Le est bon pour le foie et les reins.
Combien en consommer par jour ? Pour bénéficier de ses effets positifs sur la lipémie sanguine (cholestérol, triglycérides …), on recommande la consommation quotidienne d'une à deux gousses d'ail frais, ou de 0,5 à 1 g d'ail séché.
Consommé en grande quantité, l'ail peut entraîner une sensation de brûlure dans la bouche, des odeurs corporelles, des maux de tête, des flatulences, des vomissements et de la fatigue. Il peut également provoquer des irritations du système gastro-intestinal (2,3).
L'insuffisance rénale chronique est toujours la conséquence d'une maladie qui détériore progressivement le fonctionnement des reins. En France, les deux causes principales de l'insuffisance rénale chronique sont le diabète de type 1 comme le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
Préconisé pour les problèmes rénaux mineur, le jus de citron permet de purifier les reins grâce à son acidité. Il est notamment très efficace en cas de calculs rénaux.
L'ail. L'ail aide votre foie à activer les enzymes en charge d'éliminer les toxines. De plus, il contient du sélénium et de l'allicine, deux nutriments qui aident le foie dans le processus de détoxification. C'est aussi un antibiotique naturel qui permet de régénérer le foie malade ou intoxiqué.
Il abaisse la tension artérielle en favorisant la dilatation des artères et il contribue à diminuer le taux de mauvaises graisses dans le sang, tout en le fluidifiant. Des propriétés qui font de l'ail un vrai allié des artères et du cœur. A condition d'en manger régulièrement évidemment.
Les effets bénéfiques de l'ail sont vantés depuis des décennies : antimicrobien, antioxydant, bon pour le système immunitaire, pour la tension et pour le cholestérol, c'est sans un aucun doute un super-aliment pour la santé.
Si vous avez l'estomac fragile
Manger trop d'ail ou trop d'oignons peut aggraver ou irriter le tractus gastro-intestinal. L'ail peut également provoquer d'autres problèmes gastro-intestinaux si vous en consommez alors que vous prenez des médicaments pour l'estomac.
Car l'allicine, son principal ingrédient actif, s'abîme à la cuisson. Avant de le consommer, coupez la gousse et écrasez-la. Le fait d'écraser les gousses d'ail active une réaction qui rend l'allicine plus bio-disponible. Sachez que l'ail est encore plus efficace lorsqu'il est mangé à jeun.
Star de la médecine chinoise
sont ainsi des aliments "yang", qui fournissent de l'énergie pour stimuler les fonctions vitales. Ils tonifient, voire excitent et améliorent les états de fatigue physique ou psychique.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
Il soulage les infections urinaires
Pour prévenir les infections, on leur conseille de boire beaucoup d'eau et de consommer des aliments diurétiques comme le poireau. Ce légume, sous forme de bouillon par exemple, aide à éliminer l'acide urique. Il est excellent pour les reins et le foie.
L'eau est la meilleure boisson pour la santé des reins. La recommandation officielle est de boire de 1,5 à 2 litres par jour. C'est l'équivalent de 8 verres d'eau par jour.
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Deux tests sont utilisés pour vérifier la présence ou non d'une maladie du rein. Un test sanguin vérifie votre DFG (votre débit de filtration glomérulaire), qui explique comment vos reins effectuent le filtrage. Un test de l'urine, pour vérifier l'albumine dans le urine, un signe de lésions rénales.
Boire beaucoup d'eau, 1 L et demi par jour, eau de source la plus pure possible (extrait sec à 180° le plus bas possible, autour de 20, c'est indiqué sur toutes les étiquettes). Faire des tisanes de plantes comme la verge d'or, la busserole, l'ortie qui sont diurétiques.
Les reins peuvent déclencher des douleurs qui peuvent irradier en bas du dos. Il s'agit principalement de : la colique néphrétique : douleur provoquée par un calcul sur les voies urinaires (une intervention chirurgicale est nécessaire dans 10 à 20 % des cas) ; la pyélonéphrite : infection haute des voies urinaires.