Le plus ancien des quatre évangiles canoniques, celui de Marc, ne propose pour sa part aucune lignée relative à Jésus.
Jacques, Joset, Jude, Simon
Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? » (Mt 13.
Les « frères et sœurs » de Jésus
Jésus est décrit dans les Évangiles comme ayant des frères (Mt 12, 46; Mc 3, 31; Lc 8, 19), Jacques, Joset (ou José ou Joseph suivant les manuscrits), Jude et Simon (ou Siméon), ainsi que des sœurs.
Selon l'Ecole Biblique de Jérusalem, "le Fils de l'homme, en grec "ho huios tou anthropou", est un sémitisme calquant l'araméen "bar enas/anasa" et l'hébreu "ben adam", et signifiant "quelqu'un", "être humain", "on", "moi" , dans des contextes soulignant la précarité de la condition humaine (...)
Elle était femme, elle avait été possédée par les démons et elle en avait été sauvée et délivrée par Jésus (Mc 16, 9).
De l'évangile, épisode où Jésus-Christ sauve une femme de la lapidation en disant la phrase : que celui n'a n'a jamais péché lui jette la première pierre.
Abraham - Isaac - Jacob - Juda - Pharès - Esrom - Aram - Amminadab ou Aminadab - Nachschon ou Naasson - Salmôn - Booz - Obed - Jessé - David.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Il me dit : Fils de l'homme, ces os pourront-ils revivre ? Je répondis: Seigneur Éternel, tu le sais. Il me dit : Prophétise sur ces os, et dis-leur : Ossements desséchés, écoutez la parole de l'Éternel !
Fils de Dieu (Filius Dei) ; Dieu le Fils (Deus Filius) - « Ainsi Dieu le Père, Dieu, le Fils : Dieu, l'Esprit Saint. Et cependant, ce ne sont pas trois Dieux mais Dieu est un ».
La première communauté chrétienne est constituée par les premiers juifs de Jérusalem qui ont reconnu le Messie en Jésus de Nazareth, puis par leurs successeurs au-delà de la ville sainte. Elle est dirigée d'abord par Pierre jusqu'en 44 puis par Jacques le Juste, « frère du Seigneur », jusqu'en 62.
Joachim /ʒɔaʃɛ̃/ ou /ʒɔakim/ (que “Dieu prépare“ ou “accorde“, “suscite“, "met debout", en hébreu Yehowyaqiym) ou chez les arabes et dans le Coran Imrân عمران est l'époux de sainte Anne et le père de la Vierge Marie, dans la tradition catholique et orthodoxe. Il est de fait le grand-père de Jésus de Nazareth.
Si de nombreuses incertitudes entourent le Jésus « historique », les textes les plus anciens indiquent qu'il avait des frères et des sœurs. Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
Non, la Vierge Marie n'a pas eu d'autres enfants en dehors de Jésus, elle n'a eu pour enfant que Jésus, Jésus est le fils unique de Marie.
Selon la tradition chrétienne, Marie est montée au ciel sous une forme corporelle. Mais bien que les catholiques croient que la Vierge n'a jamais été morte, les chrétiens d'Orient affirment qu'elle a vraiment été morte, enterrée et n'est montée au ciel qu'après sa résurrection le troisième jour – comme son fils, Jésus.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, qui tombe le 25 décembre. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Rahab (en hébreu : רָחָב, Râhâb, « large ») est une figure biblique du Livre de Josué. Prostituée à Jéricho, cette Cananéenne d'une grande beauté accueille les deux espions envoyés par Josué, les cache, et a la vie sauve lors de l'attaque et de la destruction de la ville.
La Pericope Adulterae est le nom traditionnel d'un épisode évangélique (péricope) au sujet d'une femme adultère de l'Évangile selon Jean 8,1-11. Ce passage décrit une confrontation entre Jésus, les scribes et les Pharisiens pour savoir si cette femme, coupable d'adultère, doit être lapidée.
2 Samuel 11:1-11, 14-17, 26-27: Le roi David convoite la femme d'Urie, ce qui conduit David à commettre l'adultère et le meurtre.
Cette expression remonte à la nuit des temps. Elle fait allusion à l'Evangile et à la "première pierre" jetée sur la femme adultère. En effet à cette époque, la religion punissait de lapidation ceux et celles qui commettaient certains pêchés (dont l'adultère).
« Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite; il est un manquement à l'amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d'un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l'homme et porte atteinte à la solidarité humaine.