La peau des filets de poissons plats, comme la dorade grise ou le bar de ligne, est délicieuse quand elle est est croustillante, un peu comme la peau d'un bon poulet rôti. Hors de question de la laisser dans un coin de l'assiette. En revanche, il faut que la peau soit bien croustillante et pas toute molle et grasse.
Peut-on manger la peau du poisson ? Notre réponse : La peau de la plupart des poissons que l'on peut trouver dans nos poissonneries est évidemment comestible.
Les filets de daurade se cuisinent bien à la vapeur, mais également à la poêle avec de l'huile d'olive, ou braisés dans du fumet de poisson et du vin blanc. Vous pouvez également faire mariner les filets dans du jus de citron avant de les cuire.
Généralement, les viscères, le gras et la peau sont les sites privilégiés des contaminants. Il est donc recommandé de ne pas les consommer. Même si la peau du poisson est bien cuite et croustillante, il vaut mieux s'abstenir de la manger.
À noter qu'en France, le terme daurade, au titre de l'appellation commerciale, est strictement réservé à l'espèce Sparus aurata ou daurade royale. Le terme « Dorade » peut servir à désigner également toutes les espèces de Sparidae.
Daurade royale, dorade rose et pageot rose sont les plus fins et les meilleurs. Mais ces poissons sont assez rares (surtout la daurade royale) et toujours chers. La dorade grise, appelée aussi « brème » ou « sar », est plus courante. La dorade d'élevage n'a pas la même finesse, sa chair peut même être un peu farineuse.
Le terme dorade sébaste est l'appellation commerciale de deux espèces de poissons très proches : Sebastes norvegicus (à la robe orangée) et Sebastes mentella (de couleur plus rouge). Ces deux poissons vivent dans les eaux froides du Nord de l'océan Atlantique et se distinguent par une longévité étonnante.
Non. La peau de poisson n'a pas de valeurs nutritionnelles spécifiques intéressantes, en dehors de la gélatine (un agent gélifiant contenant 98% de protéines) qu'elle contient et qui lui confère un aspect visqueux ... C'est la chair du poisson qui est riche en oméga 3.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Ne jetez plus la peau du saumon !
Mais il n'en est rien. En effet, des études ont montré que la peau contient énormément d'Oméga 3. Donc mieux vaut la manger. Car en plus, elle n'a pas de goût ni d'odeur particulière.
Enlevez les deux filets du dessus. Pour cela, incisez le dos et le ventre sur toute la longueur du poisson. Incisez ensuite la chair le long de l'arête centrale. Dégagez les deux filets du dessus en les écartant de l'arête à l'aide de la cuillère puis disposez-les sur une assiette chaud.
Remuez une fourchette dans la chair du poisson. Si celle-ci se détache toute seule, alors il est cuit. Votre poisson est doré à la surface, mais pas encore cuit à cœur ? Recouvrez votre plat d'une feuille de papier d'aluminium et laissez cuire encore quelques minutes.
Dorade 5. Quelle quantité consommer ? Le Programme national nutrition santé recommande de manger du poisson au moins deux fois par semaine. Une portion d'adulte correspond à environ 100 g.
La dorade est un poisson qui peut se consommer cru, en sashimi, en tartare, en carpacio. C'est un poisson maigre dont l'arête centrale se détache facilement.
La dorade est pêchée du printemps à l'automne.
Daurade royale ou « vrai daurade » : pêchée en Méditerranée et dans le Golfe de Gascogne, elle est caractéristique avec sa bande dorée entre les yeux. Sa chair est très blanche, fine, moelleuse au goût subtilement iodé.
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
Le collagène est extrait de la peau par solubilisation successive en milieu acide faible. La solution est centrifugée et le collagène récupéré par précipitation par addition de sel à pH neutre. Le précipité est récupéré, remis en suspension, dialysé puis lyophilisé.
En effet, la peau du saumon permet de protéger la chair lors de la cuisson. Puisqu'il s'agit d'un poisson à cuisson lente, il est préférable de conserver la peau pour que la chair ne cuise pas trop vite. Ce qui la rendrait sèche. Qui plus est, une fois dorée, la peau du saumon est délicieuse et croustillante.
Il peut même être accompagné d'une sauce à la moutarde ou à la tomate. Fait intéressant, on le cuit avec sa peau, celle-ci étant comestible, riche en sélénium et dépourvue d'écailles.
Avec sa chair semblable à celle de la dorade, d'où son surnom de dorade sébaste, le sébaste a pourtant des avantages bien à lui ! Au-delà de sa chair délicate qui se prête à toutes les associations, le sébaste fait partie des poissons bon marché et qui ont un profil nutrition quasi irréprochable !
Daurade. Un autre poisson blanc populaire largement consommé est la daurade, une alternative parfaite à faire au four, frit ou à la plancha. Elle est riche en oméga 3 et 6 et en protéines, en plus d'être très facile à digérer et très peu calorique.
La dorade (ou daurade) est un poisson particulièrement maigre : elle comprend moins d'1 g de lipides pour 100 g de chair (contre plus de 10 g pour les poissons gras). Riche en protéines de grande qualité, elle renferme également des vitamines du groupe B et de bonnes concentrations en minéraux et oligo-éléments.