La prise de ces comprimés ne présente pas de danger et aucun effet indésirable n'a été signalé jusqu'à présent. Ils contiennent les excipients couramment utilisés dans la fabrication des comprimés OPTIMIZETTE Gé 75 microgrammes. Le seul risque identifié pour les patientes est l'inefficacité contraceptive de la pilule.
Les autres effets indésirables les plus fréquemment rapportés (fréquence > 2,5 %) lors des essais cliniques avec le désogestrel sont les suivants : acné, modification de l'humeur, mastodynies, nausées et prise de poids.
Une baisse de la libido ; Des troubles digestifs comme des ballonnements ; Et surtout des spottings qui sont des saignements imprévisibles, ce phénomène apparaît souvent au bout de 3 à 4 mois de prise continue.
Les pilules de 3ème génération, comme on pouvait s'y attendre après les divers scandales, sont pointées du doigt. Les femmes qui y ont recours ont deux fois plus de chances de subir une embolie pulmonaire que celles qui utilisent les pilules de deuxième génération, par exemple.
Vous pouvez arrêter de prendre OPTIMIZETTE quand vous le souhaitez. Dès l'arrêt, vous n'êtes plus protégée d'une grossesse. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Est-ce que la pilule Optimizette fait grossir ? Contrairement aux présomptions, la pilule contraceptive Optimizette ne fait pas grossir. Des études menées montrent pourtant que cette dernière impacte sur la morphologie des femmes.
Les pilules au DSG (Cérazette®, Antigone 75 μg®, Desogestrel Teva 75 μg®, Desogestrel Biogaran 75 μg®, Optimizette®) se prennent également en continu sans arrêt pendant les règles.
Un groupe de chercheurs du Centre international de recherche sur le cancer, à Lyon, a rendu ses conclusions : les contraceptifs oraux estroprogestatifs augmentent le risque de cancer du sein, du col de l'utérus et du foie, mais ils réduisent de moitié la survenue de cancers de l'ovaire et de l'endomètre.
Le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) a inclus en 2005 les contraceptifs œstroprogestatifs parmi les cancérogènes du groupe 1, ceux-ci pouvant entraîner une augmentation du risque de plusieurs cancers (cancer du sein, cancer du col de l'utérus, cancer du foie).
Il contient un progestatif seul (sans estrogène associé). Il agit en bloquant l'ovulation et en modifiant la glaire cervicale. Tous les comprimés ont une composition identique. Ce contraceptif est dit microdosé car il contient une très faible dose d'hormone.
La prise en continu de plaquettes de 21 comprimés permet d'éviter les règles. En effet, celles-ci surviennent normalement dès l'arrêt du contraceptif. Si vous ne l'arrêtez pas, les règles ne sont logiquement pas déclenchées.
C'est surtout une question d'idées reçues
Quant à la question de la fertilité, les érudits rappellent que les études ont montré que la prise sans arrêt de la pilule ne l'affecte en rien. « C'est connu depuis très longtemps qu'il n'y a pas de risques liés à la prise de la pilule en continu, indique le Pr Deruelle.
Certaines personnes ne supportent pas cette pilule qui les fait saigner souvent. Cela n'a rien d'inquiétant, c'est seulement qu'elle ne vous convient sans doute pas. Avez-vous pensé à poser un stérilet hormonal par exemple ? Cela pourrait vous amener jusqu'à la ménopause.
On conseille alors aux femmes de se tourner vers le stérilet hormonal ou vers les micro-pilules, qui ne contiennent qu'un progestatif et pas d'œstrogène (l'hormone qui augmente le risque vasculaire, N.D.L.R.) ».
Alli, la pilule qui fait maigrir, elles veulent bien en parler mais sous un faux nom. S'exposer en donnant son poids et son âge n'est déjà pas facile mais lorsque, en plus, on en vient à discuter de la consistance de ses selles et de la fréquence de ses pets, il y a de quoi préférer l'anonymat.
OPTIMIZETTE 75 µg Gé comprimé pelliculé (désogestrel) : nouveau contraceptif oral générique. OPTIMIZETTE 75 µg Gé comprimé pelliculé est un nouveau médicament contraceptif oral, générique de CERAZETTE (désogestrel).
La méthode Ogino-Knaus (aussi appelée méthode du calendrier)
Elle se base sur le seul calcul de la période de fertilité en se fondant sur la longueur des derniers cycles menstruels. En gros, elle consiste à ne pas avoir de rapports sexuels pendant les 5 jours précédents l'ovulation et les deux jours qui la suive.
Les pilules oestroprogestatives sont les plus courantes, cependant la combinaison oestrogène et progestérone peut augmenter le risque de thrombose veineuse et artérielle. Elle est donc déconseillée chez les femmes qui fument et contre-indiquée en cas de maladie veineuse et artérielle.
Mais la pilule protège aussi de nombreux cancers. Pour reprendre l'étude du British Medical Journal, les auteurs concluent à une réduction du risque de décès par cancer colorectal, cancer de l'ovaire, cancer de l'endomètre…
La pilule contraceptive peut être arrêtée à tout moment, au début, au milieu ou à la fin de la plaquette. On peut d'ailleurs passer à un autre mode de contraception immédiatement après l'arrêt de celle-ci. En cas de doute, demandez l'avis d'un médecin.
Par ailleurs, les effets secondaires que la pilule peut faire apparaître sont pour la plupart temporaires et se résorberont d'eux-même après les premières semaines du traitement ou lorsque celui-ci sera interrompu. Toutefois, la pilule n'est pas idéale pour toutes.
Quels sont les moyens de contraception sans hormones ? Si la pilule contraceptive reste la méthode de contraception la plus utilisée en France, elle est loin d'être la seule. Il existe un large choix de contraceptifs sans hormones : stérilet au cuivre, diaphragme, spermicide, cape cervicale, préservatif.
Le stérilet au cuivre ou dispositif intra-utérin (DIU)
Il s'agit du moyen de contraception le plus utilisé au monde. Le stérilet en cuivre est un petit dispositif en cuivre et en plastique sans hormone. Il existe en plusieurs tailles pour s'adapter à la plupart des utérus.
Le moyen de contraception le plus fiable serait en fait l'implant contraceptif (99,95% de protection, soit autant que le taux idéal), suivi du stérilet hormonal (99,8%, également autant que le taux idéal), et le stérilet en cuivre (99,2% contre 99,4% dans l'idéal).
La contraception mécanique après 45 ans
Les solutions de contraception mécanique, qui ne fait pas intervenir les hormones, restent bien entendu accessibles aux femmes après 45 ans : préservatifs, spermicides, diaphragme, etc. Elles sont plus contraignantes puisqu'il faut les utiliser à chaque rapport sexuel.