Le cavalier professionnel est un métier très diversifié. Embauché et/ou reconnu pour ses compétences équestres, sa capacité à appréhender et à faire progresser physiquement, techniquement et moralement les chevaux dont il a la charge, le cavalier professionnel effectue des tâches très différentes d'un poste à l'autre.
D'un point de vue juridique, le statut de cavalier professionnel n'est ni référencé ni défini au sein des conventions collectives relatives au monde du cheval. Par ailleurs, il n'existe pas d'obligation de diplôme pour exercer une activité de cavalier professionnel.
Jockey. Le jockey est un cavalier qui monte les chevaux de course. Il débute comme apprenti au sein d'une écurie chez un entraîneur précis. S'il atteint une renommée suffisante grâce à ses succès, il pourra travailler pour plusieurs entraîneurs et propriétaires.
Combien gagne un Cavalier ? Le salaire d'un cavalier peut varier entre 1500 (début de carrière) et 2500 (fin de carrière) euros brut mensuel.
Pour devenir sportif de haut niveau, jockey ou driver, il faut entrer dès 16 ans dans une écurie de concours hippique. Le cavalier reçoit une petite rémunération, il est nourri et logé. Beaucoup de jockeys sont également formés à l'AFASEC (Association de Formation et d'Action Sociale des Écuries de Courses).
Cavalier pro, en route pour les concours
Il vous faut un galop 7, être habitué aux terrains de concours et surtout une bonne dose de courage car vous allez souvent être sur les routes.
Nous y voilà, le number one de ce classement n'est autre qu'un cheval de course (surprenant) vendu à 70 millions de dollars. Sa carrière de galopeur a été extraordinaire, puisqu'il a ramené environ 2 millions d'euros de gains.
Rémunération : 1521,25€ bruts mensuels selon convention collective.
Cette formation se déroule sur 1 an (12 mois). Chaque stagiaire a la responsabilité de plusieurs jeunes chevaux attitrés et apprend à en assurer le travail quotidien et les sorties en compétition avec pour objectif la qualification aux Finales SHF (Championnats de France CSO ou CCE).
Prérequis : Galop7 , sorties en compétitions officielles et/ou en jeunes chevaux , être majeur, et titulaire d'un BEPA ou d'un diplôme d'un niveau supérieur. Vous pouvez suivre les résultats ou le quotidien des élèves sur les pages facebook Ifce, Haras nationaux ou sur le blog de l'Esce.
Formation. Le candidat doit être majeur pour pouvoir suivre une formation professionnelle, qui est accessible avec un niveau BEP au moins, et accéder au métier. S'il a plusieurs années de pratique équestre à son actif, il décrochera assez rapidement le diplôme qui permet de devenir moniteur d'équitation indépendant.
Les trois formes juridiques principales sont : l'entreprise individuelle, l'entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) en vigueur depuis le 1er janvier 2011 et la forme sociétaire (sociétés civiles agricoles ou sociétés commerciales).
Juste devant les cadres de la banque et des assurances, on retrouve les coiffeurs et esthéticiens, où le travail est jugé par les principaux intéressés comme “peu intense dans un contexte de faible insécurité de l'emploi, avec peu de conflits éthiques et une grande autonomie”, indique la Dares.
Le Bac pro ASSP est celui qui est le plus demandé sur le marché de l'emploi.
Le cheval est un animal grégaire et vivre en groupe est son premier besoin fondamental. Pour l'apaiser et le rassurer, il est donc essentiel de lui permettre de vivre avec au moins un congénère ou avec un autre animal avec lequel il est susceptible de bien s'entendre, comme l'âne, le poney ou encore le mouton.
Salaires. Environ 1 600 € brut par mois pour un moniteur d'équitation débutant. Entre 1 900 € et 2 100 € par mois pour un enseignant responsable pédagogique.
Le salaire peut varier selon le type d'écurie que vous intégrez. Le groom de haut niveau est rémunéré en moyenne : 400€/ semaine nourri et logé à l'étranger. 2500€ brut / mois en moyenne en France .
Le bac pro « Conduite et Gestion de l'entreprise hippique » est plus expressément lié à la valorisation du cheval (élevage, débourrage, dressage…).
L'éleveur de chevaux s'occupe d'un troupeau d'équidés : chevaux, mais aussi poneys ou ânes.
il est en charge des déplacements du cheval-athlète en France et à l'étranger, ainsi que de la logistique liée à ceux-ci ; il peut également gérer une partie ou la totalité de la planification des rendez-vous de santé de l'animal (dentiste, vétérinaire, maréchalerie…).