Pour les croyants, il serait simple d'affirmer : la Bible dit vrai puisqu'elle est la Parole de Dieu. Mais la difficulté vient de ce que le texte de la Bible n'est pas directement la Parole de Dieu. Il s'agit d'abord de paroles humaines ; ce n'est qu'à travers elles que, pour les croyants, Dieu parle aux Hommes.
Bien sûr ! Et la vérité est la même dans un texte poétique, romanesque ou historique, dans une lettre, un propos de sagesse, un oracle prophétique ou un évangile… La vérité est la même : Dieu et sa volonté, les êtres humains et leurs résistances.
Comme l'indique la notice de la Bibliothèque nationale de France (BNF) consacrée au Codex Vaticanus , il s'agit du « plus ancien manuscrit (grec) complet conservé de l'Ancien Testament, et une grande partie du Nouveau Testament, datant sans doute du IVème siècle, et conservé à la Vaticane depuis 1475.
Certains le considèrent plutôt comme un livre révélé par Dieu et qui de ce fait ne peut contenir aucune erreur ou inexactitude. D'autres le considèrent plutôt comme un livre écrit par des humains, qui de ce fait porte la marque des limites de leurs connaissances.
L'accomplissement des prophéties prouve la véracité de la Bible. Sans doute n'y a-t-il pas de preuve plus convaincante – que la Bible représente la Parole de Dieu – que celle de ses accomplissements prophétiques.
Pour les croyants, il serait simple d'affirmer : la Bible dit vrai puisqu'elle est la Parole de Dieu. Mais la difficulté vient de ce que le texte de la Bible n'est pas directement la Parole de Dieu. Il s'agit d'abord de paroles humaines ; ce n'est qu'à travers elles que, pour les croyants, Dieu parle aux Hommes.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
En tête de liste du hit parade des Bibles appréciées par les catholiques se trouve la bonne vieille Bible de Jérusalem (BJ). Sa traduction, réalisée par l'École biblique et archéologique de Jérusalem, fondée par les dominicains, se veut assez proche du texte originel mais dans un style plutôt littéraire et poétique…
En 1521, pendant son séjour forcé à la Wartburg, Luther traduit le Nouveau Testament, d'après la seconde édition établie par Érasme (1517) du texte original grec, et il s'inspire de certains choix que l'humaniste a faits pour sa traduction latine.
Pour les Évangiles, le Codex Sinaiticus est considéré, après le Codex Vaticanus, comme la seconde version la plus fiable ; pour les Actes des Apôtres, il est l'égal du Codex Vaticanus ; pour les Épîtres, le Codex Sinaiticus est la meilleure version.
Comme vous le constatez dans ces expressions, le mot bible est devenu synonyme d'ouvrage de référence le plus complet possible. Quant à celle que possède votre amie (Traduction du nouveau monde), il s'agit de la Bible publiée par les Témoins de Jéhovah.
Selon de nombreux chercheurs, elle a été écrite approximativement entre 1200 avant Jésus Christ et la fin du Ier siècle après Jésus Christ, et donc sur une période de plus de mille ans.
D'abord, parce que c'est la seule dans laquelle Dieu s'est fait homme et nous a communiqué la vérité que Lui seul connaît. De plus, cette vérité a été démontrée par des miracles et des actes extraordinaires, depuis deux mille ans jusqu'à aujourd'hui.
La vérité y est un faire, une manière d'être attentif pour un humain à ce qu'il est et à ce qui se vit et se fait dans son entourage, non pas selon une conformité directe à soi, mais selon une triangulation où la loi et Dieu viennent, chacun à son registre, complexifier l'adéquation.
Les interprétations étant possibles on se retrouve avec des différences. Ensuite il y a les problèmes linguistiques. Chaque traduction de la bible peut modifier de près ou de loin certaines notions. Le grec est notamment rempli de mots polysémiques et la bible de métaphores, cela peut générer plusieurs versions.
Dans la Bible, la langue grecque s'ajoute au substrat hébraïque et araméen, et la rencontre de l'hébreu avec le grec a été décisive. L'extension de cette langue dans l'Orient ancien date des conquêtes d'Alexandre et de la présence de ses successeurs.
Le mot Bible est employé dans son sens actuel à partir du IVe siècle après Jésus-Christ, époque à laquelle saint Jérôme entreprit de traduire les textes sacrés en latin.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
La Bible chrétienne se compose de l'Ancien Testament et du Nouveau Testament.
Quelle est la version Segond 21 ? C'est la version française la plus répandue, chez les catholiques et les protestants (évangéliques) . Cette version reste le plus fidèle possible à l'original en se basant sur les textes originaux hébreux, araméens et grecs en utilisant la langue française du XXIème siècle( donc 21).
Les Bibles œcuméniques
La Bible en français courant rend le texte accessible à un large public. Les textes bibliques sont traduits dans le français le plus simple possible. Elle est à recommander pour les personnes qui n'ont pas une grande connaissance du vocabulaire biblique.
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.