Tout d'abord, rassurez-vous. Trouver son enfant insupportable est plus fréquent qu'on ne le croit, et cela revient dans beaucoup de témoignage de parents. Et c'est juste un signal que la situation ne nous convient pas et que nous ne sommes pas (ou plus) en équilibre.
À la manière d'une charge mentale, le burn-out parental peut survenir quand l'équilibre entre vie familiale, vie professionnelle et vie amoureuse est rompu. Cela se traduit par de l'anxiété, du stress, des crises de colère et le fait de ne plus supporter ses enfants.
Il n'est pas rare que les parents arrivent à un point d'épuisement tel qu'ils n'en peuvent plus de leurs enfants. Cela n'est en aucun cas synonyme de moins d'amour, c'est simplement une sonnette d'alarme. Ne plus supporter ses enfants est un sentiment très difficile à gérer, mais qu'il s'agit de prendre au sérieux.
Le manque d'affection envers son propre enfant n'est pas un trouble psychique, mais la cause peut l'être. Dans beaucoup de cas, l'origine du problème se trouve dans l'enfance du parent qui a été maltraité, négligé ou abusé.
Toutes sortes de raisons peuvent nous faire perdre patience avec notre enfant, sans faire de nous un mauvais parent. La fatigue, le stress, la surcharge sensorielle, la charge mentale peuvent parfois nous amener à perdre le contrôle de nos émotions.
Burn out parental : où en êtes-vous ? 10 étapes pour le « prévenir », 4 méthodes pour le « guérir » L'épuisement parental ou 'burn-out parental' peut être défini comme le fait de ne plus avoir d'énergie à donner ou un épuisement complet et il peut émerger plus rapidement avec certaines périodes de stress ou de fatigue.
Le parent est vidé de son énergie, n'a l'impression de ne plus pouvoir endosser son rôle, ni même de réfléchir correctement ; démotivation et perte de sens dans son rôle de parent. Le parent ne ressent plus de plaisir dans son rôle ; distanciation affective avec l'enfant.
Les enfants qui se sentent aimés et considérés par leurs parents témoignent aussi d'une plus grande estime de soi et se sentent mieux dans leur peau, ils s'aventurent plus facilement vers le monde extérieur, sont en général moins anxieux et plus joyeux.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
L'enfant peut être en retrait, s'isoler ou avoir peur. À l'inverse, sa tristesse peut se manifester par de l'agitation, de l'agressivité, voire de l'hyperactivité ou de la provocation ; il se sent impuissant, désespéré, seul ou rejeté.
L'agressivité fait partie de la croissance normale et ordinaire des enfants. Avant l'âge de 3 ans, c'est souvent une impulsion qui est à l'origine de l'agressivité et non le désir de blesser quelqu'un. L'enfant est en apprentissage de la maîtrise de ses émotions.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
De la fermeté sans s'énerver
Si par exemple on demande à un enfant de ne pas mettre ses pieds sur la table, il faut le dire avec fermeté car cela va le rassurer et renforcer son estime de lui-même. Il va l'interpréter comme un message lui indiquant qu'il est apte et capable de vivre avec les autres.
Tentez de mettre des mots avec lui sur les raisons de ce « caprice », aidez-le à organiser sa pensée. Expliquez-lui la situation. Plus grand, aidez-le à verbaliser son mal-être. A partir de 5-6 ans, les « caprices » peuvent exprimer sa difficulté à trouver sa place.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
La plupart des rejets romantiques sont une question de mauvaise adaptation et d'un manque d'alchimie, de modes de vie incompatibles, de vouloir des choses différentes à des moments différents ou d'autres problèmes de dynamique mutuelle.
Le plus souvent, il s'agit bien sûr des parents, parfois de la mère en particulier. Plus l'enfant perçoit ce lien d'attachement comme étant inconditionnel, plus il est à l'aise avec son environnement, pour tester ses interactions, ses limites et ses émotions.
Un bébé qui sourit se sent bien et est content. Il n'y a pas de raison particulière à cela. Votre bébé vous communique tout simplement qu'il va bien ! Du bruit avec la bouche ou un doigt dans la bouche sont des signes qui annoncent souvent la faim.
Un enfant heureux est forcément joyeux
Certes, un enfant épanoui, équilibré, qui va bien dans sa tête, qui est confiant dans la vie, sourit et rit beaucoup avec ses parents et avec ses copains.
Vous avez des difficultés d'endormissement et votre sommeil n'est pas réparateur, vous vous levez épuisé même après une période de repos de quelques jours. Vous ne vous sentez pas déprimé ou triste, mais le travail vous obsède, il envahit toutes vos pensées nuit et jour.
Fatigue générale. Apparaît suite à une tension psychique ou un stress de longue durée. Pas d'origine systématique dans le travail. La fatigue émotionnelle est associée aux deux autres composantes : - dépersonnalisation ; - et perte d'accomplissement personnel au travail.
Trouvez des solutions pratiques : par exemple prenez une baby-sitter de temps en temps pour souffler, entre 17 et 19h. Prenez du temps pour vous le WE pour vous reposer, vous isoler, lire, faire du yoga. Simplifiez vos journées - ex : sorties avec les enfants proches de votre logement, sans bus et sans voiture.