Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Cela signifie que la durée d'un jour sur Terre s'allonge d'une seconde tous les 50 000 ans. La seule chose qui pourrait arrêter la rotation de la Terre serait qu'une autre planète s'écrase contre elle. Même si cela se produisait, cela modifierait certainement la rotation de la Terre, sans l'arrêter complètement.
D'ici à 2030, le climat de la Terre pourrait revenir trois millions d'années en arrière. Si les émissions de CO2 se poursuivent au rythme actuel des chercheurs estiment que d'ici 2030, la Terre sera revenue trois millions d'années en arrière, en termes de climat.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
Parce que notre corps n'est pas sensible aux vitesses constantes mais seulement aux accélérations et décélérations. Or, le mouvement de la Terre est invariable, avec une vitesse de 1 000 km par heure.
Grâce à un équilibre entre deux phénomènes : la gravitation qui attire la Terre vers le Soleil et la force centrifuge qui cherche à l'en écarter.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Le climatologue et météorologue, Robert Vautard, a dressé un panorama des espaces habitables à l'horizon 2050 sur une planète plus chaude de 2°C. Les espaces habitables seront modelés par deux principaux facteurs : le changement climatique et les politiques publiques qui seront menées en conséquence ou en anticipation.
Un climat plus violent
Dès 2050, les vagues de chaleur seront deux fois plus nombreuses sur l'ensemble du territoire, avec des pics pouvant atteindre 50° par endroits. Idem pour les sécheresses.
Sur la base de ce dernier scénario, les chercheurs ont montré que la France de 2100 pourrait être 3,8 °C plus chaude que celle du début du XXe siècle. Une augmentation qui fait frémir. Une telle hausse des températures serait particulièrement marquée en été.
« Cependant, certains s'inquiètent d'un monde surpeuplé, avec bien trop d'habitants et des ressources insuffisantes pour vivre ». En seulement 250 ans, la population mondiale a été multipliée par sept. Selon les projections de l'ONU, 10,4 milliards de personnes pourraient vivre sur Terre dans les années 2080.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Oui. Dans cinq milliards d'années, il se transformera en géante rouge, puis en naine blanche, qui se refroidira lentement. Le soleil dans son état actuel (en haut à gauche), comparé à la plus grande géante rouge observée par le satellite Kepler (au centre).
Les Tuvalu, menacés par la montée des eaux
Et d'ici 2050 à 2100, si la hausse des températures ne se maintient pas en dessous de 1,5 °C, 95 % du territoire pourrait bien disparaître, précise le Huffington Post. Alors pour éviter de sombrer dans l'oubli, les Tuvalu vont… se numériser !
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
Les mutations de l'être humain
Dans 900 ans, à force d'avoir ses yeux rivés vers le bas pour consulter son smartphone, l'être humain aurait le dos voûté et une bosse. Son coude serait naturellement plié à 90 degrés, car adapté à la position prise pour tenir le téléphone. Le Text Claw (griffe à texto) serait généralisé.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.
Le Seigneur crée la terre selon les instructions de Dieu. Le premier jour, le Seigneur sépare la lumière des ténèbres. Il appelle la lumière jour et les ténèbres nuit. Le deuxième jour, il sépare les eaux sous les nuages du ciel et les océans sur la terre.
L'orbite maximale de la Lune serait atteinte après 50 milliards d'années : sa gravitation se stabiliserait autour de la Terre. Mais un scénario catastrophe en entraîne parfois d'autres. Dans 5 ou 6 milliards d'années, le Soleil entamera sa transformation en géante rouge.
La seule chose qui pourrait arrêter la rotation de la Terre serait qu'une autre planète s'écrase contre elle. Même si cela se produisait, cela modifierait certainement la rotation de la Terre, sans l'arrêter complètement.