On estime que chez l'adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm). Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute !
Au repos, chez un adulte, une fréquence cardiaque comprise entre 55 et 85 est normale. A partir de 100 battements par minute et plus au repos, un avis médical est justifié. Rythme lent. Cela peut être normal chez un athlète de fond entrainé (marathonien, cycliste par ex.).
Jusqu'à 2 ans : 120 a 140 bpm, Entre 8 et 17 ans : 80 a 100 bpm, Adulte sédentaire : 70 a 80 bpm, Adulte praticant de sport e personnes âgées : 50 a 60 bpm.
La FC au repos se situe entre 50-90 battements par minute (bpm), et peut s'abaisser jusqu'à 30 bpm au repos chez les personnes ayant une bonne condition physique.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
En fait, chaque contraction du cœur est due à un courant électrique. Lorsque ces contractions sont plus rapprochées ou sont ressenties plus intensément, «elles sont bénignes dans 90% des cas. C'est inconfortable mais il n'y a aucun risque vital», insiste le Dr Kouakam.
L'exercice physique, le stress ou la peur peuvent faire accélérer le cœur, mais c'est une réaction normale. Avec la tachycardie, le cœur dépasse 100 battements par minute et peut atteindre jusqu'à 400 battements par minute.
En effet, si le cœur est trop lent, la personne peut éprouver de la fatigue, des étourdissements, puis une diminution de la capacité d'effort, bref des symptômes qui montrent que la pompe fonctionne trop lentement pour répondre aux besoins métaboliques.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Cette augmentation du rythme cardiaque est souvent accompagnée d'un mal de tête, de sensation de malaise, de fatigue, de nausées, de sueurs, de gêne dans la poitrine et parfois même d'évanouissement. Ce problème peut être lié à certaines maladies, comme le diabète, ou la prise de certains médicaments.
Le test d'effort est un examen qui mesure la réaction du cœur pendant une activité physique soutenue. On le réalise généralement chez un cardiologue mais il est aussi possible de le faire chez soi pour avoir une indication sur la forme de son coeur et aller consulter en cas de doute.
Le rythme cardiaque est le mécanisme à l'origine de la contraction des ventricules. Le pouls désigne quant à lui la perception au toucher de l'artère battante, permettant, certes d'évaluer les battements cardiaques, mais d'apporter également d'autres renseignements.
Dans la plupart des cas, les palpitations cardiaques sont inoffensives et ne sont pas le signe d'un problème grave ; elles peuvent simplement faire suite à un effort physique, une émotion ou une bouffée d'angoisse. Elles peuvent toutefois traduire l'existence d'un trouble du rythme cardiaque.
Manquer de magnésium peut aussi provoquer des fourmillements au niveau des membres ; des palpitations cardiaques : un battement du cœur irrégulier (arythmie) ou une tachycardie peuvent être la cause d'un manque de magnésium. En effet, ce dernier aide le cœur à se contracter correctement et à conserver un rythme normal.
Les palpitations du coeur que l'on ressent dans la poitrine correspondent à ce que les médecins appellent une tachycardie. Selon sa cause, elle peut être régulière ou non, permanente ou non. Sachez reconnaître le type de tachycardie dont vous souffrez pour savoir s'il faut consulter rapidement ou non.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Si l'hypertension artérielle est liée à un phéochromocytome, les symptômes peuvent comprendre des céphalées graves, l'anxiété, la conscience d'un rythme cardiaque rapide ou irrégulier (palpitations), une transpiration excessive, des tremblements et une pâleur.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.