Changer le nom d'un bateau doit respecter un cérémonial très précis et codifié autour du sillage. Contrairement à une idée reçue, changer le nom d'un bateau est possible, à condition de respecter un cérémonial très précis destiné à conjurer le mauvais sort et éviter de graves déconvenues à ses passagers.
Selon la superstition et la tradition maritime, on ne doit pas changer le nom d'un bateau pour ne pas s'attirer les foudres de Neptune. Ou alors, si l'on veut le faire, il faut couper le macoui. Le macoui est attaché au nom du bateau, c'est le sillage, le grand serpent qui suit en permanence l'embarcation.
C'est une ancienne superstition qui perdure encore de nos jours : le mot « lapin » est interdit à bord des bateaux. Mais pourquoi tant de méfiance envers ce charmant animal ? Si l'envie vous prenait de prononcer ce mot défendu sur un navire, vos compagnons de navigation vous feraient certainement les gros yeux.
Tous les amoureux de la mer, professionnels et plaisanciers, savent qu'il y a un mot à ne jamais prononcer sur un bateau, c'est "lapin".
Pas de Bananes à bord
Au 17eme – 18eme siècle, il y avait beaucoup de navires transportant ce fruit sucré et exotique depuis les Caraïbes en Europe. Quelques-uns étaient tellement en surcharge qu'ils coulèrent. Une autre idée est que les insectes tropicaux vivant dans les régimes de bananes avaient infesté les cargos.
La couleur verte semble apporter un malheur abyssal, selon l'une des superstitions les plus répandues.
Emporter des oeufs durs à bord, c'est signe de grand malheur, car la Bigouden qui préparait le frichti pour son mari de marin pêcheur, lorsqu'elle en était très amoureuse, elle lui concoctait de bons petits plats, pour sa gamelle de la journée…
Cette subite poudre d'escampette n'était pas pour leur déplaire. Le nez au vent, ils grignotaient tout sur leur passage, «en particulier les cordages et la coque du bateau». Ils causèrent ainsi de nombreux naufrages, interdisant depuis l'évocation du mot «lapin» à bord, source de malédiction.
Pour éviter toutes frustration physique et sentimentale et autres tensions, les femmes étaient donc interdites à bord, sous prétexte de porter malheur. Elles attisaient les convoitises, les jalousies, les passions et les tentatives de viol, tout en semant la zizanie entre les membres d'équipage.
Autrefois, les cargaisons des bateaux étaient saisies avec des cordages en chanvre. Des lapins qui par accident s'étaient échappés de leur cage pouvaient donc les ronger, provoquant ainsi indirectement le naufrage du bateau par déplacement de la cargaison dans les cales provoquant une déstabilisation et la gîte.
Car sur les navires de MSC Cruises, il n'y a pas de pont 17. Pourquoi ? « Parce qu'en chiffre romain, l'anagramme de XVII donne VIXI qui signifie "j'ai vécu" en latin. Donc, je suis mort ! », comme l'explique notre consœur Véronique Couzinou dans son « Dictionnaire insolite des paquebots ».
Selon les croyances et superstitions, allumer une cigarette avec une bougie mettrait en péril la vie d'un marin ! Cette superstition remonte aux siècles derniers.
Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable. Si vous sentez arriver le mal de mer, sortez de votre cabine et fixez la mer, le ciel ou tous les éléments fixes qui se trouvent à votre portée.
1-Changer le nom d'un navire de plaisance
Le changement de nom est possible à tout moment, que ce soit lors d'une mutation de propriété ou non. Un nouveau certificat d'enregistrement vous sera délivré sans frais par le service plaisance dans les directions départementales des territoires et de la mer (DDTM/DML).
Vous pouvez demander à changer de nom notamment pour les motifs suivants : Vous portez un nom difficile à porter car perçu comme ridicule ou péjoratif. Vous portez un nom qui a été rendu célèbre dans les médias et qui est porteur d'une mauvaise réputation.
Donner un nom à son bateau est nécessaire pour qu'il puisse être identifié dans quelconques procédures ou lors d'une situation d'urgence. Bien que considérer que modifier le nom d'un bateau porte malheur, il est possible et commun de demander un changement de nom.
Marin, Sailor, seaman – Homme exerçant une profession à la mer. Contraire de terrien. Marin-pêcheur, Fisherman – Homme de mer, inscrit maritime, dont la profession est de pêcher. Matelot, Salor, seaman, the hands – Homme d'équipage non gradé, inscrit maritime.
Pourquoi les avions et les bateaux sont-ils équipés de hublots ? Une surface ronde résiste mieux à une pression qu'une surface carrée. Pour les avions ce n'est que, parfois, les coins. Pour les sous-marins, il vaut mieux un rond parfaitement circulaire.
" Les femmes et les enfants d'abord " est une expression utilisée dans la marine. Lors de naufrages, il n'y avait pas toujours assez d'embarcations de secours pour tout le monde et par geste chevaleresque, les hommes laissaient partir les femmes et les enfants pour qu'ils aient la vie sauve.
Essentiellement pour cause de superstition. Depuis toujours les marins se sont appuyés sur de nombreuses croyances. Certainement du fait qu'ils ont toujours côtoyé le danger de cet élément sauvage si indomptable. La corde : certaines légendes vous diront que les cordes servaient à pendre les mutins.
Du ver qui ronge le bois des coques des bateaux, également de très mauvaise augure pour les marins, à la couleur verte il n'y a eu qu'un pas qui n'a fait qu'achever la réputation du vert.
Sur un bateau, on ne dit jamais, les mots "corde" et "lapin". Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t").
Depuis des lustres les pêcheurs ont tendance à être superstitieux, ainsi si on vous souhaite affectueusement "une bonne pêche" cela porterait malheur ou qu'il serait de mauvais augure de mettre une épuisette dans l'eau avant d'avoir fait une prise...
Le Miroir :
Casser un miroir est un signe de malchance. Les miroirs étaient connus pour être le refuge des esprits, et en casser un pouvait libérer un démon captif donc briser un miroir apporterait sept ans de malheur.
Mouettes et goélands portent l'âme des marins morts en mer dont les corps n'ont jamais été retrouvés, on leur doit donc une déférence absolue. Néanmoins, l'albatros, mal-aimé de la marine, est un animal ambigu porteur de bon ou de mauvais présage.