(De là qu'Aristote associe par ailleurs fréquemment Dieu et nature [63][63]Par exemple, De Caelo, 271 a 33 : « Dieu et la nature ne font…. S'agissant d'accomplissement le plus parfait possible dans le devenir, il lui arrive même de mentionner Dieu seul [64]
De même, avancer que Dieu a dû tourner vers lui par une impulsion première les intelligences directrices des astres, c'est prêter à Aristote une idée vraie dans la doctrine catholique, mais qui ne pouvait lui venir. Il croyait ces intelligences éternelles et tournées vers Dieu par leur nature éternelle.
En ce sens, à strictement parler, il n'y a pas de religion grecque, mais une relation grecque avec des entités divines. Cette relation est telle, qu'Aristote semble lui accorder une place qui ne fait l'objet d'aucun examen critique particulier.
Dieu est celui qui se détermine lui-même par lui-même, celui dont l'être n'est que relation de soi à soi. On ne saurait signifier d'une manière plus positive l'Ipséité absolue. Alors que l'immortalité nie la mort, l'éternité demeure libre de toute condition. Dieu n'est pas immortel.
Pour cela, Platon distingue l'athée relatif, qui n'admet pas telle ou telle divinité, et l'athée absolu (parapan atheos), qui ne croit à l'existence d'aucun dieu. Le concept philosophique de croyance sert à souligner la signification intellectuelle de l'athéisme.
Convictions religieuses des scientifiques
En 2009 aux États-Unis, un sondage de l'American Association for the Advancement of Science affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure dont 33 % en Dieu.
Ses lectures sont plus celles des poètes et des philosophes que celles de la Bible et du Talmud. Devenu rapidement athée, très méfiant à l'égard de l'autorité, notamment religieuse, Einstein est tout sauf un croyant respectueux des dogmes.
Dieu, d'après Platon, est toujours et partout l'organisateur du monde et celui qui lui conserve son éternelle jeunesse ; c'est la cause immédiate de la nature, le principe auquel est directement suspendue la chaîne des mouvements cosmiques ; et ce principe, il le représente comme un être qui « se meut lui-même » .
Théiste ou Déiste
Se dit d'une personne qui croit qu'il existe un Dieu ou des forces transcendante mais qui n'appartient pas pour autant à une religion spécifique.
Les idées du philosophe
Il affirme que la raison est vide avant que les sens n'entrent en action. - Il pose les lois du raisonnement et fonde la logique comme instrument de précision du discours philosophique.
La thèse d'Aristote est donc que l'homme est par nature voué à vivre dans une cité. C'est le sens de la fameuse citation d'Aristote selon laquelle l'homme est un animal politique.
Aristote considère la matière et la forme comme fondues ensemble, ce qui permet de produire la substance composée (σύνολον, sunolon). La matière est le pondérable, le sensible, le corps d'un animal ou d'une œuvre. La matière est associée à la puissance, car la matière est à l'objet ce que la puissance est à l'acte.
Premier à avoir réfléchi sur la vie, Aristote avait compris qu'elle est à elle-même son propre sens. Aussi l'avait-il définie comme un acheminement vers soi-même. Son but, sa destination, et par conséquent aussi bien la direction que le sens de son existence lui sont inhérents.
Leurs chemins d'accès sont différents. Platon veut s'élever au-dessus de la réalité et accéder à la Vérité par la réminiscence ; Aristote recherche une adéquation à la réalité à établir grâce aux lois logiques.
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
Dieu ne se fait exister qu'en vertu de ce qu'il est, il se présuppose lui-même. C'est pourquoi son objectivité est formelle, au sens où il n'existe qu'à l'intérieur de lui-même. L'existence de Dieu est admise mais non pas établie concrètement, c'est-à-dire à l'encontre de la contestation de son existence.
Au total, la morale platonicienne se présente comme un entre des exigences réalistes et une aspiration vers un monde idéal, aspiration d'un poète, autant que d'un philosophe, vers un absolu transcendant, sur lequel il serait possible de s'appuyer et duquel tous nos actes tireraient leur valeur.
Pour le chrétien, croire en Dieu, c'est aussi croire en Celui qu'Il a envoyé Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu. Nous croyons au Père et au Fils grâce à l'Esprit Saint qui révèle aux hommes qui est Jésus. Les chrétiens croient en Dieu Trinité, un seul Dieu Père, Fils et Esprit Saint.
L'astrophysicien Stephen Hawking a plusieurs fois exposé son athéisme, estimant que "personne n'a créé l'univers".
Son score ne vous évoque rien ? Pour rappel, le QI d'Albert Einstein et de Stephen Hawking est estimé à 160.
L'itinéraire spirituel de Darwin est très progressif. Ce n'est que vers l'âge de quarante ans qu'il abandonne le christianisme et qu'il évolue d'abord vers un déisme (pour rendre compte de l'immensité et du caractère étonnant de l'univers) et puis ensuite vers un agnosticisme.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Dieu peut-il tout pardonner ? Oui, Dieu veut tout pardonner à celui qui reconnaît humblement son péché et lui en demande pardon.
Nous croyons en Dieu, nous croyons en son pouvoir et à son intention créatrice parce que nous ne pouvons nous empêcher d'expliquer l'univers à partir de la posture intentionnelle.