Le diagnostic de l'asthme en bref Une visite chez son médecin traitant est recommandée en cas de toux sèche persistante, d'essoufflement, de sifflements respiratoires, de sensation d'oppression dans la poitrine, de réveils nocturnes ou de limitation dans les activités liées à des gênes respiratoires.
Pour confirmer le diagnostic puis suivre l'asthme, des tests respiratoires sont réalisés : les épreuves fonctionnelles respiratoires (EFR). Ils fournissent une évaluation précise du souffle. Plusieurs types d'explorations fonctionnelles respiratoires permettent de mesurer le souffle.
On l'utilise dans le langage courant pour désigner l'ensemble de réaction rappelant l'asthme qui peuvent se produire lors d'une crise d'angoisse ou une crise de spasmophilie. La gêne respiratoire ressentie est donc le symptômes d'un « faux asthme ». Son origine est souvent psychosomatique (anxiété).
L'épreuve la plus classique pour évaluer l'asthme est la courbe débit volume, qui nécessite une inspiration puis une expiration forte et prolongée. On mesure ainsi la quantité d'air expirée en 1 seconde.
Les crises d'asthme sont plus fréquentes la nuit et au petit matin : quintes de toux ou respiration sifflante au réveil et éventuellement, présence d'une sensation d'oppression au lever. Une crise d'asthme est de courte durée. La respiration redevient normale quand la crise est passée.
Une respiration qui siffle, accompagnée d'une toux et d'une fièvre qui dure plus de 48 h sont les principaux signes d'une pneumonie. Cette infection respiratoire n'attaque plus seulement les bronches, mais affaiblit également les tissus pulmonaires, d'où la nécessité d'une prise en charge médicale rapide.
Les causes courantes de la toux et de la gorge qui gratte
La toux et la gorge qui gratte peuvent être causées par divers facteurs, tels que les infections respiratoires, les allergies, l'irritation de la gorge due à la fumée ou à la pollution, ou encore l'effet secondaire de certains médicaments.
Si l'asthme entraine des symptômes au quotidien (toux, essoufflement à l'effort, réveils nocturnes, consommation pluri-hebdomadaire du traitement bronchodilatateur de secours…) mais qu'il n'y a pas de traitement de fond, il faut consulter soit le médecin traitant, soit un pneumologue.
« Quand un médecin suspecte un asthme chez un patient, il est nécessaire qu'il l'oriente vers un pneumologue pour confirmer le diagnostic. Il faut bien faire comprendre au patient qu'il est atteint d'une maladie chronique, mais qu'un asthme contrôlé n'empêche pas de vivre normalement », explique-t-il.
Ce qu'on qualifie d'asthme silencieux, ou atypique, est une forme de la maladie qui ne se manifeste pas par des crises violentes d'essoufflement. L'asthme n'est pas strictement égal à la crise. Il s'agit de l'hypersensibilité des bronches qui s'exprime par des symptômes variés.
Corticoïde inhalé seul ou en association (béclométasone, budésonide, fluticasone, ciclésonide, mométasone) C'est le médicament de référence pour contrôler l'asthme. Il permet de réduire l'inflammation au niveau des bronches, les rendant moins sensibles aux facteurs déclenchant les crises d'asthme, comme les virus.
Elle est liée à un rétrécissement des voies respiratoires : concrètement, l'air est comprimé pendant son passage à travers lesdites voies, ce qui provoque un sifflement à l'inspiration ou à l'expiration. La respiration sifflante expiratoire est parfois suffisamment forte pour être entendue.
L'inhalation de vapeurs irritantes ou de fumée peut occasionner une gêne respiratoire ou une crise chez un asthmatique. Certaines fumées sont particulièrement nocives, comme la fumée de tabac qui contient de nombreuses substances irritantes pouvant aggraver l'inflammation des bronches et déclencher une crise d'asthme.
Évitez les climats très chauds ou très froids, les régions sèches et poussiéreuses, ainsi que les altitudes supérieures à 2.500 mètres : l'air y est froid, sec et contient moins d'oxygène.
La crise d'asthme typique se caractérise par la triade gêne respiratoire (dyspnée), toux et sifflement (classique wheezing à renforcement expiratoire). Toutefois, les symptômes peuvent se limiter à de la toux, un essoufflement d'effort sifflant isolé, une oppression thoracique ou une symptomatologie partielle.
Signes avant-coureurs
Chez les personnes présentant un sifflement, les symptômes suivants sont particulièrement préoccupants : Respiration difficile, affaiblissement des efforts faits pour respirer ou baisse du niveau de conscience. Gonflement du visage et de la langue.
La respiration sifflante est un symptôme courant associé à divers problèmes respiratoires, tels que l'asthme, les allergies et les infections respiratoires. Elle est souvent décrite comme un sifflement ou un bruit aigu lors de l'expiration.
L'asthme ne se guérit pas : il persiste toute la vie même si des phases de rémission peuvent durer plusieurs années, faisant parfois oublier la maladie. Pour limiter les crises, il est fondamental d'éliminer les facteurs déclenchants de son environnement.
L'asthme est souvent sous-diagnostiqué et insuffisamment traité, notamment dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Les personnes chez qui l'asthme n'est pas correctement traité peuvent souffrir de troubles du sommeil, de fatigue pendant la journée et de problèmes de concentration.
la gorge qui gratte ; des démangeaisons dans le nez ; des démangeaisons ou des irritations de la peau, eczéma ou urticaires dans les cas plus sévères ; éternuements et autres symptômes des voies respiratoires (essoufflement, respiration sifflante, gêne respiratoire appelée dyspnée).
Se gargariser à l'eau tiède salée peut aider à apaiser le mal de gorge et l'enflure de la gorge. Faire fondre une cuillerée de miel dans la bouche : le miel est un excellent agent anti-inflammatoire et antibactérien qui peut également contribuer à apaiser et à lubrifier la gorge irritée.
Les démangeaisons de la gorge sont fréquentes en cas de déshydratation ou après une exposition à des substances irritantes telles que le pollen, les poils d'animaux, les plantes et la fumée, par exemple, et il est important d'en identifier la cause afin d'éviter les démangeaisons.