Un nombre entier exprimé dans le système de numération décimal est pair ou impair si son dernier chiffre est pair ou impair. Suivant cela, si le dernier chiffre est 0, 2, 4, 6 ou 8 alors le nombre est pair ; si le dernier chiffre est 1, 3, 5, 7 ou 9 alors le nombre est impair.
Pour un nombre entier court, il suffit d'écrire ce nombre entier en chiffres (dans le système décimal). Si le chiffre des unités (le dernier chiffre tout à droite) est 0, 2, 4, 6 ou 8, alors cet entier est pair ; Si ce chiffre au contraire est 1, 3, 5, 7 ou 9, alors cet entier est impair.
Les nombres impairs compris entre 0 et 100 sont : 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21, 23, 25, 27, 29, 31, 33, 35, 37, 39, 41, 43, 45, 47, 49, 51, 53, 55, 57, 59, 61, 63, 65, 67, 69, 71, 73, 75, 77, 79, 81, 83, 85, 87, 89, 91, 93, 95, 97 et 99. Par exemple, 77 est impair car on peut écrire 77 = 2 × 38 + 1.
Zéro est un nombre pair. Déterminer la parité d'un nombre entier relatif c'est dire s'il est pair ou impair. La façon la plus simple de prouver que zéro est pair c'est de vérifier qu'il correspond à la définition : en effet, c'est un entier multiple de 2.
Pourquoi, mathématiquement, le zéro est-il un nombre pair ? Un nombre est pair si c'est un multiple entier de 2. Zéro est un multiple entier de 2, car 0 × 2 = 0, donc 0 est pair. Par ailleurs, une autre preuve est que le zéro possède de chaque côté deux nombres impairs : -1 et +1.
Parité du nombre 500
500 est un nombre pair, puisqu'il est divisible par 2 : 500 / 2 = 250.
Il existe deux façons de savoir si un nombre est pair ou impair. Observe les nombres suivants : 2, 17, 29, 14, 33, 56, 98, 50, 11, 45. Dans les nombres de la famille 1, le chiffre des unités est 0, 2, 4, 6, ou 8. Ces nombres sont donc des nombres pairs.
Les nombres pairs compris entre 0 et 100 sont : 0, 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, 16, 18, 20, 22, 24, 26, 28, 30, 32, 34, 36, 38, 40, 42, 44, 46, 48, 50, 52, 54, 56, 58, 60, 62, 64, 66, 68, 70, 72, 74, 76, 78, 80, 82, 84, 86, 88, 90, 92, 94, 96, 98 et 100.
22 est un nombre pair, puisqu'il est divisible par 2 : 22 / 2 = 11.
les nombres pairs sont ceux qui se terminent par l'un des chiffres suivants : 0, 2, 4, 6, 8. les nombres impairs sont ceux qui se terminent par l'un des chiffres suivants : 1, 3, 5, 7, 9.
Il existe un seul nombre premier pair, c'est 2. Tous les autres nombres premiers sont impairs. Si p est un nombre premier, les seuls diviseurs de p2 sont 1, p et p2 ; les seuls diviseurs de p3 sont 1, p, p2 et p3 et ainsi de suite.
– Entier naturel divisible par 2. Les 10 plus petits nombres pairs non nuls sont : 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, 16, 18 et 20.
Par conséquent, 100000 – 1 = 99999, qui est le plus grand nombre à 5 chiffres. Étant donné que les décimales et les fractions ne sont pas incluses dans les nombres entiers, 99999 est donc le plus grand nombre entier à 5 chiffres.
Un nombre impair est un nombre qui n'est pas pair. Exemples : 1 , 3 , 15 , 247 , 35 769 sont des nombres impairs.
7, 14, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, …
La somme des 100 premiers impairs (k = 100) de 1 à 2x100 – 1 = 199 est égale à 100² = 10 000.
Le plus grand nombre impair de quatre chiffres est 9999. Le plus grand nombre pair de trois chiffres est 998.
– Tout entier naturel qui n'est pas divisible par 2. Les 10 plus petits nombres impairs sont : 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 17 et 19. Les nombres premiers, sauf 2, sont tous impairs.
Diviser un nombre par 4 c'est calculer son quart. Les multiples de 4 sont tous les nombres présents dans la table de 4 : 0, 4, 8, 12, 16, 20, 24, 28, 32, 36, 40, 44, 48, 52 … sont des multiples de 4.
L'ensemble des multiples d'un nombre est le résultat de la multiplication de ce nombre par chacun des nombres entiers (Z ). 12 est un multiple de 3 , car 3×4=12 3 × 4 = 12 . L'ensemble des multiples de 3 est obtenu en multipliant 3 par chacun des éléments de Z .
Cette stratégie est une sorte de "cote" : un parieur fait un pari sur deux variantes au sein d'un même match : un match nul et un match impair. En cas de match nul, le résultat final est pair, la cote pour un match nul est supérieure à 3.30.
« Très bien », ai-je commenté, « la définition complète est donc : Définition 2 : Un nombre naturel est premier s'il est plus grand que 1 et qu'il n'est divisible que par 1 et par lui-même. » « Donc 1 n'est pas premier », ai-je conclu.