Syndrome de l'intestin irritable (colopathie fonctionnelle) et médicaments. Il n'existe pas de médicaments permettant de guérir définitivement le syndrome de l'intestin irritable.
Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
Elle peut durer de quelques heures à quelques jours. Elle est classiquement soulagée par l'émission de selles ou de gaz. La douleur abdominale est en général absente la nuit.
La colopathie fonctionnelle ou syndrome de l'intestin irritable (SII), est une maladie fonctionnelle de l'intestin qui se caractérise par la présence de douleurs abdominales chroniques et de troubles du transit (constipation, diarrhée ou alternance des deux).
Ce diagnostic est évoqué devant l'association de symptômes (douleurs abdominales ou inconfort, trouble du transit…). Les examens réalisés par le médecin traitant ou le gastroentérologue, en fonction de la symptomatologie (prise de sang, coloscopie, examens radiologiques,…), sont le plus souvent normaux.
Nos trois conseils pour bien vivre sa colopathie
Un régime sans fibres, c'est : un peu de viande ou de poisson et un peu de riz ou de pâtes et cela du matin au soir ! Le petit déjeuner va vous changer mais une tranche de jambon et une cuillérée à soupe de riz froid c'est suffisant pour bien se porter dans la matinée.
Ce sont des douleurs abdominales récidivantes au moins trois jours par mois, de façon chronique (depuis au moins trois mois), associées à un trouble du transit (forte constipation, forte diarrhée ou alternance des deux) qui caractérisent un SII.
Pour diminuer les douleurs, le médecin prescrit en première intention des antispasmodiques (pour lutter contre les spasmes). Il peut également recommander les pansements gastro-intestinaux qui atténuent la sensibilité intestinale.
Ces troubles peuvent être entrecoupés de périodes d'accalmie ou, au contraire, peuvent provoquer une grande fatigue, des maux de tête, ou une perte de poids quand l'individu réduit son alimentation par peur de déclencher des crises.
Certains médicaments comme le Librax® par exemple contiennent même en association un antispamodique et un anxiolytique. Contre l'agression de la muqueuse digestive et les ballonnements, votre médecin pourra prescrire des pansements intestinaux à base d' argile ou des adsorbants contenant du charbon activé.
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
Au-delà d'une hydratation suffisante, boire l'eau minérale naturelle Hépar® peut constituer un vrai atout pour vous aider à améliorer votre transit intestinal. En effet, l'eau Hépar® est la seule eau minérale naturelle plate à avoir prouvé son effet sur le transit(1).
Le yoga. La pratique du yoga semble améliorer les symptômes du syndrome de l'intestin irritable.
Des probiotiques
Les patients souffrant de colopathie fonctionnelle ont un déséquilibre de la flore intestinale, avec des bactéries trop ou pas assez présentes. Les probiotiques présents dans certains aliments, comme les yaourts peuvent donc être bénéfiques.
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
Il offre une excellente digestibilité Comme son amidon est facilement accessible aux enzymes digestives, il ne ballonne pas et convient en cas d'intestin irritable. Il a également des vertus antidiarrhéiques.
Misez sur : les céréales à base d'avoine (gruau et son) le quinoa (pâtes et flocons) le seigle (pain ou farine) qui regorgent de fibres solubles.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Une nouvelle étude australienne réaffirme le lien désormais fondé entre le cerveau et l'intestin, chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable, et plus largement, de troubles digestifs. Les troubles anxieux augmenteraient jusqu'à 50 % le risque de déclencher la maladie.
ex., sang dans les selles, symptômes réveillant les patients la nuit, d'importants antécédents familiaux de cancer du côlon, une perte de poids inexpliquée). Le syndrome du côlon irritable n'est pas détecté par des tests de laboratoire, des rayons X ou une endoscopie.