Chez les gens qui ont le cancer, le gonflement d'estomac ou dans l'endroit abdominal peut avoir des causes différentes. Un liquide peut s'accumuler dans la partie du corps où se trouvent les organes abdominaux. Ce liquide se nomme ascites.
Ces types de cancer peuvent entraîner une accumulation de liquide dans l'abdomen ou affecter les organes digestifs, provoquant ainsi un gonflement.
Les ballonnements d'origine digestive sont toujours dus à une accumulation de gaz dans les intestins ou l'estomac. Les causes de ce phénomène sont diverses : Alimentation déséquilibrée, trop riche en graisses et trop pauvre en fibres.
Est-ce que la chimio donne des gaz ? En déséquilibrant ou en altérant la flore intestinale, il n'est pas impossible que la chimio engendre une production de gaz plus importante. Les symptômes d'une trop forte production de gaz dans le tube digestifs sont alors les flatulence et les ballonnements parfois douloureux.
Certains agents chimiothérapeutiques peuvent ralentir temporairement le métabolisme, c'est-à-dire la vitesse à laquelle le corps brûle les calories. Un métabolisme plus lent signifie qu'on utilise moins de calories, ce qui peut entraîner un gain de poids.
Quel cancer fait grossir le ventre ? Le cancer de l'ovaire peut se caractériser par des tumeurs (bénignes ou non) pouvant être très volumineuses. Ce type de cancer comme le cancer colorectal, peut aussi causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen.
Le nombre de cellules sanguines atteint souvent son plus bas niveau de 7 à 14 jours après la chimiothérapie.
Des analyses sanguines régulières visent à surveiller les effets de la chimiothérapie sur la tumeur et l'organisme (concentrations en marqueurs tumoraux, en globules rouges, en lymphocytes…) : elles permettent de savoir comment le cancer réagit au traitement et si celui-ci est bien toléré.
Les effets gastro-intestinaux : un effet indésirable des traitements anti-cancéreux. Vos traitements sont susceptibles de perturber votre transit intestinal et de provoquer des nausées, des vomissements, des diarrhées ou de la constipation.
Le fait d'avoir le ventre gonflé n'est pas grave en soi. Cependant, si cela est accompagné d'autres symptômes tels que des nausées, des vomissements, de fortes douleurs, de la fièvre, du sang dans les selles ou des brûlures, il faudra consulter un médecin traitant dans les plus brefs délais.
Éviter légumes crucifères, légumineuses, boissons gazeuses. Favoriser ananas, gingembre, menthe poivrée, persil, fenouil, camomille, citron. SII et constipation peuvent augmenter les ballonnements. Un régime équilibré, riche en fibres, et l'exercice sont bénéfiques.
L'IRM et le Pet scanner pour un cancer généralisé indiquent l'étendue des lésions. La scintigraphie osseuse permet de détecter des métastases osseuses et des métastases sur les cartilages. Quant aux examens sanguins, il s'agit de mesurer ici les taux de marqueurs tumoraux (l'enzyme LDH ou la protéine C-réactive).
Plusieurs causes peuvent être invoquées, parfois simultanément : Une constipation passagère ou chronique. Lorsqu'elle est passagère, elle est généralement associée à un changement de rythme de vie, de régime alimentaire ou un stress.
Chimiothérapie de maintenance : futile ou utile ? Dans le contexte d'une maladie oncologique non guérissable, une thérapie de maintenance vise à prolonger la réponse induite par la chimiothérapie d'induction. On espère ainsi ralentir la progression et prolonger la survie.
Un traitement est qualifié de lourd en raison de son impact sur différents aspects de la vie du patient. Certains traitements créent d'importants effets secondaires par période, comme la chimiothérapie, qui est un traitement médicamenteux utilisé la plupart du temps pour traiter le cancer.
Les malades du cancer soignés par chimiothérapie peuvent être sujets à des variations de poids importantes. En cause, les effets secondaires du traitement qui entraînent parfois un amaigrissement du patient.
Le déroulement de la chimiothérapie est soigneusement planifié par l'équipe médicale en fonction de la situation du patient. Le médecin lui remet un calendrier qui décrit le lieu et les jours. La durée totale d'une chimiothérapie est variable. Elle peut durer de 6 semaines à 1 an, voire plus.
Pourquoi arrête t-on la chimiothérapie au bout de trois protocoles ? On arrête la chimiothérapie au bout de trois protocoles car elle est extrêmement toxique pour l'organisme. En effet, elle agit sur toutes les cellules de l'organisme, y compris les cellules saines.
Il n'y a pas de chimiothérapie plus ou moins forte, cela dépend des cas. Le choix est fait par l'équipe soignante en tenant compte de votre situation. Tous les produits de chimio ne sont pas actifs dans tous les cancers et les effets secondaires qu'ils peuvent induire ne sont pas proportionnels à l'efficacité attendue.
Evitez les aliments secs et durs qui peuvent blesser : croûte de pain, crudités, frites... Les aliments acides et irritants : vinaigre, épices certains jus de fruits (abricots) et compotes trop sucrées, certains fruits (citron, orange, pamplemousse...), purée de pommes de terre qui colle en bouche.
Ils sont utilisés dans les protocoles de prévention des nausées et vomissements. Une corticothérapie est associée systématiquement aux taxanes, d'une part pour prévenir certains effets secondaires, comme les nausées et les vomissements et, d'autre part, pour potentialiser leur effet.
une activité physique régulière a également des effets bénéfiques (courte marche, yoga…) ; apprendre à gérer ses angoisses : la relaxation du corps et de l'esprit vont contribuer à désamorcer les angoisses. Des exercices de respiration, d'étirements ou de méditation peuvent soulager.