Il n'existe aujourd'hui que deux traitements à la calvitie (l'alopécie androgénétique comme l'appellent les spécialistes) : le minoxidil et le finastéride. Mais tous les deux ont des effets secondaires indésirables comme des démangeaisons, une baisse de la libido ou des maux de tête.
On estime qu'entre 20 % des hommes et 5 % des femmes commencent à souffrir d'alopécie androgénétique dès la puberté. Aujourd'hui, il n'existe toujours pas de traitement permettant de guérir de l'alopécie androgénétique ; néanmoins, il est possible d'agir pour éviter que les cheveux ne disparaissent pas définitivement.
En fait, la greffe de cheveux doit pouvoir accompagner et compenser au fur et à mesure la chute de cheveux tout au long de la vie du patient, en tout cas jusqu'à ce qu'elle se stabilise, c'est-à-dire vers 50 ans.
L'alopécie androgénétique concerne environ 70% des hommes et commence généralement vers l'âge de 40 ans. Il existe bien entendu de nombreux cas où la calvitie débute dès l'âge de 18/20 ans.
L'alopécie androgénétique
Cette forme de calvitie constitue la principale cause de la chute de cheveux chez les jeunes, à partir de 16 ans. Chez les hommes, l'alopécie androgénétique s'explique par une production accrue de dihydrotestostérone (DHT).
Dans le cadre d'une greffe de cheveux, les cheveux implantés reprendront leur cycle de croissance normal et auront ainsi une durée de vie identique aux cheveux présents dans la zone donneuse.
Les symptômes de la calvitie
On observera un éclaircissement (perte importante de densité) de cette zone, avec un élargissement des golfs frontaux, un recul de la ligne frontale, apparition du cuir chevelu prononcée sur la partie arrière du vertex (tonsure).
Pour cacher une perte de cheveux disgracieuse, il est possible de se tourner vers les perruques, postiches et compléments. La chirurgie esthétique, notamment la greffe capillaire est une autre option. Attention toutefois à bien choisir votre clinique.
La calvitie est donc causée par un excès d'hormones mâles, très souvent due à une hérédité. Cependant, d'autres causes peuvent être à l'origine d'une calvitie : un stress permanent, une mauvaise hygiène de vie, des carences alimentaires ou certains médicament peuvent entraîner la perte de cheveux.
Il est important de ne pas réaliser une greffe de cheveux trop tôt. En effet, en cas de perte de densité débutante (Stade I et II), l'évolution se fera très probablement vers une aggravation progressive de la chute de cheveux. L'alopécie masculine est d'origine androgénétique dans 95 % des cas.
Si les premiers signes de la calvitie peuvent survenir à la vingtaine, début du ralentissement de l'activité des follicules, il est communément reconnu que celle-ci ne peut se stabiliser avant l'âge minimum de 30 ans.
La principale cause de la calvitie est un excès d'hormones mâles : la faute aux androgènes donc ! Cet excès est héréditaire : si votre père est dégarni, vous aurez de grandes chances de l'être. En fait, les hormones mâles vont accélérer le cycle de vie du cheveu, rendant la chute plus rapide.
Le stress, une grosse fatigue, un choc émotionnel peuvent entraîner des réactions en chaîne dans l'organisme, dont une perte de cheveux . Ils ont un impact au niveau cellulaire et sur les follicules pileux. Ils ont des effets délétères sur le cuir chevelu et peuvent altérer la pousse du cheveu.
Ce type d'alopécie est provoqué par la présence d'enzymes 5-alpha réductase. Elle se fixe à la testostérone, qui mute pour former le dihydrotestostérone ou DHT. Le DHT agit au niveau des follicules pileux. Il raccourcit la durée de vie des cheveux en accélérant les cycles capillaires.
Concernant la population masculine en Europe, elle touche environ un homme sur trois à 30 ans, un homme sur deux à 50 ans et plus de trois hommes sur quatre après 70 ans. Pourquoi ? D'abord parce que la durée de vie moyenne d'un cheveu est de 3 ans chez l'homme alors que les cheveux féminins vivent entre 4 et 7 ans !
Au quotidien, il est aussi recommandé : de prendre soin de ses cheveux en privilégiant les shampooings doux et en évitant l'abus de produits aggressifs. de se reposer et d'éviter le stress. d'avoir une alimentation saine et équilibrée.
Les douleurs post-opératoires suivant une greffe de cheveux sont minimes voire inexistantes. On parle plus généralement de « gènes », de « démangeaisons » et de « tiraillements » dans la zone donneuse. Ces sensations sont temporaires et disparaissent au bout de quelques jours.
Greffe capillaire : quel est l'âge idéal ? Ni trop jeune, ni trop “vieux”, avec une perte de cheveux stabilisée. Ainsi en moyenne, une greffe de cheveux s'effectue aux alentours de 35/40 ans.
La greffe de cheveux est une intervention qui ne fait pas courir de risques considérables au patient. Toutefois, certains effets secondaires mineurs s'observent chez certaines personnes. Il y a notamment les œdèmes, les démangeaisons, la formation de croûtes, l'insensibilité du cuir chevelu, etc.
Si vous cheveux repoussent, vous allez remarquer une différence importante entre vos cheveux et l'apparition des micro cheveux. Si vous constatez l'apparition de cheveux beaucoup plus courts et plus fins alors c'est que vos cheveux ont repoussés.
La première étape pour vous aider à surmonter ce phénomène, c'est d'accepter votre calvitie. Plutôt que de l'associer au vieillissement et d'en faire un complexe, vous pouvez décider de voir en ce phénomène un signe de maturité et pourquoi pas une arme de séduction.
La chevelure change beaucoup à l'adolescence, avec le développement des hormones sexuelles. Les cheveux deviennent souvent plus gras, moins dociles et présentent parfois des pellicules. Plus grave pour certains, la densité de la chevelure commence même à diminuer, une chute de cheveux débutant insidieusement.