La Bretagne est la région française qui bénéficie de la plus grande longueur de côtes. On distingue traditionnellement les régions côtières (l'Arvor, c'est-à-dire 'la mer' en langue bretonne) des régions centrales (l'Argoat, 'la forêt' en breton).
Breizh, le nom breton de la Bretagne, vient lui d'un ancien Brittia. Le terme Armorique est encore utilisé pour désigner la Bretagne et ce, même s'il désignait à l'origine un ensemble beaucoup plus vaste.
À partir de 1154, la Bretagne est encerclée par l'Empire d'Henri II Plantagenêt qui, par le jeu des mariages et successions, a réuni l'Anjou, la Normandie, l'Aquitaine et le royaume d'Angleterre. En 1166, Henri II force le duc de Bretagne Conan IV à abdiquer au profit de sa fille Constance.
La Bretagne est un pays de pays. A l'inverse de la France « indivisible », la Bretagne est une et divisible.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s'affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne. Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d'un semis d'hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne.
Concarneau, Saint-Malo, Perros-Guirec, Erquy... de beaux lieux à découvrir si vous ne connaissez pas déjà.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
C'est « l'édit d'union de Nantes », promulgué par François Ier le 13 août 1532. Le lendemain, le dauphin de France, âgé de 14 ans, est couronné duc de Bretagne sous le nom de François III dans la cathédrale de Rennes.
On parle, depuis lors, de Bretagne insulaire (grande Bretagne ou Britannia maior) et de Bretagne continentale (petite Bretagne ou Britannia minor : actuelle Bretagne).
Historiquement, la ville de Nantes est bretonne avec ses 1200 ans d'histoire. En 1941, le Maréchal Pétain sépare la Loire-Atlantique de la Bretagne et c'est ainsi que la ville, administrativement ne fait plus partie de la Bretagne mais des Pays de la Loire.
Le mot Bretagne vient de l'époque ou un peuple nommé les Bretons régnait sur tout le territoire situé à l'est de l'Europe. Le souci est que le territoire occupé comprenait à la fois la zone péninsulaire et la zone insulaire.
En effet, tour à tour, Troyens, Romains, Gaulois et Celtes, Phéniciens, ont été désignés comme les lointains ancêtres des Bretons.
Ce petit mammifère carnivore a été utilisé très tôt en héraldique (relatif au blason), soit de manière réaliste (c'est l'hermine passante), soit sous forme stylisée (sans doute inspirée de sa fourrure), ressemblant un peu à une croix avec 3 pointes vers le bas.
« Au revoir » en breton se dit « Kenavo ». Kenavo est un mot si connu en Bretagne et en France, qu'il s'agit presque d'une signature de la région bretonne, d'un symbole à part entière. Littéralement, « ken » se traduit par « jusqu'à », alors que « a vo » signifie « ce qu'il y ait ».
Pour certains, la présence des 11 hermines sur le drapeau breton symbolise le clergé dans cette région où le catholicisme était très présent, pour d'autres, elles représentent les saints de la région bretonne.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
3. Azen gornek (Âne cornu)
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
« Bara » signifie « Pain » en breton.
Étymologie. Du moyen breton mam.