Selon de nombreuses études médicales, trop dormir augmenterait le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC). Ce risque serait de 46% plus élevé chez les gros dormeurs dont la durée du sommeil serait de plus de 8 heures. Il en serait de même chez les personnes souffrant d'apnée du sommeil.
Trop dormir n'est pas un problème en soi, explique le site Reader's digest, mais il peut indiquer que le sommeil est devenu inefficace et que notre santé est en danger. De plus en plus d'études ont mis en relation l'excès de sommeil à une augmentation des risques de maladies cardiovasculaires.
Hypersomnie en relation avec un trouble médical
De nombreuses maladies et troubles médicaux peuvent nuire au sommeil et entraîner des hypersomnies. Le diabète par exemple, l'hypothyroïdie, le cancer etc. C'est aussi le cas des tumeurs cérébrales, des encéphalites, des traumatismes crâniens.
En règle générale, la durée est inférieure à 5 heures. Pour les longs dormeurs, la durée dépasse les 10 heures de sommeil par 24 heures, durée qui peut atteindre 12 à 14 heures le week-end. Dans les deux cas, le sommeil est efficace : le rapport temps passé au lit sur temps dormi est normal.
Des risques cardio-vasculaires
Selon les chercheurs, dormir plus de 10 heures par nuit augmenterait de 56 % le risque de décès dû à un accident vasculaire cérébral (AVC). Concernant les maladies cardiovasculaires, le risque serait 49 % plus grand.
À chaque âge son besoin de sommeil
Les nouveau-nés (de 0 à 3 mois) : 14 à 17 heures. Les adolescents (14 à 17 ans) : 8 à 10 heures. Les adultes (26 à 64 ans) : 7 à 9 heures. Les personnes âgées (65 ans et +) : 7 à 8 heures.
La majorité des Français commencent leur travail entre 8 et 10 heures du matin. Donc pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures selon les individus), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30.
Excès de sommeil et risques de maladies cardiovasculaires
Selon de nombreuses études médicales, trop dormir augmenterait le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC). Ce risque serait de 46% plus élevé chez les gros dormeurs dont la durée du sommeil serait de plus de 8 heures.
L'ouverture de la bouche pendant le sommeil est liée à une mauvaise respiration, souvent associée à des problèmes des voies respiratoires, que ce soit à cause d'une obstruction nasale ou de la gorge ou même d'un mauvais positionnement au repos.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Mais que signifie trop dormir ? Une hypersomnie se caractérise par une somnolence excessive, soit une nuit de plus de 9 heures de sommeil. Ce trouble se manifeste par une fatigue sans raison apparente, une incapacité à se lever le matin et des somnolences importantes au cours de la journée.
La première explique que nous puisons notre énergie dans nos réserves internes. Tout au long de la journée, nous utilisons un stock limité d'énergie mentale : la volonté. Plus on puise dans ces réserves, plus on ressent de la fatigue. Cette hypothèse est appelée « l'épuisement de l'égo ».
Le matin, pour être de bonne humeur dans la journée, il est déconseillé de commencer sa journée dans la précipitation. Ainsi, mieux vaut ajouter 15 ou 30 minutes de plus à votre planning pour prendre du temps le matin, en vous levant à 7h30.
La raison principale de ces maux de tête, la fatigue corporelle et même l'irritation des yeux, se produit dans notre cerveau. Et c'est que tout est principalement dû à une altération des neurotransmetteurs et de la sérotonine dans notre cerveau.
L'excès de sommeil pourrait aussi augmenter les risques de maladies cardiovasculaires. Une étude réalisée en 2015 par des scientifiques pour la revue "Neurology" a en effet montré que le risque de faire un AVC (accident vasculaire cérébral) augmenterait de 46 % chez les personnes dormant plus de 8 heures par jour.
S'endormir le ventre vide est totalement déconseillé. Même si on a l'impression que notre corps se met « au repos » (ce qui est le cas), il n'empêche que ce dernier continue de travailler. C'est donc sans surprise qu'il ait besoin d'énergie.
Pour les personnes qui se couchent aux alentours de 23h, le sommeil avant ou juste après minuit est plus réparateur. Mais si le sommeil démarre plus tard, à 1h ou 2h du matin, l'information reste la même : c'est le début de la nuit qui nous permettra de récupérer au mieux et de supporter les privations de sommeil.
Le sommeil lent profond, qui se caractérise par une activité cérébrale lente, est plus réparateur et survient que dans les deux à trois premiers cycles de sommeil soit avant 2 heures du matin pour un coucher avant minuit.
Si vous vous réveillez entre 1h et 3h du matin, c'est que vous devez avoir un foie qui a du mal à faire son travail. Cet organe est particulièrement sollicité la nuit pour éliminer les toxines après que vous avez pris un repas copieux.
Cette idée reçue sur le sommeil n'est donc pas tout à fait fausse ni exacte. Aucune heure de sommeil ne compte double, néanmoins, les premières heures de sommeil sont les plus importantes pour la récupération, et ce quelle que soit l'heure du coucher.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
La fatigue liée au cancer est beaucoup plus importante. Cette sensation d'épuisement, non liée à un effort particulier, voire d'affaiblissement général de l'organisme (asthénie) n'est pas comparable aux ressentis d'une fatigue "normale". Elle perdure même après une nuit de sommeil.