Une tension nerveuse a des répercussions physiques, mais aussi émotionnelles. Elle peut se manifester par une douleur dans n'importe quelle zone du corps : la tête, le cou, les épaules, les bras, le dos… Elle peut aussi se traduire par une fatigue intense et un état dépressif.
La nervosité et le stress sont plus des facteurs qui influent sur l'hypertension artérielle (notamment chez une personne hypertendue), qu'une cause réelle et initiale qui a « créée » l'hypertension artérielle.
Avec un point commun : la respiration. « Respirer autrement est un des meilleurs moyens d'abaisser les tensions et la nervosité », poursuit-il. En ce sens, le sport, qui mobilise le souffle et la force musculaire, est un excellent antistress, de même que le yoga.
La tension nerveuse est un signe essentiellement liée au stress , la fatigue et l' anxiété . Elle est caractérisée par des maux de tête intenses, à type de pression, essentiellement localisés au niveau de la nuque et des tempes .
Le calcul mental, une activité physique, certaines émotions, parler en public, être soumis au stress font monter la pression artérielle. On connaît par exemple très bien l'effet blouse blanche qui est une augmentation de la tension artérielle liée au stress que cause l'examen médical.
Une tension de 15,9 pourrait être une indication.
Une tension saine doit être inférieure à 14,5/9 et supérieure à 10/7. On parle d'hypotension lorsque elle est inférieure à 10/7. L'hypertension, quant à elle, survient lorsque la pression artérielle est supérieure à 14,5/9.
C'est quoi une tension artérielle normale selon l'âge ? La pression artérielle est dite normale lorsqu'elle est inférieure à 14,5/9 ou 145/90 mmHg et supérieure à 10/7 ou 100mmHg /7mmHg.
En conclusion : un risque d'hypertension à prendre en compte
En pratique, les auteurs considèrent que pour les patients présentant une dépression et sous inhibiteur de la sérotonine, les médecins doivent connaître ce risque d'augmentation de la tension artérielle.
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
La tension nerveuse traduit une tension associée à de la fatigue et à de l'anxiété qui peut dans certains cas s'assimiler au trac et qui entraîne parfois des maux de tête.
Chez les personnes hypertendues, la prise de paracétamol au long cours augmente légèrement, mais significativement, la pression artérielle. Cet effet secondaire justifie un regain de prudence dans sa prescription aux personnes à risque cardiovasculaire.
En cas d'intervalle trop important entre deux prises, la tension va subir de nouveaux à-coups. Mais en cas d'oubli, on ne double pas la dose le lendemain !
Selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, un exercice de respiration appelé "entraînement de la force musculaire inspiratoire" permettrait aussi de réduire la pression artérielle en le pratiquant 5 minutes par jours.
Une tension est considérée comme normale jusqu'à environ 14/8, encore que cette valeur seuil varie légèrement selon l'âge de la personne (la tension augmente naturellement avec l'âge). Entre 14/8 et 16/9,5, elle est modérément élevée, au-delà, elle est élevée, et on parle d'hypertension.
Entre l'index et le pouce
Si vous pincez la chaire entre l'index et le pouce, vous parviendrez, là encore à soulager vos angoisses passagères. Masser cette zone en respirant profondément sera très efficace contre le stress et l'anxiété. Là encore on vous conseillera de maintenir la pression pendant 2 à 3 minutes.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
réaliser 3 mesures espacées d'une à deux minutes, le matin avant le petit–déjeuner et avant d'avoir pris vos médicaments ; effectuer également 3 mesures espacées d'une à deux minutes le soir avant de vous coucher ; répéter ces mesures biquotidiennes pendant 3 jours de suite.
Le moment idéal pour prendre la tension, c'est le matin, au moment du petit déjeuner, en position assise ou allongée. L'idéal est de s'y reprendre à trois fois et de faire la moyenne des trois mesures.