La philosophie est une science mise au service d'une autre science suprême : la science du Bien. Elle n'est réductible ni à des procédés techniques ni à des opinions individuelles : elle se réfère à une Norme intelligible. Elle est la science du bon usage de ce qu'on sait : telle est la thèse de Platon.
La différence entre la science et la philosophie est que la science étudie la réalité de manière méthodique, tandis que la philosophie la réfléchit à travers le raisonnement et la logique.
La science et la philosophie furent longtemps inséparables. Dans l'Antiquité, la philosophie représentait la science suprême, celle « des premiers principes et des premières causes ». Les autres sciences, et notamment la physique, recevaient d'elle leurs fondements.
La philosophie des sciences est la branche de la philosophie qui étudie les fondements philosophiques, les systèmes et les implications de la science, qu'il s'agisse de sciences naturelles (physique, biologie, etc.) ou de sciences sociales (psychologie, économie, etc.).
La philosophie est la science, le savoir véritable et authentique (epistémè), par exemple chez les philosophes grecs comme Platon ou Aristote, en tant qu'elle se donne pour projet d'atteindre le monde des Idées éternelles, immuables, afin d'échapper au monde trompeur et corruptible des apparences, de l'illusion et de l ...
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
En science, il y a des méthodes, des techniques scientifiques qui s'interposent entre la savant et la nature, tandis que le philosophe a le problème en lui, il doit lui faire face pour pouvoir recréer sa propre vie selon ses exigences, les exigences de son esprit.
La philosophie n'est pas une théorie mais une activité. Une œuvre philosophique se compose essentiellement d'éclaircissements.
Il est l'inventeur de la philosophie mais n'a pas écrit une ligne. On ne le connaît que par ses épigones. Souvent le portrait est élogieux.
Il explique sem- blablement que la philosophie première, parce qu'elle est première, c'est-à-dire parce qu'elle étudie l'être le plus élevé, doit aussi étudier tout être en tant que tel ; elle doit être l'étude de l'en* commune, ou ens inquantum ens : elle doit être la science universelle (5>.
Philosophie et science peuvent être complémentaires l'une à l'autre. La méthode de pensée philosophique, ainsi que la méthode scientifique, exige une réflexibilité qui permettrait à un raisonnement de contester un autre mais aussi d'être contesté.
On distingue traditionnellement les sciences humaines et sociales, histoire, sociologie, linguistique, géographie, sciences juridiques, etc. et les sciences dites exactes, physique, chimie, biologie, etc.
La philosophie est une des disciplines des sciences humaines, elle appartient au champ d'investigation des sciences. Elle ne peut donc en aucun cas se substituer au territoire auquel elle appartient.
La première valeur de la science est connue de tous. La connaissance scientifique nous permet de faire et de réaliser toutes sortes de choses. Bien sûr, si nous faisons de bonnes choses, ce n'est pas seulement au bénéfice de la science, c'est aussi au bénéfice du choix moral qui nous a conduits à un bon travail.
- Blaise Pascal. Le plus grand philosophe du monde, sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il y a au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n'en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer. Cette phrase de Blaise Pascal contient 46 mots.
La philosophie n'est pas née à proprement parler en Grèce, mais dans les colonies grecques d'Asie Mineure. C'est à Milet qu'une lignée de physiciens, souvent appelés ioniens en raison de leur origine, commencent à spéculer, dès le début du vi e siècle avant J.
1Dans un passage de son traité Sur la nature des dieux (I 34, 93), Cicéron présente Socrate comme le “ père de la philosophie ”. Or suivant une autre tradition, bien établie, le premier philosophe fut en réalité Thalès de Milet, dont la naissance précède de plus d'un siècle celle de Socrate.
Phénarète ou Phaenarete (en grec ancien : Φαιναρέτη / Phainarétē) est la mère du philosophe athénien Socrate et de son demi-frère Patroclès.
"La science a pour but de découvrir, au moyen de l'observation et du raisonnement basé sur celle-ci, d'abord des faits particuliers au sujet du monde, puis des lois reliant ces faits les uns aux autres, et permettant (dans les cas favorables) de prévoir des événements futurs.
1. Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales. 2. Chacune des branches de la connaissance, du savoir (souvent pluriel) : Les sciences mathématiques.
La science apporte des solutions aux défis de la vie courante et nous aide à répondre aux grands mystères de l'univers. En d'autres termes, la science est l'une des voies les plus importantes de la connaissance.
Anaximandre, premier scientifique | Canal U.
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.