Pratiquée trop jeune, la musculation peut avoir des effets secondaires sur la santé de l'enfant. Elle peut entraîner des soudures prématurées du cartilage de croissance, provoquer des problèmes d'insertion des tendons, faciliter les fractures, les douleurs chroniques.
À partir de 12-15 ans pour les filles, et 14-17 ans pour les garçons, selon leur développement, on peut commencer à envisager la musculation.
C'est aux alentours de 25 ans que notre forme physique est la meilleure, ce qui se traduit par des temps de réaction minimaux et une VO2 max (celle-ci représente le volume maximal d'oxygène consommé par les muscles lors d'un effort physique) à son plus haut niveau.
Pratiqué convenablement, la musculation ne stoppe pas la croissance, bien au contraire. Aucun exercice n'est interdit en soi mais il faudra être vigilant aux exercices poly-articulaires de type squat, développé couché, soulevé de terre ou développé militaire.
« Chez les filles, il se situe entre 12 et 15 ans et pour les garçons, entre 14 et 17. C'est une moyenne, en aucun cas une vérité générale. Le risque principal pour les enfants et les adolescents qui font de la musculation, ce n'est pas la déchirure musculaire mais l'ostéochondrose. »
Sport et croissance : regardez les athlètes !
Lorsque l'on sait que la taille moyenne mondiale pour les hommes se situe au-delà de 1,70 m et que celle des femmes dépasse 1,65 m, la conclusion pourrait paraître simple : le basket améliorerait la croissance, la gymnastique la réduirait.
Certains exercices de musculation, notamment lorsque les poids sont trop lourds, exercent une pression sur les os, ceux du dos en particulier. Les articulations et les tendons peuvent être mis à rude épreuve. Dans ces situations extrêmes, la musculation peut perturber la croissance.
Il est déconseillé de faire la musculation avant l'âge de 15 ans afin d'éviter les problèmes de croissance étant donné que le corps est en plein développement. Cela va réduire le risque de se blesser ou avoir des problèmes aux niveaux des os ou des ligaments ou bien des déchirures musculaires.
En résumé, la pratique de la musculation à l'adolescence n'empêche pas la croissance si celle-ci est pratiquée avec prudence. Elle peut se révéler très efficace pour développer sa masse osseuse et aider son corps à se développer pour plus de résultats dans une autre activité physique.
Sortez et jouez. Courir, faire du vélo, nager et faire du sport sont autant de moyens simples et naturels de se muscler. Ce sont également des activités sans risque et plus amusantes pour les enfants.
Saviez-vous que c'est à l'âge de 31 ans que les femmes se sentent le plus belles? Une enquête menée par le magazine américain Allure l'affirme. L'étude ne révolutionne pas le genre: avant elle, d'autres avaient désigné 33 ans ou 34 ans comme le "plus bel âge", soit celui où les femmes se sentent au top de leur beauté.
La première règle est qu'aucun exercice n'est indispensable. Il peut y avoir des exercices qui vous conviennent, d'autres pas en fonction de la longueur de vos muscles, de la longueur de vos bras et de vos jambes, de votre souplesse et mobilité...
Un risque de pathologies osseuses
Pratiquée trop jeune, la musculation peut avoir des effets secondaires sur la santé de l'enfant.
Néanmoins, cela dépend du niveau de maturité de chaque enfant. Ceci dit, même si les enfants de moins de 10 ans peuvent développer leur force à partir de l'entraînement de résistance, c'est entre 10 et 15 ans que les enfants ont tendance à s'intéresser le plus à ce type d'entraînement.
Pour les abdos, la réponse est non. Selon certaines études, le sport favoriserait la croissance.
Richard Sandrak enfant
Très tôt, son père l'initie aux sports de combat. L'enfant pratique aussi la musculation intensivement. À 6 ans, il peut soulever 82 kilos en développé-couché ce qui lui vaut le surnom de "Petit Hercule".
Détournez les accessoires du quotidien. Poussez les meubles, servez-vous des chaises, des bouteilles d'eau, faites d'un petit espace leur univers sportif, ça les dépaysera un peu. Selon l'âge, proposez-leur des parcours. Un enfant ne sentira pas l'effort s'il s'amuse et si les exercices sont variés.
Le truc: pratique un sport et fait des séries d'abdo le matin et le soir...ça marche :P. ps: les filles trouvent ça super canon !!! si o bout dune semaine tu i arrive facilement , fait 10le matin , 10 le soir pendant o moin 2smaine et puis 20 abdos si tarriv !!
Grandir en taille, c'est possible avec l'exercice
En effet, à l'âge adulte c'est principalement par l'étirement de la colonne vertébrale, que l'on peut espérer augmenter sa taille de quelques centimètres qui nous donneront plus de confiance et de prestance.
C'est un fait : en développant sa masse musculaire, on augmente son métabolisme de base ce qui fait que l'on brûle naturellement davantage de calories durant l'effort mais également après, au repos et même pendant le sommeil. Cela permet de perdre des graisses sur le long terme et de stabiliser durablement son poids.
Si vous avez entre 12 et 16 ans, vous êtes un jeune membre. Pour devenir jeune membre, vous devez venir vous inscrire au club avec un de vos parents ou titulaire de l'autorité parentale qui doit vous autoriser à faire du sport en signant le contrat et fournir une autorisation parentale.
Tout comme le basket, le volley aide aussi les enfants à grandir. En effet, sa pratique favorise l'étirement du corps et le renforce. De plus, pratiquer le volley offrira à l'enfant la capacité d'avoir un esprit d'équipe. En outre, l'enfant saura plus vivre en société vu que c'est un port collectif.
Si tu es en pleine croissance, une bonne alimentation et un mode de vie sain t'aideront à devenir plus grand(e). Par ailleurs, tu pourras éventuellement augmenter ta taille de 1 à 5 cm en étirant quotidiennement ta colonne vertébrale X Source fiable PubMed Central Aller sur la page de la source .
D'une manière générale, une bonne pratique de la musculation contribue à l'amélioration de la santé cardiovasculaire et la prévention de pathologies cardiaques (2). De plus, la pratique régulière d'un sport est bénéfique pour le système cardio-respiratoire, le métabolisme et les fonctions cognitives.