Ne pas juger est, à mon avis, impossible, surtout quand le jugement a déjà été prononcé avant même que la réunion ne commence, avant même que la personne n'ouvre la bouche. Le jugement est présent dans notre esprit et biaise notre écoute, quelles que soient nos bonnes intentions.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
Le non-jugement est une attitude bienveillante qui offre la liberté à son interlocuteur d'exprimer une idée, fut-elle farfelue de prime abord, sans le juger.
Parfois, les gens ont l'impression que c'est mal de juger les autres de quelque manière que ce soit. Il est vrai que nous ne devons pas condamner les autres ou les juger de manière injuste, toutefois il faut que nous nous fassions, tout au long de notre vie, une opinion sur les idées, les situations et les gens.
impartiale. impartiaux. Qui fait preuve de justice, d'équité, qui ne prend aucun parti dans son jugement et observe une stricte objectivité. Exemple : Tout juge qui se respecte se doit d'être absolument impartial pour exercer.
irascible - Définitions, synonymes, conjugaison, exemples | Dico en ligne Le Robert.
1. Se faire une opinion sur quelque chose ou sur quelqu'un, porter une appréciation, un jugement de valeur à leur sujet : Si j'en juge par mon expérience. 2. Se faire une idée de quelque chose, l'imaginer : Jugez de ma surprise.
Un jugement de valeur exprime la relation d'une chose avec un idéal. Or l'idéal est donné comme la chose, quoique d'une autre manière ; il est, lui aussi, une réalité à sa façon. La relation exprimée unit donc deux termes donnés, tout comme dans un jugement d'existence.
Personne qui juge. Synonyme : arbitre, critique, expert. – Littéraire : appréciateur, censeur.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
Si la blemmophobie est souvent liée à un manque confiance de soi, la scopophobie, elle, est souvent liée à une expérience traumatisante, comme du harcèlement ou un accident, et à d'autres phobies sociales ou troubles anxieux.
– Leurs critiques reflètent la plupart du temps leur désir d'expérimenter ce que la vie leur a refusé ou ce qu'elles n'ont pas réussi à obtenir. – Elles ne cherchent pas à s'améliorer. Elles considèrent que la meilleure façon de se mettre en avant c'est de réduire la valeur des personnes qui les entourent.
Seul Dieu juge et seul il prononce la sentence en vérité. Juger humainement, c'est mépriser la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité » (Rm 2,4). Car le « juste jugement » de Dieu (ἡ δικαιοκρισία dikaiokrisia) ne relève pas de notre conception de la justice.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Critiquer a pour revers une perte de crédibilité
Non seulement vous n'êtes pas crédible mais en plus, votre tentative de manipulation de l'esprit entachera votre image de marque. Si vous critiquez un concurrent, cela signifie que vous souhaitez affirmer votre supériorité face à lui devant votre prospect.
Le jugement synthétise les contenus de la perception ou de la représentation et les porte au niveau d'un critère de vérité qui permet leur affirmation. Mais cette opération du jugement emprunte en général le canal du langage, dont il reçoit une structure constituée de termes et de relations.
Tout l'art de bien juger consiste à passer des jugements mesurés, à faire preuve de discernement, car vu comment nos convictions se forgent, mieux vaut les passer au tamis de quelques filtres bien choisis, qui seront autant de garde-fou avant de transmettre à autrui des informations fausses ou de s'appuyer dessus pour ...
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
Confirmer et infirmer, sont des mots antonymes.
Juger quelqu'un équivaut à ne pas comprendre pourquoi cette personne est telle qu'elle est. On ne sait pas ce qu'a vécu l'autre, ce qui a fait qu'il est tel qu'il est, ni combien il peut souffrir quand il sait qu'on le critique sans raisons justifiées.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Observez mieux votre environnement. Prenez conscience en permanence de ce qu'il se passe autour de vous et prêtez attention à la réaction des gens après certaines actions. Servez-vous de votre bon sens pour prendre des décisions en vous basant de ce qui arrive autour de vous.
Utilisez plutôt des techniques d'écoute et d'empathie lorsque quelqu'un vous critique. Répétez simplement ce que cette personne vous dit. Cela lui montre que vous l'écoutez sans vous forcer à répondre à ses demandes déraisonnables. C'est une meilleure technique que si vous commenciez à vous disputer.