Cardano ou le Litecoin. Lesquelles offrent des avantages complémentaires au Bitcoin.
En revanche, cela reste avantageux pour des sommes importantes. Ensuite, sur le plan des performances, le réseau Bitcoin est limité à 7 transactions par seconde, alors que le réseau de paiement Visa peut accepter jusqu'à 56 000 transactions par seconde[vii].
Selon l'article L111‑1 du Code monétaire et financier (CMF), « la monnaie de la France est l'euro ». C'est donc la seule monnaie ayant cours légal en France. Aussi, si un professionnel peut accepter de se faire payer en cryptoactifs, rien ne l'empêche non plus de les refuser.
Le cours du bitcoin n'est déterminé par aucune institution mais par le jeu de l'offre et de la demande, étant précisé que le protocole informatique de la blockchain Bitcoin prévoit un maximum de 21 millions de bitcoins en circulation, ce qui créé un effet rareté artificiel.
En fin de compte, les véritables causes d'une baisse du prix du Bitcoin sont l'un ou plusieurs des facteurs suivants : la pression politique, les échecs technologiques et toutes les couvertures médiatiques de type FUD (toute couverture médiatique qui peut potentiellement propager « la peur, l'incertitude et le doute ») ...