La consommation d'aliments comme du blé, des oignons, des petits pois, de l'ail ou des asperges, ainsi que les produits laitiers, est susceptible de donner des douleurs abdominales aux patients SII ».
L'ail cru. L'ail cru contient des composés soufrés tels que l'allicine, qui peuvent irriter la muqueuse de l'estomac et de l'intestin chez certaines personnes.
Plante laxative, l'ail contient beaucoup de fructosanes, des fibres particulières qui ont la faculté de faciliter le développement de bonnes bactéries dans l'intestin. Utilisé à bonne dose, il facilité donc la digestion et renforce le système immunitaire grâce à ces bonnes bactéries intestinales.
L'ail contient des acides phénoliques, qui ont la capacité de nettoyer et épurer le système digestif de l'intérieur. Et il est également chargé en inuline, un prébiotique, et en fructosanes, une fibre, qui contribuent à lutter contre l'inconfort digestif et à restaurer la flore intestinale.
Les aliments qui fermentent
Les glucides subissent un processus de fermentation acide qui s'accompagne d'un dégagement de gaz qui vont créer des mouvements de l'intestin. Il est donc important de limiter la consommation et notamment celle des choux (brocoli, chou, navet, chou de Bruxelles, chou-fleur).
L'activité physique, c'est donc marcher, jardiner, bricoler, jouer avec les enfants... et, bien sûr, faire du sport. Des exercices de relaxation, la sophrologie, le yoga, etc. peuvent, dans certains cas, être bénéfiques. Discutez avec votre médecin des moyens de gérer votre stress.
la présence de sang dans les selles. les ballonnements et flatulences. la fatigue. la fièvre.
Autres effets secondaires d'une consommation excessive d'ail
Une consommation excessive d'ail cru, particulièrement lorsque l'estomac est vide, peut causer des désordres gastro-intestinaux : l'ingestion d'une à deux gousses d'ail par jour s'avère une dose sûre pour un adulte.
La concentration très importante de molécules actives dans l'ail est un atout précieux, mais à double tranchant. En effet, l'ail contient des substances pouvant interférer avec certains médicaments ou abîmer la barrière gastro-intestinale chez les personnes sensibles, surtout s'il est consommé en quantité importante.
L'ail est en général dépourvu d'effet indésirable, mise à part l'odeur désagréable, qui persiste dans l'haleine, la sueur et le lait. Cependant, consommé en grande quantité, l'ail peut provoquer des nausées et des irritations au niveau de la bouche, de l'œsophage et de l'estomac.
L'ail cru contient des composés soufrés tels que l'allicine, qui peuvent irriter la muqueuse de l'estomac et de l'intestin chez certaines personnes. Cette irritation peut provoquer des ballonnements, des flatulences et des douleurs abdominales.
Mais, comme les oignons, l'échalote et de nombreuses épices, l'ail est en revanche recommandé pour agrémenter notre alimentation quotidienne. En association avec les autres condiments, il contribue simplement à fournir à notre corps tout ce dont il a besoin pour rester longtemps en bonne santé !
L'ail est un véritable médicament, grâce à ses propriétés antimicrobiennes, antiseptiques, anti-inflammatoires, anti-bactériennes, antifongiques et même antivirales. Il est donc conseillé d'en consommer pour lutter contre les maux et maladies infectieuses come le rhume, le mal de gorge ou encore l'angine de poitrine.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Oignons et ail
Le monde est parfois cruel. L'oignon et l'ail sont tous deux riches en fructanes, qui fermentent à l'intérieur du petit intestin. Ceci cause des ballonnements, des gaz et de la diarrhée, surtout chez les individus souffrant du syndrome du côlon irritable.
À ce chapitre, l'ail serait tout aussi efficace contre plusieurs autres types de cancers (seins, ovaires, prostate, rein, bouche, larynx, œsophage…). Par ailleurs, les gousses d'ail possèdent un fort effet laxatif, notamment lorsqu'on les associe à de la chlorella.
Certaines enzymes digestives, naturellement présentes dans l'ail, sont inhibées lors du processus de chauffage. Donc, si vous le pouvez, mangez tout naturel.
Les excès de nourriture et une mauvaise alimentation sont les principales causes des troubles digestifs. Le risque d'inconfort est accru après un repas copieux mangé rapidement, avec la présence dans l'assiette d'aliments lourds et difficiles à digérer, surtout lorsque le sujet ne prend pas le temps de bien mastiquer.
Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
L'ail ne présente pas de toxicité sérieuse. Dans certains cas, les utilisateurs peuvent rapporter des malaises gastro-intestinaux : brûlures d'estomac, nausées, flatulence, diarrhée. Prendre l'ail en mangeant diminue l'importance de ces effets secondaires.
On ne connaît pas encore les causes de la maladie inflammatoire de l'intestin. Les chercheurs croient que les facteurs génétiques et environnementaux interagissent pour modifier le microbiome (la population de bactéries présentes dans le corps), ce qui augmente le risque de développer la maladie.
Carences alimentaires et suppléments
Il est important d'avoir un apport optimal en acides gras oméga-3 pour aider à réduire l'inflammation. Il est recommandé de consommer du poisson au moins trois fois par semaine. Les personnes végétariennes ou qui ne consomment pas de poisson peuvent prendre un supplément d'oméga-3.
Mangez des fruits et des légumes cuits plutôt que crus. Consommez du thé vert et/ou du thé rooibos, des céréales complètes ou semi-complètes (quinoa, riz, millet, sarrasin), des aliments qui aident à réparer la muqueuse tels que les huiles riches en acides gras essentiels (olive, colza, noix, chanvre).
Les sucres ou glucides contenus dans les aliments fermentent lorsqu'ils sont digérés. Résultat : ils produisent beaucoup de gaz intestinaux. Parmi les coupables, on trouve les féculents (pain, céréales pour le petit-déjeuner...) qui sont particulièrement riches en sucre.