Les maux de tête concernent plutôt les personnes traumatisées cranio-cérébrales. Mais il arrive que les céphalées soient présentes après un AVC (accident vasculaire cérébral). Elles sont parfois aussi associées au stress, à l'anxiété que cet état post-traumatique amène, parfois en lien avec d'autres facteurs.
- des troubles de la parole
Ces 3 signes d'alerte peuvent être accompagnés, tout aussi soudainement, de troubles de l'équilibre, de maux de tête intenses ou d'une baisse de vision.
Des douleurs physiques dans l'hémicorps atteint peuvent persister après l'AVC : douleurs de l'épaule (algoneurodystrophie), douleurs dues à une crispation involontaire des muscles (spasticité), douleurs neurologiques pouvant se traduire par des sensations de « brûlures » ou de « fourmillements » très désagréables.
Il existe trois méthodes : la rééducation, les médicaments et la stimulation transcrânienne. La rééducation repose sur des exercices avec différents professionnels selon le handicap du patient.
Les avantages d'un plein sommeil à la suite d'un AVC
Tandis que le cerveau se sert habituellement de 20 % de notre énergie totale, ce pourcentage grandit pendant la récupération après un AVC : impliquant que le cerveau a moins d'énergie pour vous garder alerte et éveillé.
Adopter une bonne hygiène de vie
La mise en place d'une alimentation équilibrée ; La pratique d'une activité physique régulière ; L'arrêt du tabac et de la consommation d'alcool ; La gestion du stress (si besoin, ne pas hésiter à consulter un psychologue car les suites d'un AVC peuvent être éprouvantes).
La fatigue, physique et mentale, est un des effets invisibles de l'AVC. Un manque d'énergie pendant quelques semaines n'a rien de préoccupant. Mais si vous ressentez constamment un épuisement et une fatigue extrêmes qui ne s'estompent pas, malgré du repos, on parle de fatigue après un AVC.
Le risque de récidive après un AVC reste élevé, près de 13% à 5 ans. Après un infarctus cérébral ou un accident ischémique transitoire d'origine athéroscléreuse, il est recommandé de prescrire un traitement par statine à forte dose pour diminuer le taux de LDL cholestérol dans le sang (mauvais cholestérol).
Chez le neurologue
Si vous avez eu un accident vasculaire cérébral (AVC), vous êtes suivi par un neurologue ou un spécialiste des maladies neurovasculaires. Avec votre médecin traitant et votre cardiologue , il mettra en œuvre un programme thérapeutique pour éviter les récidives d'AVC ( accident vasculaire cérébral ).
en urgence (appelez le 15 ou le 112) si votre mal de tête est intense, soudain ou inhabituel, ou si vous présentez d'autres symptômes comme de la fièvre, une tension derrière la nuque, des vomissements, des troubles oculaires ou de la locution, un affaiblissement général, une sensation de malaise ou des convulsions.
Les maux de tête peuvent être déclenchés par divers facteurs. Le stress ou des tensions prolongées en sont les causes les plus fréquentes. Il s'agit alors d'un ecéphalée par tension nerveuse ou d'une céphalée en casque. Presque toutes les personnes en sont victimes à un moment ou à un autre.
Les maux de tête les plus fréquents sont les céphalées de tension et les migraines. En fonction de leur cause, les maux de tête peuvent être accompagnés par d'autres signes : fièvre, rhume, nausées, etc. Dans certains cas, les maux de tête peuvent être le signe d'une maladie grave.
De nombreux survivants d'AVC subissent un mémoire faible et, heureusement, suivant qu'il s'agit d'un effet cognitif, la récupération de la mémoire est souvent possible par la rééducation cognitive.
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d'un AVC comprennent : une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.
Après un AIT ou AVC :
Une HTA bien contrôlée : inférieure à 140/90 mm Hg en consultation et inférieure à 135/85 mmHg en automesure fait revenir au risque d'AVC identique à celui d'un patient non hypertendu.
Les traitements à long terme de l'AVC sont destinés à prévenir l'apparition de nouveaux caillots chez des patients qui ont subi un accident ischémique. Ce sont essentiellement des antiagrégants plaquettaires (aspirine ou clopidogrel).
Les troubles de la parole, séquelles d'un AVC
Souvent, lors d'un AVC, la zone de commande du langage est également touchée. Cela provoque des troubles du langage que l'on appelle « aphasie ». Il peut s'agir soit de difficultés pour articuler les mots, soit d'une difficulté à trouver ses mots.
Des céphalées inhabituelles chez une personne migraineuse
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
Pour soulager une céphalée de tension, commencez par prendre un traitement antalgique, c'est-à-dire qui calme la douleur. Ils sont vendus sans ordonnance. Vous pouvez utiliser du paracétamol, ou éventuellement de l'aspirine ou de l'ibuprofène (sauf contre-indication).